Pathologies ostéo-articulaires

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Canal carpien quelques éléments spécifiques l’examen clinique d’abord Réveil par accentuation nocturne des douleurs Douleur ascendante mais pas descendante.
Transcription de la présentation:

Pathologies ostéo-articulaires Master Staps Pathologies ostéo-articulaires et handicap locomoteur 5) Les maladies du rachis Généralités Rachis cervical Hernies discales, sciatiques et cruralgies M de Scheuermann Scolioses Lombalgies Autres maladies (spondylolisthesis, infections…)

Cervicalgies Principes thérapeutiques; Prévention Rôle de l’activité physique Prise en charge et d’organisation des soins Définition; Épidémiologie Manifestations et conséquences Physiopathologie

Cervicalgies Définition; Épidémiologie Manifestations et conséquences Radiculalgie

Cervicalgies Définition; Épidémiologie Manifestations et conséquences Arthrose HD Sténose Définition; Épidémiologie Manifestations et conséquences Physiopathologie

COFER

Cervicalgies Principes thérapeutiques; Prévention Rôle de l’activité physique Prise en charge et d’organisation des soins Définition; Épidémiologie Manifestations et conséquences Physiopathologie

Examen Mobilité JY Maigne

Examen JY Maigne palpation de l'insertion basse du levator scapula (élévateur de l’omoplate) palpation de l'insertion basse du splenius du cou

Examen palpation du semispinalis. La tête est maintenue par la main gauche de l'examinateur, appuyée sur le front du patient. La palpation se fait d'avant vers l'arrière JY Maigne

Examen segmentaire des articulaires post JY Maigne

Examen Manœuvre d’Adson JY Maigne

RC normal

Arthrose IAP

Immobilisation Collier mousse Minerve Médicaments Kinésithérapie Massages Contractions isométriques..

Manipulations cervicales

Cervicalgies mécaniques Aigues = torticolis Arthrose /participation musculaire Facteurs de déclenchement (cf prévention) Examen Évolution Traitement D différentiel: C symptomatiques

Névralgie-cervicobrachiale NCB Examen Cause : Arthrose / HD Évolution Traitement D différentiel

Eurospine

Diagnostic topographique d’une atteinte radiculaire du membre supérieur. Racine Réflexe Déficit moteur Territoire sensitif C5 Bicipital Abduction du bras, face externe du bras. rotateurs de l’épaule. Moignon de l’épaule, C6 Stylo-radial Flexion du coude Face externe du (long supinateur), membre supérieur jusqu’au supination, flexion du 1 pouce. C7 Tricipital Extension du coude, Face postérieure poignet, du membre supérieur doigts, pronation. jusqu’aux 2 e et 3 e doigts. C8/D1 Cubito-pronateur Flexion et écartement des doigts. Face interne du membre supérieur jusqu’aux 4 e et 5 e doigts.

Examen - C5 : bicipital. - C6 : bicipital et/ou styloradial - C7 : tricipital. - C8 : cubito-pronateur ROT JY Maigne

Eurospine

Eurospine

Sténose cervicale Eurospine

Dorsalgies communes Principes thérapeutiques; Prévention Rôle de l’activité physique Prise en charge et d’organisation des soins Définition; Épidémiologie Manifestations et conséquences Physiopathologie

DIM

DIM

S de la charnière dorso-lombaire

Sciatiques et hernies discales Principes thérapeutiques; Prévention Rôle de l’activité physique Prise en charge et d’organisation des soins Définition; Épidémiologie Manifestations et conséquences Physiopathologie

Eurospine

Eurospine

S Rosenberg SFR

S Rosenberg SFR

Sciatique

Les 10 critères d’une sciatique d’origine discale La sciatique est unilatérale et mono-radiculaire, Elle est accompagnée ou précédée de lombalgies, Elle a été de début brutal après un effort ou un faux mouvement, Elle évolue de façon régressive (ou ne s'aggrave pas progressivement), Le patient a des antécédents de lombalgies, Il y a un signe de Lasègue, Il y a une raideur élective ou une attitude antalgique, Il y a un signe de la sonnette, Il y a une impulsivité aux efforts physiologiques (toux, éternuement, poussée abdominale).

Sciatique L5

Sciatique S1

Signe de Lasègue

Signe de Lasègue

Raideur rachidienne

Signe de la sonnette

Sciatique

Éléments cliniques orientant vers une radiculalgie symptomatique. Pathologie suspectée Éléments d’anamnèse Éléments de l’examen physique Spondylarthropathie (SpA)Homme, < 40 ans, antécédents familiaux de SpA, antécédents d’uvéite, talalgies, fessalgies, psoriasis, diarrhée, douleurs inflammatoires. Sensibilité aux AINS. Accentuation de la cyphose dorsale.Uvéite, psoriasis cutané.Atteinte des sacro-iliaques. Fracture, tassement Âge > 70 ans, antécédents d’ostéoporose.Traitement par corticoïdes, autre facteur ostéopéniant (ménopause précoce). Accentuation de la cyphose dorsale. Métastase, lymphome Âge > 50 ans, antécédents de cancer ostéophile (poumon, rein, prostate).Altération de l’état général.Lombalgies à début progressif, sans facteur déclenchant, s’aggravant, de rythme non strictement mécanique. Prostate indurée, tumeur du sein, hépatomégalie nodulaire, adénopathies ou autres atteintes organiques.Signes neurologiques déficitaires. Spondylodiscite Facteurs d’immunodépression (diabète, traitements), antécédents de geste sur le rachis (infiltration, chirurgie), infection (dentaire, endocardite), lombalgies inflammatoires. Signes généraux (fièvre, frisson). Plaie ou abcès cutané.Raideur rachidienne multidirectionnelle. Tumeur intrarachidienne Douleurs nocturnes, de décubitus, obligeant à se lever et à marcher pour être soulagé. Raideur multidirectionnelle.Signes neurologiques sous-lésionnels. Méningoradiculites infectieuses (herpès, zona, VIH, Lyme) Absence de facteur traumatique déclenchant, de syndrome rachidien.Contexte infectieux, morsure de tique.  Irradiation pluriradiculaire, déficit moteur ou sensitif étendu à d’autres territoires. Lésions cutanées. cofer

HD droite

IRM normale

Sacralisation de L5

Traitement Médicaments Repos? Infiltrations Chirurgie

Cruralgie

Cruralgie S de Léri Abolition du rotulien

Lombalgies Principes thérapeutiques; Prévention Rôle de l’activité physique Prise en charge et d’organisation des soins Définition; Épidémiologie Manifestations et conséquences Physiopathologie

Lumbago La lombalgie est dite « aiguë » si la douleur est récente (moins de 4 à 6 semaines). C’est le classique lumbago. Même si les douleurs sont très importantes au début, elles vont rapidement disparaître, soit toutes seules, soit grâce à un traitement. Conseils SFR

Lumbago Il s'agit d'une douleur qui survient brutalement, en général après un effort qui peut être soit violent et inhabituel, soit banal comme par exemple se pencher sur un lavabo. Les douleurs sont fortes, interdisant tout mouvement du dos, et soulagées par le repos. Mais, bien que la douleur soit très importante immédiatement, ce n'est pas grave et la durée n'excède pas en général une semaine. C'est la cause la plus fréquente de lombalgie aiguë (le terme aiguë signifiant que la douleur est récente : elle s'est installée depuis moins de 6 semaines).

Lombalgie La lombalgie est une douleur située dans la partie basse du dos. Il faut comprendre que ce n'est pas une maladie, mais un symptôme. Ce qui signifie que plusieurs causes peuvent entraîner une lombalgie. Il est important de pouvoir retrouver l'élément responsable, lorsque celui ci est susceptible d'entraîner un traitement simple et adapté qui, en supprimant la cause de la lombalgie, guérira cette dernière. Toutefois, dans la majorité des cas il est impossible d'identifier précisément la structure anatomique en cause. Le traitement sera donc symptomatique.

Lombalgies chroniques Si les troubles persistent depuis plus de 3 mois. Mais chronique ne signifie pas « définitif ». Parfois c'est uniquement dans certaines circonstances que la douleur va réapparaître, (efforts physiques, trajets en voiture, position prolongée,.). D'autres fois, la douleur est là en permanence. Toutefois, pour la très grande majorité des cas les douleurs vont diminuer progressivement.

Lombalgie chronique près le temps de guérison normale, une douleur persistante devra être considérée comme un problème en soit, et non comme le symptôme d'une lésion.  Temps de guérison -étirement musculaire : 0-6 sem. -entorse (ligament) : 0-12 sem. -hernie discale : 8 mois - 1.5 ans -tendon : 0-16 sem. -fracture : 12-24 sem. -nerf périphérique : 12 sem

fréquence On estime que seulement 2 personnes sur 10 passeront leur existence sans douleur de la colonne vertébrale. C'est la 3ème cause de handicap chronique. Mais si les lombalgies sont très fréquentes, seulement 5% des personnes atteintes vont souffrir de façon chronique. Par contre c'est cette catégorie de patients qui représentent 85% du coût total des lombalgies.

Lombalgies « communes » = une origine « mécanique » : une hernie discale, une arthrose, un pincement discal, etc.,.. Elles s'opposent aux lombalgies symptomatiques Par atteinte non mécanique de la colonne vertébrale : infection, ostéoporose, rhumatisme inflammatoire, etc.,. Ou lors de lésion qui ne concerne pas la colonne vertébrale, comme par exemple une colique néphrétique.

Facteurs de risque Age Profession à risque (charges lourdes, rotations…) Facteurs psycho-sociaux (insatisfaction au travail..) F psychologiques (dépression, stress)

Évolution du mal de dos 1 90% des patients souffrant d'une lombalgie sont guéris en moins de 2 mois. L'importance des lésions radiologiques ne prédit en rien l'évolution de la lombalgie. Ce n'est pas parce que vous avez un disque abîmé sur les radiographies que vous êtes « condamné(e) » à souffrir en permanence ! Il en est pour preuve que les personnes âgées ont souvent des disques très abîmés alors qu'elles souffrent généralement beaucoup moins du dos que les personnes plus jeunes.

Évolution du mal de dos 2 L'objectif principal est de prévenir la récidive du mal de dos et le passage à la chronicité. Tout doit être fait pour éviter ces deux écueils. C'est pourquoi il ne faut pas négliger une douleur du dos qui persiste 6 semaines à trois mois : traitement médicamenteux, séances de rééducation et pour certains une méthode de reconditionnement à l'effort.

Évolution du mal de dos 2 Dans cette perspective, « si vous avez été obligé(e) d'interrompre votre travail lors de la douleur aiguë, plus cet arrêt est prolongé plus les chances de retourner à votre activité antérieures diminuent ». Il faut savoir également que de temps à autres, vous pouvez avoir quelques douleurs. Cela est normal et ne signifie pas que les lésions se sont aggravées ou qu'une nouvelle pathologie est survenue. Les douleurs lombaires en général n'augmentent pas avec l'âge.

Pas héréditaire S'il est fréquent de constater que plusieurs membres d'une même famille souffre du dos, c'est parce que le mal de dos est extrêmement répandu dans la population générale. Certaines études montrent toutefois que des facteurs génétiques ou des prédispositions familiales, favorisent la dégradation du disque intervertébral. Mais d'une part la majorité des atteintes discales ne sont pas associées à des maladies génétiques et d'autre part il ne faut pas oublier que les lombalgies comme les lombosciatiques ou lombocruralgies, sont un symptôme et que beaucoup d'entre elles ne s'accompagnent pas d'anomalie discale.

Arrêter activités physiques? (1) Surtout pas, c'est même l'inverse qui est fortement conseillé. Mais attention tout est une affaire de bon sens. Il n'est pas recommandé, si vous êtes en période de douleur aiguë de maintenir des activités qui sont trop contraignantes pour votre dos. De toute façon, la douleur sera là pour vous le rappeler. Par contre, si la phase très douloureuse est passée, il est fondamental que vous retrouviez une activité la plus normale possible. La douleur doit rester votre guide. Si il est normal qu'au début la reprise soit un peu difficile, il faut quand même persévérer. Par contre bien entendu, si cela entraîne une majoration nette des douleurs, voyez avec votre médecin comment procéder, vous vous y prenez peut être d'une mauvaise manière, en voulant trop en faire.

Arrêter activités physiques? (2) Mieux, si vous ne faisiez pas du tout de sport, c'est le moment de reprendre, à un rythme très progressif, une activité physique. Parlez en à votre médecin, c'est le mieux placé pour voir avec vous qu'est ce qui vous conviendrait le mieux. C'est en faisant travailler à nouveau vos muscles, que vous préserverez le mieux votre dos.

Maladie professionnelle? (1) Une maladie professionnelle se définit par une pathologie qui a pour origine les conditions de travail. Ces maladies sont désignées dans le code de la Sécurité Sociale. Depuis le décret du 15 février 1999, le mal de dos est considéré comme maladie professionnelle dans certains cas bien précis. Il faut : - que les douleurs soient chroniques et provoquées par l'exposition de tout le corps aux vibrations, ou bien en liaison avec le port de charges lourdes ; - une durée maximale de 6 mois entre la fin de l'exposition professionnelle et la date de la première consultation pour la maladie, est fixée comme délai de prise en charge ; - le sujet doit avoir été exposé pendant au moins 5 ans.

Maladie professionnelle? (2) C'est votre médecin qui verra avec vous s'il y a lieu de faire une déclaration de maladie professionnelle. Il faut dans tous les cas, que la hernie discale mise en cause correspondent parfaitement à la sciatique ou la cruralgie. Vous remplirez alors un imprimé spécial accompagné de l'attestation de salaire remise par votre employeur et de 2 exemplaires du certificat médical. Il ne faut pas dépasser le délai de 2 ans à compter de la cessation du travail lié à la maladie pour faire la déclaration.

Reclassement professionnel? (1) Ce n'est pas la solution à tous les problèmes, et il vaut mieux dans tous les cas essayer de garder votre emploi antérieur, en acceptant vos douleurs dans la mesure du possible, en suivant un programme de réentraînement à l'effort et éventuellement en essayant de voir les aménagements possibles de votre poste.

Reclassement professionnel? (2) Mais, si votre profession est physiquement très éprouvante et que vous souffrez de lombalgies chroniques qui rendent impossible la reprise de votre activité, vous pouvez envisager un reclassement professionnel. Il faut d'abord avoir obtenu un reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé auprès de la Commission d'Orientation et de Reclassement Professionnel (COTOREP), ce qui vous permettra de bénéficier des mesures d'aide à la réinsertion professionnelle des personnes handicapées. Vous pourrez alors entamer les démarches pour un reclassement professionnel: - en vous inscrivant à l'Agence Nationale pour l'Emploi, - et en vous adressant à la COTOREP.

Reclassement professionnel? (3) Il faut savoir que l'obtention du reclassement professionnel n'est pas automatique et qu'une fois obtenu, le pourcentage de salariés retrouvant un emploi n'est que de 10% environ... Les autres possibilités sont la mise en invalidité après un arrêt de travail prolongé (3ans maximum) ou bien une retraite anticipée pour raison de santé si vous avez un certain âge.

Prévention de l’aggravation en pratique? Tout d'abord il faut veiller à ce que vous accomplissiez les mouvements de la vie quotidienne de façon correcte : vous relevez, ramasser un objet, porter des charges, se tourner, avoir une bonne position en voiture, etc.,. Ensuite il faut veiller à faire des exercices physique réguliers, soit personnellement soit en cours collectif. À votre travail, vous devez également veiller à ne pas garder trop longtemps la même position, et si vous devez accomplir des efforts physiques dans de bonnes conditions.

Les écoles du dos

Travail sur écran Conseils SFR Tout d'abord, il ne faut être ni trop près, ni trop loin de votre écran : la distance optimale entre vos yeux et l'écran est de 40 à 70 centimètres. La direction de votre regard doit être horizontale ou mieux légèrement dirigée vers le bas. Sinon vous risquez d'avoir des douleurs du cou et du dos. Asseyez-vous confortablement en réglant l'assise de votre siège de façon à ce que : vos avant bras forment un angle droit avec vos bras, vos pieds reposent au sol (ou sur un appui-pied), vos fesses doivent être bien en arrière sur le siège de façon à ce que votre dos soit bien soutenu. Il vaut mieux avoir un siège pivotant de façon à vous tourner «en bloc » et éviter ainsi de faire des torsions agressives pour votre dos. Conseils SFR

Charges lourdes Conseils SFR rapprochez-vous de la charge que vous devez soulevez, ne vous courbez pas, mais fléchissez les genoux pour vous baisser : vous ferez ainsi travailler les muscles de vos jambes et garderez le dos droit contractez vos muscles abdominaux pour soulever la charge appliquez les mêmes règles pour reposer la charge au sol. Conseils SFR

En voiture Conseils SFR Pour entrer et sortir de la voiture, il est important de veiller à ne pas faire des mouvements de torsion. Pour cela, vous devez faire pivoter tout le haut de votre corps en faisant pivoter votre bassin en même temps que vos jambes jointes. En ce qui concerne la position au volant, reculez votre siège pour ne pas être « collé(e) » au volant et redressez votre dossier. Calez vous bien en arrière du siège. Pensez également, si vous avez un long trajet à effectuer à faire régulièrement des pauses : toutes les deux heures. Conseils SFR

Loisirs : étirer les muscles du dos Pour étirer les muscles dorsaux, placez vous bien droit(e), sans bouger la tête, et pliez les bras sur vos avant-bras à 90°. Amenez lentement un coude vers le haut tandis que vous poussez l'autre vers l'arrière. Recommencez en inversant. Faites ces mouvements une dizaine de fois.

Pour augmenter la souplesse de votre dos, vous pouvez effectuer des étirements latéraux. Bien en équilibre sur vos jambes, laissez tomber les bras le long de votre corps. Inclinez vous lentement d'un côté de façon à ce que votre main atteigne le genou. Gardez la position pendant cinq secondes, puis faites le mouvement de l'autre côté. Faites ces mouvements 5 fois de chaque côté.

Enfin pour étirer à la fois vos jambes et votre dos, tenez vous bien droit(e) contre un mur. Penchez légèrement le haut du corps et attrapez un de vos genou de façon à le ramener vers votre poitrine. Gardez la position pendant cinq secondes puis relâchez doucement et reposez votre jambe au sol. Faites la même chose de l'autre côté. Recommencez l'exercice cinq fois.

Auto-exercices Les exercices suivants vont vous permettre de renforcer votre dos et de le ménager lorsque vous vous reposez. S Rozenberg SFR

Renforcez vos muscles abdominaux, dorsaux et des cuisses Après avoir assuré votre équilibre, collez votre dos contre un mur. Vos pieds doivent être écartés et alignés sur vos épaules, à environ 30 centimètres du mur. En fléchissant les genoux, laissez-vous glisser lentement le long du mur, jusqu'à ce que vos jambes forment un angle de 45° environ. Maintenez cette position pendant cinq secondes, puis remontez lentement. Recommencer l'exercice cinq fois de suite SFR

Renforcez vos muscles abdominaux, dorsaux et des cuisses Mettez vous à genoux, et à partir de la position neutre, vous allez faire le dos le plus « rond » possible. Maintenez cette position pendant cinq secondes, puis revenez lentement à la position initiale Recommencer l'exercice dix fois de suite. SFR

Adoptez des bonnes positions pour vous relaxer Allongé sur le dos, ramenez vers votre poitrine vos jambes, genoux fléchis. Cela va étirer les muscles de votre dos. SFR

Adoptez des bonnes positions pour vous relaxer Couché(e) sur le dos, positionner vos jambes le long d'un mur, genoux tendus. Vous allez par cette manœuvre, favoriser l'étirement des muscles derrière les cuisses, qui manquent trop souvent de souplesse et sont responsables d'une mauvaise position du bassin. SFR

Toutes ces postures sont à réaliser en douceur, et ne doivent déclencher aucune douleur SFR

Réentraînement / reconditionnement à l’effort

Réentraînement à l’effort Endurance ++

Réentraînement à l’effort Seuil d’intolérance Campbell

Réentraînement à l’effort adaptation Campbell

Réentraînement à l’effort Si seuil d’intolérance plus haut que le seuil d’adaptation: cryothérapie, médicaments … Campbell

Réentraînement à l’effort Campbell

Réentraînement à l’effort Campbell

Réentraînement à l’effort Campbell

Réentraînement à l’effort Campbell

Réentraînement à l’effort Campbell

Sténose lombaire Principes thérapeutiques; Prévention Rôle de l’activité physique Prise en charge et d’organisation des soins Définition; Épidémiologie Manifestations et conséquences Physiopathologie

Eurospine

Eurospine

Eurospine

CLE

Eurospine

Eurospine

Eurospine

Eurospine

Eurospine

Scolioses Principes thérapeutiques; Prévention Rôle de l’activité physique Prise en charge et d’organisation des soins Définition; Épidémiologie Manifestations et conséquences Physiopathologie

Eurospine

Eurospine

Eurospine

Eurospine

Eurospine

Eurospine

Eurospine

Eurospine

Eurospine

Eurospine

Cyphoses, et maladie de Scheuermann Principes thérapeutiques; Prévention Rôle de l’activité physique Prise en charge et d’organisation des soins Définition; Épidémiologie Manifestations et conséquences Physiopathologie

Cyphose dorsale

Scheuermann

Spondylolyse Principes thérapeutiques; Prévention Rôle de l’activité physique Prise en charge et d’organisation des soins Définition; Épidémiologie Manifestations et conséquences Physiopathologie

Spondylolisthesis 1 = glissement d'une vertèbre par rapport à celle qui est située juste au-dessous d'elle, le plus souvent la 4ème vertèbre lombaire (L4) sur la 5ème. Soit ils se sont constitués pendant l'enfance au cours d'activités sportives intensives, le médecin parle alors de « lyse isthmique » Soit ils surviennent plus tard, par arthrose des articulations interapophysaires postérieures, ce sont alors des « spondylolisthésis dégénératifs ».

Spondylolisthesis 2 En général, les spondylolisthésis ne sont pas douloureux. Le traitement lorsqu'il est nécessaire ne consiste pas « à remettre la vertèbre en place » ce qui est impossible, mais à diminuer les douleurs en luttant contre l'inflammation locale responsable. Dans de rares cas, il faut stabiliser en plus la vertèbre et seule la chirurgie peut l'assurer

SPONDYLOLISTHESIS Fracture = lyse isthmique (enfant) Conséquence = glissement de vertèbre fracture de l ’isthme

Isthme : spondylolisthesis

1) Fracture de fatigue de l’isthme vertébral 2) Glissement de la vertèbre

(Spondylolisthesis dégénératif) Lyse isthmique

spondylolyse

Hyperostose Principes thérapeutiques; Prévention Rôle de l’activité physique Prise en charge et d’organisation des soins Définition; Épidémiologie Manifestations et conséquences Physiopathologie

hyperostose

Ostéoporose Principes thérapeutiques; Prévention Rôle de l’activité physique Prise en charge et d’organisation des soins Définition; Épidémiologie Manifestations et conséquences Physiopathologie

IRM de ft OP