Plus de 4 000 lycéens supplémentaires, en 2025, en région Centre 01/07/2014
Le contexte Travail en partenariat avec le Conseil Régional, avec la collaboration du Rectorat et de la Draaf Objectifs : besoins d’éléments prospectifs sur le volume de lycéens à scolariser Champ : Population des 14-18 ans Zonage : bassins de vie du SRADDT Objectifs : La loi du 13 août 2004 a confié au Conseil Régional de nouvelles compétences dans le domaine de l’éducation et de la formation professionnelle. Afin d’anticiper les besoins en capacités d’accueil des lycées sur les territoires et d'étayer les décisions relatives à l’évolution de l’offre de formation, l’État et la Région ont besoin d’éléments démographiques prospectifs sur le volume de lycéens à scolariser. Champ : L’étude porte sur les jeunes de 14 à 18 ans, scolarisés en lycée relevant du ministère de l’Éducation nationale ou du ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt, c’est-à-dire des lycées d’enseignement général et technologique et des lycées professionnels. Ne sont pas inclus les jeunes au-delà du baccalauréat (BTS/BTSA et classes préparatoires) ni les élèves de 1er cycle (6e à 3e) du 2nd degré scolarisés dans les lycées. Les jeunes de 14 à 18 ans représentant 96 % des effectifs des lycées en 2014, le choix a été fait de s’intéresser à cette seule tranche d’âge. Zonage : Ces informations sont déclinées au niveau territorial selon les bassins de vie du Schéma Régional d’Aménagement et de Développement Durable du Territoire (SRADDT). Les territoires pris en compte dans cette étude sont basés sur les 23 grands bassins de vie établis dans l’élaboration du Schéma Régional d’Aménagement et de Développement Durable du Territoire (SRADDT) de la région. (Ce découpage a été construit à partir de l’attractivité d’un nombre restreint de pôles offrant une gamme de services déterminée). Les projections de population sont pertinentes pour des territoires d’au moins 50 000 habitants. C’est pourquoi, certains bassins ont été regroupés : Aubigny-sur-Nère avec Bourges, La Châtre et Issoudun avec Châteauroux. Ainsi, la région est découpée en 20 zones.. Ceux-ci sont différents des bassins de vie élaborés par l’Insee, mis à jour en 2012, qui identifient les plus petits territoires sur lesquels les habitants ont accès aux équipements de commerce et de service de la vie quotidienne. Ce découpage partitionne la région Centre en plus de 100 zones, dont certaines inter régionales. Si besoin d’explication sur : pourquoi on n’a pas pris tous les lycéens ? Phénomène régional : bcq de migrations des étudiants en région Centre : mal prises en compte dans l’outil, notamment à des niveaux infra-régionaux. L’outil a tendance à sur-estimer la population des 19-22 ans et on peut avoir des évolutions différentes sur certains territoires. Cependant les projections sont correctes sur les 14-18 ans. 01/07/2014 Plus de 4 000 lycéens supplémentaires, en 2025, en région Centre
Etat des lieux en 2014 Etat des lieux selon les filières Etat des lieux 2014, pour l’année scolaire 2013-2014 : dans l’ensemble des lycées de notre champ : (Education nationale et Ministère en charge de l’Agriculture), on compte : 77 600 jeunes de 14-18 ans près des ¾ dans des lycées d’ens. général et technologique de l’Education Nationale – 20% en LP et 7 % dans les lycées agricoles Plus de la moitié de filles : 52,5%. Poids des filles plus important dans l’enseignement agricole. On trouve une grande majorité de filles dans la filière des services (services à la personne notamment). (Les services représentent environ 1/3 des effectifs : services aux personnes et aux territoires, services en milieu rural. 93% sont des filles. 82% des jeunes scolarisés dans des établissements du secteur public. Surtout dans l’Education nationale. Poids du secteur privé est plus fort dans l’enseignement agricole. En termes d’établissements, la région compte 66 établissements du secteur privé sur les 166 établissements au total. Ce pour seulement 18% des effectifs totaux. Dans le secteur privé, les lycées sont plus petits. Regard à l’infra-régional Dans l’ensemble des filières : les 6 BV regroupant le plus d’élèves sont les BV comprenant les chefs-lieux des départements 2 BV (Tours et Orléans) accueillent 37% des lycéens (Ils regroupent aussi 1/3 des lycées de la : 53 etab sur 166) Qd on fait le détail par filière : L’enseignement agricole est mieux réparti sur le territoire. Ce n’est pas le cas de l’enseignement général et technologique et de l’enseignement professionnel, qui a tendance à davantage se concentrer dans les grandes agglomérations ; Orléans et Tours arrivant en tête. Etab : 100 PU dont 89 rectorat et 11 draaf 66 PR dont 35 rectorat et 31 draaf 01/07/2014 Plus de 4 000 lycéens supplémentaires, en 2025, en région Centre
Projections de population Méthodologie : évolution tendancielle de la population (scénario central) Evolution de la population totale : + 3,6% entre 2014 et 2025 Une augmentation plus forte des 14-18 ans : + 6,7% à horizon 2025 Avant de faire des projections du nombre de lycéens, il faut faire des projections de population en âge d’aller au lycée Une projection n’est pas une prédiction (on ne prédit pas l’avenir), ni une prévision (échéance trop lointaine, nos prévisions sont à très court terme)/ Pour une projection : on projette l’avenir à partir du passé, en faisant des hypothèses uniquement sur la démographie. Cet exercice a des limites dans la mesure où il ne prend pas en compte des phénomènes exceptionnels qui pourraient se produire : comme des phénomènes migratoires exceptionnels, ou des évolutions économiques. A partir de ce qu’on connaît, on projette l’avenir. Ce n’est pas la réalité de ce qu’il va se produire. Les projections de population se font à partir d’hypothèses sur l’évolution de la fécondité, de l’espérance de vie et du solde migratoire. Nous avons travaillé essentiellement sur un scénario qui poursuit les tendances passées, le scénario central : fécondité stable depuis 2007, edv évolue au même rythme observé ces dernières années. Gain d’espérance parallèle à la tendance France métro (83,1 pour les hommes à horizon 2040 et 88,8 pour les femmes). Echanges migratoires internes maintenus constants sur toute la période (Ventilation locale de l’hypothèse nationale d’un solde avec l’étranger de 100 000 par an). Evolution plus forte chez les jeunes de 14-18 ans que l’évolution de la population totale. (pour mémoire : point de départ 2014 pour calculer les taux de scolarisation. Dans les fichiers élèves à la rentrée 2013-2014 : l’âge de l’élève correspond à l’âge obtenu au 31 déc 2013. Par exemple pour ceux qui ont15 ans au 31 déc 2013, pour calculer un taux de scolarisation, on le rapporte au nombre de personnes de 15 ans au 1er janvier 2014 (source RP et projection sont toujours au 1er janvier). Volume : Pop tot 2014 : 2 603 000 Pop tot 2025 : 2 698 000 Pop 14-18 2014 : 151 850 Pop 14-18 2025 :162 050 Soit 10 200 jeunes en plus en 2025 01/07/2014 Plus de 4 000 lycéens supplémentaires, en 2025, en région Centre
Projections de population Des évolutions contrastées suivant les périodes Des évolutions liées : - au nombre de naissances - et aux mouvements migratoires Evolution de population des 14-18 ans non linéaire sur la période : Des évolutions liées : au nombre de naissances ET et aux mouvements migratoires Graph avec évolution de la population des 14-18 ans (à gauche) mis en regard de l’évolution des naissances de la fin des années 90 à nos jours (graphique de droite) Hausse jusqu’en 2019 : dû essentiellement à une forte hausse des naissances à la fin années 90 (pic de l’an 2000) Suivie d’une légère baisse en 2020 et 2021 : qui correspond au léger déclin du nombre de naissances après le pic de l’an 2000 Nouvelle croissance à partir 2022 : grâce à croissance sensible des naissances à partir des années 2005-2006 (niveau supérieur au niveau des naissances de fin des années 90, même si graphique en dent de scie) A partir de 2025, les hypothèses sur la fécondité entrent en jeu (Jusqu’en 2025, les futurs lycéens sont déjà nés). On présentera plus tard un graphique avec les différentes hypothèses sur la fécondité Les naissances contribuent à l’évolution de la population mais les migrations également. Dans la région, le solde migratoire est positif pour les adolescents de 14 à 18 ans sur toute la période de projection. Les migrations et les naissances contribuent chacune pour moitié à l’augmentation de cette population entre 2014 et 2025, une augmentation d’environ 10 200 personnes de 14 à 18 ans (volume sur les 14-18 en 2014 : 152 000 hab) Source : Insee, RP – Omphale 2010 scénario central Source : Insee, Etat civil 01/07/2014 Plus de 4 000 lycéens supplémentaires, en 2025, en région Centre
Projections du nombre de lycéens Méthodologie : - calcul des taux de scolarisation par âge et par zone - application de ces taux aux effectifs projetés de population Liées aux évolutions démographiques - impact des naissances et des migrations Liées à l’évolution des taux de scolarisation - des taux en progression Le principe des projections du nombre de lycéens consiste à appliquer un taux de scolarisation par âge aux projections de population établies précédemment. Il s’agit de taux de scolarisation, donc du rapport entre le nombre de jeunes gens d’un âge donné scolarisé en lycée sur un bassin de vie, et le nombre de jeunes gens de cet âge résidant sur le bassin de vie en question. Les projections du nombre de lycéens sont liées aux projections de population, donc aux évolutions démographiques, et donc aux naissances et aux migrations comme évoquées précédemment mais aussi aux taux de scolarisation, qui sont en progression (colonne total du tableau) Tableau des taux de scolarisation en lycée en région Centre : - En 2010, 49,4 % des jeunes de 14 à 18 ans de la région Centre sont scolarisés dans un lycée de la région. Ce taux augmente tous les ans pour atteindre 51,1% en 2014. - Le taux de scolarisation dans les lycées des jeunes de 14 ou 15 ans est moins élevé qu'à 16 ou 17 ans car certains sont encore au collège. - Les lycéens, et notamment les bacheliers, sont de plus en plus jeunes. Cf tableau : il y a de moins en moins de jeunes âgés de 18 ans dans les lycées qu’avant. Ceci s’explique par un recul des taux de redoublement et par la rénovation de la voie professionnelle mise en place à la rentrée 2009. Celle-ci conduit à des cursus plus courts pour obtenir le baccalauréat professionnel. Pour estimer les volumes de lycéens, on a choisi de ne pas faire varier dans le temps les taux de scolarisations par âge. Mais afin de limiter les effets conjoncturels, le calcul s’appuie sur des taux moyens reposant sur plusieurs années. Deux variantes sont proposées : - Tx3 : des taux moyens de scolarisation sur 3 ans : rentrées 2011 à 2013 - Tx5 : des taux moyens de scolarisation sur 5 ans : rentrées 2009 à 2013 Ce tableau représente les taux de scolarisation au niveau régional pour donner des éléments de cadrage. Mais pour notre étude, nous avons calculé des taux de scolarisation par âge et par BV Choix d’étudier ces 2 taux moyens de scolarisation sur scénario central pour les projections de population Une autre méthode a été testée, qui consiste à prendre en compte les dynamiques démographiques des différentes zones au travers d’une matrice bassin de vie de résidence / bassin de vie du lieu d’étude. Elle conduit à des résultats très similaires. 01/07/2014 Plus de 4 000 lycéens supplémentaires, en 2025, en région Centre
Projections du nombre de lycéens au niveau régional A l’horizon 2025, entre 4 050 et 4 600 élèves supplémentaires par rapport à 2014, selon le taux de scolarisation A l’horizon 2025, entre 4 050 et 4 600 élèves supplémentaires par rapport à 2014, selon le taux de scolarisation Evolution passée, de 2006 à 2014 : Après une phase de repli, quelle que soit la filière (général, professionnel agricole), l’effectif lycéen augmente fortement depuis 2011 en région Centre. Cette hausse d’effectifs est le résultat d’une conjonction de phénomènes : un essor démographique, un recul des sorties du système scolaire et une baisse des contrats d'apprentissage. Evolution de 2014 à 2030 : La tendance suit logiquement la courbe de projection de population montrée précédemment Horizon 2025 : Entre 4050 et 4600 lycéens supplémentaires soit entre 81 650 et 82 220 lycéens (En 2014 : 77 600 lycéens de 14 à 18 ans En 2020 : entre 1550 et 2050 lycéens supplémentaires) 01/07/2014 Plus de 4 000 lycéens supplémentaires, en 2025, en région Centre
Projections du nombre de lycéens au niveau régional A partir de 2025, les hypothèses sur la fécondité entrent en jeu Jusqu’en 2025, les hypothèses émises sur les niveaux de fécondité n’entrent pas en jeu, dans la mesure où la quasi-totalité des futurs lycéens est déjà née. En 2030, en faisant varier à la hausse ou à la baisse le taux de fécondité, et en considérant le scénario des taux moyens de scolarisation sur trois ans, les lycées de la région Centre devraient accueillir entre 77 300 et 85 700 élèves de 14 à 18 ans. L’outil de projection repose sur des hypothèses faites sur la population. Ici nous avons testé l’évolution de la fécondité mais d’autres phénomènes peuvent entrer en ligne de compte, comme les migrations qui sont plus difficiles à appréhender. Nous avons privilégier le scénario central et notre étude a porté essentiellement sur un horizon à 2025. (Rappel méthodo : Pour la fécondité, les scénarii « fécondité haute » et « fécondité basse » font converger la fécondité de chaque territoire vers une valeur cible en 2015, qui correspond à l’indicateur conjoncturel de fécondité de la zone en 2007 augmenté ou diminué de 0,15. Au-delà, la fécondité ainsi atteinte est maintenue.) (En 2025, environ 82 200 quel que soit le scénario) 01/07/2014 Plus de 4 000 lycéens supplémentaires, en 2025, en région Centre
Projections du nombre de lycéens : analyse par bassin de vie à horizon 2025 Explications carte : Aplat de couleur du BV en fonction de l’évolution du nb de lycéens entre 2014 et 2025 Pour le calcul de cette évolution, le taux de scolarisation considéré est le taux moyen à 3 ans. Les constats faits sur la majorité des bassins de vie du SRADDT, à partir du scénario avec un taux de scolarisation moyen sur trois ans seraient identiques avec le scénario utilisant le taux moyen sur cinq ans. - camembert dont la grosseur représente l’effectif lycéens en 2014. Camembert qui montre la répartition des lycéens selon les 3 filières (EN- ens général et technologique, EN ens. Professionnel, Ens agricole) L’Effectif lycéen est à mettre en parallèle de l’évolution. On peut avoir une forte évolution comme à Châteaudun ou Argenton le Blanc mais cela concerne de petits effectifs. Il est important de garder à l’esprit les volumes concernés quand on parle d’évolution. Des bassins très dynamiques : sur l’axe ligérien et dans le nord de la région avec : une augmentation assez forte, supérieure à 7% en particulier à Montargis, Amboise (où l’augmentation avoisine les 14%), mais aussi Tours, Orléans, Châteaudun et Dreux. Augmentation liée à la fois aux naissances et à l’attractivité des territoires Orléans et Tours : 2 BV avec le plus de lycéens. Près de 4 lycéens sur 10 y étudient en 2014. Ceci serait toujours le cas en 2025. (Montargis attirent des familles venant de la région parisienne). - Evolution assez soutenue, entre 4 et 7% aussi sur d’autres BV du nord de la région : Pithiviers, Chartres, Nogent-le-Rotrou, Vendôme mais aussi Chinon Vierzon et Argenton-Le Blanc. Dans ces territoires, les augmentations du nombre de lycéens scolarisés sont principalement dues à l’évolution du nombre de jeunes résidents. Chartres et Nogent attirent de nombreux jeunes résidant sur d’autres territoires Chartres : offre de formation conséquente (11 lycées) Nogent attire des élèves habitant en dehors de la région : ce qui s’explique par sa situation géographique mais aussi par le fait l’offre y est plus spécialisée en étant plus souvent orientée vers les enseignements professionnels et agricoles. Dans les zones plus claires : - Hausse plus modérée : dans les zones de Loches, Gien, Blois Elle serait de l’ordre de 3 à 4 % d’ici 2025. - Les bassins de Châteauroux et Romorantin-Lanthenay connaitraient une très faible augmentation de lycéens voire une quasi-stagnation (à Romorantin) liée à une baisse du nombre de jeunes. Dans deux bassins situés au sud-est de la région, Bourges et Saint-Amand-Montrond, les lycées pourraient perdre des élèves. À Saint-Amand-Montrond, la faible évolution de population des 14-18 ans ne permettra pas de faire augmenter le nombre de lycéens, dont certains partent étudier dans la zone voisine de Bourges. Cette dernière, malgré une carte de formation importante (13 lycées) ne parviendrait pas à maintenir un nombre suffisant de jeunes. (Moins attractif auprès des familles et plus marqué par le vieillissement de la population, le bassin de Bourges enregistrerait une baisse du potentiel de lycéens) Interrogation DP sur Chateaudun et Argenton : Chateaudun : +8,1% lycéens – suit evol pop 14-18 de +8,4% entre 2014 et 2025 (grâce aux migrations résidentielles des familles) + petit BV 57000 hab Argenton : +5,6% lycéens. Petit BV 52000 hab. Evol pop 1418 de +2,8%. BV avec le moins de lycéens. 1055 en 2014 et 1114 en 2025 Montargis 14,0 Amboise 13,7 Dreux 8,8 Tours 8,6 Châteaudun 8,1 Orléans 8,0 Pithiviers 6,9 Nogent-le-Rotrou 6,4 Argenton-Le Blanc 5,6 Chartres 4,8 Vierzon 4,7 Vendôme 4,7 Chinon 4,4 Loches 3,7 Gien 3,5 Blois 3,1 Châteauroux 1,3 Romorantin-Lanthenay 0,4 Saint-Amand-Montrond -1,3 Bourges -2,9 Région Centre 5,9 Sources : Rectorat d'Orléans-Tours ; Draaf, bases élèves 2012 à 2014 ; Insee, RP - Omphale 2010 scénario central ; Conseil régional, Périmètre des bassins de vie du SRADDT au 01.01.2014 01/07/2014 Plus de 4 000 lycéens supplémentaires, en 2025, en région Centre
En résumé A l’horizon 2025, plus de 4 000 lycéens supplémentaires en région Centre Facteurs d’influence : Le nombre de naissances Les mouvements migratoires Les taux de scolarisation Hausse de plus ou moins grande ampleur selon les territoires Forte sur l’axe ligérien et le nord de la région Plus limitée au sud Baisse possible dans le sud-est Après 2025, les évolutions sont plus difficiles à anticiper car fortement liées au niveau du taux de fécondité Plus de 4000 lycéens supplémentaires en région Centre d’ici 2025, soit environ 82 000 élèves. Une hausse liée aux évolutions démographiques : - Les migrations et les naissances contribuent chacune pour moitié à l’évolution de cette population entre 2014 et 2025 Mais aussi aux taux de scolarisation, qui sont en progression. Evolutions contrastées entre l’axe ligérien, les franches franciliennes et le sud de la région. 01/07/2014 Plus de 4 000 lycéens supplémentaires, en 2025, en région Centre
Plus de 4 000 lycéens supplémentaires, en 2025, en région Centre Merci de votre attention ! Insee 131, rue du faubourg Bannier 45034 ORLÉANS CEDEX 1 www.insee.fr Informations statistiques : www.insee.fr / Contacter l’Insee 09 72 72 4000 (coût d’un appel local) du lundi au vendredi de 9h00 à 17h00 Contact Division Communication externe et conseil en information Tél. : 02 38 69 53 58 Courriel : medias-centre@insee.fr