Introduction Commerce des apiculteurs Conclusion LES APICULTEURS Introduction Commerce des apiculteurs Conclusion
introduction Un apiculteur ou une apicultrice est un éleveur d’abeilles qui tire profit des produits de la ruche : -Miel : Substance liquide, visqueuse et sucrée que les abeilles composent avec le nectar qu’elles recueillent en butinant les fleurs et le miellat sur les feuilles des plantes. -Pollen : Poussière constituée de grains renfermant l'organe reproducteur mâle des plantes à fleurs. -Propolis : Substance résineuse récoltée par les abeilles et utilisée dans la construction des ruches et pour fixer les gâteaux de cire. -Cire : Substance élaborée par les abeilles. -Gelée royale : Substance que les abeilles produisent pour nourrir la reine. -Couvain : ensemble des œufs, larves et nymphes contenus dans une ruche. (Source : wikipédia), (définitions : wiktionnaire).
2. LE TRAVAIL DE L’APICULTEUR 3.1AU COURS DES SAISONS. 2.1.1 AU PRINTEMPS La visite de printemps s’effectue en février ou mars lors d’une belle journée. C’est la première visite après une longue période d’hivernage. L’idéal pour ouvrir une ruche sans risque de refroidir le couvain est une température extérieure de 15°C .La visite de printemps est très importante elle permet de voir si la reine et les ouvrières ont survécu, et si elles sont aptes à reprendre le travail qui les attend. (Source : CDI). http://2.bp.blogspot.com/-ECZ 1AlQfq5U/TZcJHOFYZEI/AAAAAAAA BT0/ROXK4Xu42Qw/s1600/_MG_2072.JPG
2.1.2 EN ETE En juin juillet, les colonies deviennent très importantes, les risques d’essaimages diminuent, les abeilles constituent leur réserve de miel. Il est nécessaire pour les colonies de disposer d’eau à proximité de façon à réguler la température de la ruche. C’est le moment de récupérer les hausses et de récolter le miel puis le traiter. Il faut commencer à préparer la colonie pour l’hivernage, regrouper les colonies faibles avec les colonies fortes. La ponte de la reine est stimulée en nourrissant la colonie avec du sirop en petites quantités régulières de façon à ce que les colonies soient fortes pour passer l’hiver. Vérifier que les réserves de miel soient suffisantes et apporter un complément de nourriture si nécessaire en fournissant du sirop en plus grande quantité. http://www.google.fr/imgres?imgurl=http://farm3.static.flickr.co m/2650/3781143996_768984f846.jpg&imgrefurl=http://www.fli ckr.com/photos/rucher_orgeval/3781143996/&usg=__PWkaiR7k qb_0PwU8o7J3gQjo39k=&h=375&w=500&sz=171&hl=fr&start=0&z oom=1&tbnid=07szjidEx_0BjM:&tbnh=113&tbnw=151&ei=qkrCTbj 9D8an8QODp9j1BQ&prev=/search%3Fq%3Drecuperage%2Bdes%2 Bhausse%26hl%3Dfr%26safe%3Dvss%26gbv%3D2%26biw%3D1004% 26bih%3D581%26tbm%3Disch&itbs=1&iact=hc&vpx=112&vpy=127 &dur=1061&hovh=194&hovw=259&tx=118&ty=82&page=1&ndsp= 16&ved=1t:429,r:0,s:0
2.1.3 EN AUTOMNE Il faut terminer le nourrissement. Pour un bon hivernage la colonie doit disposer de 18kilo de miel. Si tel n’est pas le cas il faut nourrir la colonie avec du miel, du candi, du sirop mais il ne faut pas donner ce dernier trop tard en saison car cela fatigue les abeilles qui doivent, le pomper, en faire partir l’humidité et le stoker. Pour préparer la colonie pour l’hiver il faut réduire les entrées et protéger les ruches des pics-verts en les entourant de bull plastique ou de polystyrène, puis couper les branches des arbres qui risqueraient de tomber sur les ruches lors d’un grand vent, et entretenir les abords du rucher.
2.1.4 EN HIVER Il faut laisser la colonie tranquille, éventuellement profiter d’une belle journée pour déposer un pain de candi dans le nourrisseur. La colonie pour se réchauffer va former une boulle quand les abeilles situées à l’extérieur de la grappe sont transies de froid elles sont poussées vers l’intérieur pour se réchauffer. La reine diminue considérablement sa ponte le couvain devient inexistant, la colonie vie au ralenti sa seule préoccupation étant de se nourrir afin d’avoir l’énergie nécessaire pour maintenir la température de la grappe. L’hiver il ne faut pas déranger les abeilles et risquer de casser la cohésion de la grappe. Tout dérangement provoque un surcroît de consommation de nourriture, l’apiculteur doit juste protéger les ruches des intempéries et des prédateurs mais laisser les colonies tranquilles, ne pas toucher à la ruche, maintenir le calme et la tranquillité de l’environnement de façon à ce que les abeilles puissent hiverner convenablement. Peu à peu la reine reprendra sa ponte et dés la fin février, la colonie sera prête pour reprendre sa vie au printemps.
2.2 LA RECOLTE DU MIEL : L’apiculteur doit se protéger des piqûres et emploi des combinaisons de couleur claire serrées aux poignets et aux chevilles. L’enfumoir est une sorte de bocal métallique équipé d’un bec et muni d’un soufflet, dans lequel l’apiculteur fait brûler des appropriés comme des herbes sèches ou des aiguilles de pins. Le but est de produire une fumée blanche et froide qui désoriente les abeilles et les pousse à se réfugier dans le corps de la ruche, moyen efficace pour se protéger de leur piqûres.
2.2.1 COLLECTE DES HAUSSES. Dans un petit rucher, la collecte des hausses s’effectue cadre par cadre. Après un enfumage discret, l’apiculteur ôte les cadres et les brosse pour ne pas emporter les abeilles. Il vérifie que les rayons sont bien operculés. Dans le cas contraire, le miel ne se conservera pas, il convient alors de reposer le cadre dans la ruche.
2.2.2 DESOPERCULATION DES RAYONS À la miellerie, les rayons sont désoperculés à l’aide d’un grand couteau : il s’agit d’ôter la pellicule de cire qui ferme les alvéoles afin de permettre au miel de s’écouler.
2.2.3 EXTRACTION DU MIEL Les cadres sont ensuite placés dans un extracteur qui, par force centrifuge, fait jaillir le miel hors des alvéoles sans abîmer les rayons. Ces derniers pourront ainsi être réinstallés ultérieurement dans la ruche.
2.2.4 FILTRATION MATURATION DU MIEL Le miel obtenu contient des impuretés (petits débris de cire ou de propolis, pattes ou ailes d’abeilles, boulettes de pollen). Pour les ôter, l’apiculteur filtre le miel avant de le placer dans un maturateur, une cuve où le miel repose à température constante (entre 20 et 25°C).
2.2.5 MISE EN POT DU MIEL Au bout de quelques jours de maturation, les dernières impuretés sont remontées en surface. Elles forment une écume que l’apiculteur retire avant de procéder à la mise en pot.
CONCLUSION L’apiculture est une passion et un métier dur qui nécessite d’être attentif à l’écosystème entourant la ruche.