Devant cette situation les questions suivantes se posent :

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Transcription de la présentation:

Devant cette situation les questions suivantes se posent : BOUBEKEUR Mohamed Expert risques majeurs GESTION DE SITUATION DE CRISE DUE A UNE CATASTROPHE NATURELLE OU TECHNOLOGIQUE PLAN ORSEC MYTHE OU REALITE Le phénomène des catastrophes quelles soient d’origine Naturelle ou Technologique, sera toujours posé aux hommes. La survenance brutale d’une catastrophe crée une panique générale, une désorganisation totale et un bouleversement subit de la vie normale dans l’ensemble de la zone ou elle a eu lieu. Devant cette situation les questions suivantes se posent : Que doit- on faire ? Comment s’y prendre ? Qui doit faire quoi ? Qui commande qui ?

Le sauvetage des personnes et des biens est évidemment la PREMIERE PRIORITE des pouvoirs publics. L’organisation des secours joue un rôle très important, tant sur le plan de l’aide et d’assistance à la population que celui de la reconstruction.

Devant pareille situation : Quel doit être le comportement de l’autorité chargée de sa gestion ? Il faut d’abord savoir. Si les responsables à différents niveaux, particulièrement ceux chargés de la direction des opérations de secours et de sauvetages, de la prise en charge des victimes, des blessés et des sinistrés, sont ils épargnés ? Peuvent –ils agir ? Ont-ils les moyens pour le faire ? Peuvent-ils se déplacer sur les lieux ?Peuvent-ils s’informer sur la situation ? Informer ? Orienter ?calmer et consoler les sinistrés. Tant de questions se posent.

Bien souvent, la crise impose son lieu, sa date, son heure Bien souvent, la crise impose son lieu, sa date, son heure. Chaque crise est différente des autres. Elle réclame autant une organisation structurée que des capacités d’adaptation et de réactions immédiates. Vis-à-vis des populations, le gestionnaire en est le Président de l’assemblée populaire communale P/APC. Le Wali, Le ministre de l’intérieur et des collectivités locales, le gouvernement Les pouvoirs publics sont responsables. Notre société est plus vulnérable = sa vulnérabilité est notamment liée à la concentration des activités, à l’urbanisation et aux technologies

Les connaissances Techniques ne suffisent pas Les connaissances Techniques ne suffisent pas .Les populations doivent avoir conscience que les villes sont vulnérables ,et doivent s’engager a atténuer les risques. Elles ont le choix : Soit à contribuer à l’accroissement des catastrophes. Soit aider à les maitriser.

Problème urbain (inondation) L’urbanisation galopante, le béton qui réduit la capacité d’absorption. Des ouvrages de géni civil qui détournent le cours des rivières et la faiblesse des systèmes de drainage urbain. Les logements mal situés ou mal construits sur les rives, dans les lits des oueds sont autant d’entraves qui retardent l’arrivée et la mise en œuvres des moyens de secours. L’eau est voyageuse de nature, elle a toujours choisi sa voie.

Panique collective L’état de panique collective qui est caractérisé par la prédominance de la peur, tellement intense et omniprésente, quelle altère les perceptions, inhibe la critique, le jugement, le raisonnement et suspend toutes initiatives libérant, ainsi les automatismes archaïques du cataplexie ou de fuite affolée. - Aggrave le danger - Accroit le nombre de victimes - Crée de la désorganisation sociale car , souvent les gens courent dans tous les sens, inconsciemment, parfois même sans savoir leur destination.

D’une manière générale on relève que : La victime donne sa version; Le sauveteur occasionnel, présent par hasard sur les lieux, livre son impression et commente les actions entreprises; Le sauveteur professionnel, un compte rendu; Les autorités, un aperçu global sur la situation.

Réduction de l’état de panique 1- Enrayer la panique à son début - présence – autorité – calmer 2 - Accélérer sa sédation - présence – occupation 3 - Eviter sa propagation ou sa relance - information - cordon à double filtre.

Gérer efficacement une situation de crise, il est absolument indispensable de disposer de l’information qui permet d’en connaître la nature, la localisation, l’ampleur, ainsi que les conséquences immédiates ou évolutives. La pertinence de la réaction, tant en termes d’intervention, que de coordination, en est directement dépendante.

La crise? - comment la prévenir? Comment la gérer? Comment en sortir? La crise vient du grec « krisis » c’est-à-dire décision, jugement. Cette étymologie renvoie à l’idée d’un moment clé, charnière, on pourrait on dire »ca doit se décider »

Une crise est un moment , ou un état transitoire entre deux moments de stabilité – c’est une phase de transition. Quelles sont les phases d’une crise? LA NAISSNCE LE DEVELOPPEMENT LE PAROXYSME LE BASCULEMENT LA DECRUE? SECOURS ET SAUVETAGES LA NORMALISATION LA SORTIE

A ces questions, il serait très simple de répondre en disant = Déclenchez le plan ORSEC (organisation des secours). Le Plan ORSEC MYTHE OU REALITE ? Nous vivons ces derniers temps beaucoup d’événements majeurs comme : Insuffisance d’eau potable ; inondations – crise de chômage – dégradation de l’environnement – catastrophes etc… Ces événements malheureusement passent rapidement dans l’oubli sans qu’aucun enseignement en terme de prévention et de prévision n’en soit tiré. Pour essayer de trouver une solution à toutes ces situations, certains responsables présentent les actions menées chacun dans son propre domaine sous le qualificatif de ‘’PLAN ORSEC ‘’. Ce qualificatif est malheureusement repris au cours des rencontres et débats –même Télévisés, par des personnalités. A croire que le plan ORSEC est effectivement mal connu.

Les approches intersectorielles font encore défaut. Les administrations ont encore du mal a travailler ensemble sur un sujet relevant de la compétence interministérielle. S’ajoute à cela l’absence d’un organisme de coordination. Par ailleurs la culture de la confidentialité persiste .

La prévention et la prévision doivent se distinguer de la situation de crise, mais au quotidien, les actions en matière de prévention et de prévision développées par les services sont plutôt liés aux opportunités sans que soit défini exactement ‘’ Qui fait quoi’’. Pour y remédier souvent l’on procède à l’installation d’une cellule de crise.

Cellule de crise Il convient de se poser les questions suivantes = Qu’elle est sa composition ? Ses compétences ? (Prérogatives) Quels sont les moyens dont elle dispose ? Qui la dirige ? Quel est son mode de fonctionnement ? Et en fin Quels sont les textes qui la régissent ?

L’organisation des secours en Algérie est codifiée par le décret-85 231 du 25Aout 1985 fixant les conditions et modalités d’organisation et de mise en œuvre des Interventions et des secours en cas de catastrophes. Abrogé par la loi N°04 – 20 du 25 décembre 2004 relative à la prévention des risques majeurs et à la gestion des catastrophes dans le cadre du développement durable (art 74) a l’exception des dispositions régissant les aspects lies a la prévention des risques majeurs, demeurant en vigueur jusqu'à la publication des textes d’application de la présente loi : (a ce jour aucun texte n’a été publier).

Le plan d’organisation des interventions et des secours, identifie l’ensemble des moyens humains et matériels à mettre en œuvre en cas de catastrophe et fixe les conditions de cette mise en œuvre. Le plan n’est pas aussi l’ensemble des moyens stockés dans les magasins. C’est en fait une organisation territoriale de collectivité pour faire face à une catastrophe, une forme de réaction organisée de l’ensemble des moyens.

L’organisation des secours d’urgence joue un rôle très important tant sur le plan de l’aide à la population que sur celui de la reconstruction. Avant la crise, on s’attache à l’étude du risque lui-même pour mieux en cerner les caractères, les effets et la probabilité. Cette démarche doit déterminer les actions à mener en matière de prévention et de planification des secours. Il s’agit donc d’anticiper, de gagner du Temps sur l’urgence potentielle.

La loi N° 04 -20 du 25 décembre 2004 répond globalement à ces préoccupations. Elle fixe les niveaux de préparation des plans, de prévention des risques majeurs, les plans des gestions des catastrophes, l’information et la formation en matière de prévention des risques majeurs et la gestion des catastrophes, ainsi que des dispositions pénales. Les cas des séismes D’ECHLEF et BOUMERDES doivent nous servir d’étude des retours d’expériences.

Dans son chapitre 4. les articles 11 et 12 relatifs à l’information et la formation en matière de prévention des risques majeurs et gestion des catastrophes, donnent aux citoyens un droit à l’information sur les risques auxquels ils sont susceptibles d’êtres exposé et les mesures de préventions et la sauvegarde pour s’en protéger.

Eduquer: En entretenant une culture du risque, la population reste consciente et acquiert les comportements aussi utiles au quotidien qu’en temps de crise. Etudier: Grace à l’analyse des mécanismes des phénomènes, on peut évaluer le niveau de risque, cartographier les zones vulnérables, définir les modalités d’actions. Aménager: la gestion voire l’utilisation des espaces naturels et ruraux, la valorisation d’espaces sensibles en milieu urbains et respect des règles d’urbanisme contribuent à la prévention des risques

Prévoir: les moyens de surveillance et d’alerte permettent d’anticiper de quelques heures, voire des jours l’arrivée de la Tempête, vents violents, montées des eaux, crues des oueds. Préparer: il s’agit d’acquérir les moyens propres à l’intervention ( plan orsec)

Aide à la décision AGIR - Amélioration de la gestion de l’information sur le risque - Récolte d’informations au profit des décideurs.

La loi N° 04-20 du 25 décembre 2004, relative à la prévention des risques majeurs et à la gestion des catastrophes dans le cadre du développement durable, répond a ces préoccupations : Elle fixe : Titre I : Dispositions primaires Des définitions et des qualifications - objectifs - champs d'application - information et formation. Titre II : La prévention des risques majeurs - ‑Règles et prescriptions générales applicables a tous les risques majeurs. - ‑Les prescriptions particulières a chaque risque majeur - Les dispositifs de sécurisation stratégiques. Titre III : La gestion des catastrophes - Planification des secours et des interventions - Des plans ORSEC - ‑Des mesures structurelles pour la prise en charge des catastrophe. - Des réserves stratégiques - De la réparation des dommages - Des institutions spécialisées. Titre IV : Dispositions pénales Titre V : Dispositions particulières Titre VI : Les dispositions finales.

‑Mesurer, analyser et simuler pour mieux prévenir et décider, tels sont les objectifs de ces nouveaux moyens d'investigation. L'action efficace, dans le domaine de la gestion des risques et l'organisation des secours en cas de catastrophe nécessite une claire distribution des responsabilités. Celles-ci étant le plus possible en accord avec les moyens et les compétences de chacun. Cette distribution se fera d'autant mieux que les différents scénarios auront été préalablement étudiés et que les intervenants auront été préparés à ces missions. Le chapitre I du Titre 1er les défini clairement dans ses articles 2 - 3 - 4 et 5. Les objectifs et fondements sont précisés dans le chapitre 2. Constituent les risques majeurs pris en charge par cette loi au sens de l'article 5. - Les séismes et les risque géologiques. - Les inondations - Les risques climatiques - Les feux de forêts - Les risques industriels et énergétiques - Les risques radiologiques et nucléaires - Les risques portant sur la santé humaine - Les risques portant sur la santé animale et végétale - ‑Les pollutions atmosphériques, telluriques, marines ou hydriques. - ‑Les catastrophes dues a des regroupements humains importants. Par ailleurs ce texte met en relief la nécessité de l'information et de la formation sur les risques majeurs et la gestion des catastrophes.

LA PREVENTION Cette loi renforce les dispositifs de prévention des risques en définissant : - les règles générales applicables à tous les risques majeurs ; - les prescriptions particulières a chaque type de risque ; - les dispositifs de sécurisation stratégiques ; - les dispositifs complémentaires. Ces dispositions sont renforcées par l'institution d'un plan général de prévention de risque majeur qui sera adopté par décret. La particularité de ce plan général de prévention de risque majeur - non seulement qu'il soit adopté par un décret, mais il est propre a chaque type de risque énumère à l'article 10 de cette loi. A ce plan général de prévention de risque majeur, s'ajoute les prescriptions particulières a chaque risque. Une des autres particularités de cette loi est la prise en charge des établissements recevants le publics (regroupement humains importants). La lutte et les secours de première urgence nécessitent que les centres de commandement, les centres de secours et les hôpitaux ainsi que les moyens de communication qui les relient, soient protégés. En particulier le réseau routier doit permettre, en cours ou immédiatement après l'aléa, de desservir les principaux centres susceptibles de devenir opérationnels.

Ces préoccupations sont prises en charge dans le chapitre 3 du titre II de cette loi. En ce qui concerne la gestion des catastrophes la loi 04-20 du 25-12-2004 instaure dans son article 50 : le système national de gestion des catastrophes constitué par : - Une planification des secours et des interventions - Des mesures structurelles pour la prise en charge des catastrophes. Cette planification est dénommée " PLAN ORSEC " ces plans se subdivisent en : Plans ORSEC nationaux ORSEC inter-Wilaya ORSEC Wilaya ORSEC communaux ORSEC des sites sensibles

Gestion des catastrophes Art 50 : - ‑Instaure un système national de gestion des catastrophes. - Une planification des secours et des interventions. - ‑Des mesures structurelles pour la prise en charge des catastrophes. Chapitre I Art 51 : - Planification des secours. - " Plan ORSEC " - Planification des interventions particulières Plans ORSEC Art 52 : - Plan nationaux - Inter-Wilaya - Wilaya - Communaux - Sites sensibles. Art 53 : Composition (modules) Art 54 : Planification des opérations de secours. Art 55 : Phases des plans ORSEC. Art 56 : Réquisition.

Plans particuliers d'intervention Art 59 : Pollutions Art 60 : ‑Etude de danger obligatoire à toute installation industrielle. Art 61 : Plan particulier d'intervention (PPI). Art 62 : ‑Obligation aux exploitants d'installations industrielle un plan interne d'intervention (PPI). Chapitre 2 Mesures structurelles pour la prise en charge des catastrophes Art 63 : - Réserves stratégiques - ‑Mise en place du système de prise en charge des dommages. - Mise en place d'institutions spécialisées. Composition Art 66 : Niveaux N. inter W. W

MERCI DE VOTRE ATTENTION