Réalisé Par: Rabeb Gharbi Mohamed Arbi Weslati

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Transcription de la présentation:

Réalisé Par: Rabeb Gharbi Mohamed Arbi Weslati Université de Tunis El Manar Faculté des sciences Mathématiques, Physiques et Naturelles de Tunis   SDH/PDH Réalisé Par: Rabeb Gharbi Mohamed Arbi Weslati

Plan du Travail Introduction SDH-PDH et Définitions Historique PDH définition et limitation Nécessité de la SDH Caractéristiques de SDH Conclusion

Introduction Les télécoms, devenus un outil stratégique pour les entreprises intéressent désormais toute organisation de services. Il s'agit donc de monter en puissance d'actuelles infrastructures en fibre optique. Conçue pour les hauts débits, hautement normalisée au plan international, la technique SDH offre aujourd'hui des solutions de transport totalement maîtrisées, sécurisées et compétitivité.

Définitions Que signifie PDH? La hiérarchie numérique plésiochrone ou PDH (en anglais Plesiochronous Digital Hierarchy) est une technologie utilisée dans les réseaux de télécommunications afin de véhiculer les voies téléphoniques numérisées .

Que signifie SDH ? La hiérarchie numérique synchrone ou SDH (en anglais Synchronous Digital Hierarchy) c’ est un ensemble de protocoles pour la transmission de données numériques à haut débit. Il relève du niveau 1 du modèle en couches de l'OSI et correspond à SONET aux États-Unis.

En pratique ,ces protocoles sont utilisés par les opérateurs de télécommunication pour leur réseau, mais la SDH fait aussi l'objet de services vendus aux entreprises, comme l'offre SMHD de France Télécom, une offre de boucle(s) privative(s) basée sur la technologie SDH.

Ses débits sont appelés STM-i avec le STM-1 égal à 155 Mbit/s Ses débits sont appelés STM-i avec le STM-1 égal à 155 Mbit/s. STM signifie Synchronous Transport Module. Le STM-4 correspond à un débit de 622 Mbit/s, le STM-16 correspond à un débit de 2,5 Gbit/s et le STM-64 correspond à un débit de 10 Gbit/s.

Historique De la PDH (les années 1970) vers la SDH (les années 1990) La PDH est née avec la numérisation des réseaux téléphoniques dans les années 1970. (Première technique de multiplexage numérique (1960/1970). La hiérarchie PDH (Hiérarchie Numérique Plésiochrone) a évolué principalement pour répondre à la demande de la téléphonie (voix).

La disponibilité de la bande passante a conduit à la prolifération des nouveaux services, autres que la voix, principalement pour les besoins des clients professionnels. La demande croissante de la part des opérateurs pour de nouveaux services télécoms à large bande a donc été à l'origine des travaux sur les réseaux optiques synchrones dès 1984

Les premiers résultats concernant les réseaux optiques synchrones (SONET) ont été publiés aux Etats-Unis fin 1986, sur l’initiative de BELLCORE (BELL COmmunication REsearch).  Toute la difficulté de la normalisation a été de trouver un compromis entre les intérêts américains, européens et japonais afin de garantir l'interconnexion des différents réseaux des opérateurs. 

Caractéristiques de la PDH La PDH est capable de multiplexer et de transporter des éléments binaires de débit inférieur en les transmettant à des débits supérieurs. Le multiplex élève les débits inférieurs à une valeur supérieure par injonction d'éléments binaires de justification, avec une indication de leur présence dans la trame résultante.

Cette technique d'introduction de signaux supplémentaires ne permet pas d'accéder aux composantes originelles sans démultiplexer complètement le format rapide.

 Limitation de PDH L'incapacité d'identifier un canal individuel dans un flot à haut débit, l'absence des moyens efficaces pour la surveillance de la qualité de transmission et la structure de la trame non dimensionnée pour transporter les informations de management du réseau et des équipements sont les limitations principales de PDH - elles peuvent être acceptables en téléphonie, mais pas dans un réseau de services.

Manque de visibilité des affluents bas débits Manque de visibilité des affluents bas débits. La technique de multiplexage est complexe en raison du plésiochronisme des sources. Les débits proposés sont limités : le multiplexage n'étant pas un simple entrelacement de bits, la technologie des ASICs ne suit plus.

La trame PDH ne contient pas d’’octets réservés à l'exploitation La trame PDH ne contient pas d’’octets réservés à l'exploitation. Sauf le CRC. Pas de gestion standardisée. Pas d'interopérabilité à hauts débits entre les continents puisque les débits sont différents.

Nécessité de SDH Nécessité d'avoir une technique simple de multiplexage temporel (en synchronisant l'ensemble du réseau) permettant des débits plus élevés • Besoin d'avoir un réseau flexible pour répondre rapidement aux nouveaux besoins du marché Possibilité de gérer un parc d'équipements à distance et offrir aux clients une qualité de service quantifiable

on voie la différence entre La SDH et La PDH La couche SDH on voie la différence entre La SDH et La PDH

Les principaux avantages de la SDH Simplification du réseau : La simplification des techniques de multiplexage / démultiplexage permet l'utilisation d'un nombre illimité d'équipements. Haute flexibilité :Possibilité d'accéder aux affluents bas débits sans besoin de décomposer tout le signal haut débit. la facilité deréorganisation du train résultant la possibilité de transporter dans ce train des débits variés.

Le principe de multiplexage retenu pour la SDH est le multiplexage synchrone. Ce type de multiplexage procure une visibilité directe des signaux transportés à l'intérieur d'une trame à 155Mbit/s. On peut alors extraire ou insérer des affluents, réorganiser le multiplex sans effectuer l'ensemble des opérations de multiplexage/démultiplexage.

Intégration de PDH  :Possibilité de transporter des signaux existants dans PDH. Ceci permet d'intégrer les équipements SDH dans les réseaux existant, et permet l'introduction d'une large gamme de services. Evolutivité  : Facilité d'évolution vers les niveaux de multiplexage supérieurs, l'extension du réseau et les nouveaux services.

SDH se situe au niveau 1 et 2 du model OSI :

la SDH constitue la troisième génération de la hiérarchie de multiplexage des infrastructures des opérateurs où elle succède à la PDH ( E1 (2 Mbit/s), E2 (8 Mbit/s), E3 (34 Mbit/s), etc. en Europe, T1 (1,5 Mbit/s), T2 (6 Mbit/s), T3 (45 Mbit/s), etc. aux États-Unis).

Applications SDH STM: signifie Synchronous Transport Module

Topologie de SDH Les architectures peuvent être réalisées en bus, en anneau, en étoile et peuvent être combinées entre elles permettant aux opérateurs de résoudre un grand nombre de cas pratiques.

Topologie en anneau

Un réseau en anneau est une chaîne, repliée sur elle-même et refermée, constituée uniquement de noeuds MIE (ou ADM pour Add-Drop Multiplexer) et ne possédant pas de noeud terminal. Ce type de réseau joue un rôle clé en SDH/SONET grâce aux mécanismes performants d'auto cicatrisation (délai de rétablissement < 50 ms) du réseau en cas de défaillance (par exemple: câble coupé, panne d'électricité ou incendie dans un noeud du réseau).

Les applications des réseaux en anneau sont nombreuses : réseaux d'accès aux réseaux nationaux, en passant par les réseaux locaux et régionaux.

Autres Topologies : Topologie en bus

Topologie en étoile

Conclusion L'intérêt de la SDH est la richesse des fonctions de gestion, de surveillance, d'alarmes et d'autocicatrisation. Les concepts de la SDH répondent à un certain nombre d'objectifs qui sont la flexibilité, la visibilité, la facilité d'exploitation, la prise en compte des évolutions futures vers les hauts débits et l'interconnexion des systèmes.

Biographie http://fr.wikipedia.org/wiki/Hi%C3%A9rarchie_num%C3%A9rique_synchr one http://www.epinard.free.fr/SDH/PDHSDH.php http://fr.wikipedia.org/wiki/SDH file:///G:/projet%20TRD/doc%202/index.php.html file:///C:/Users/dell/Desktop/doc%202/Transmission.php.html

Merci pour votre attention