n Notre journée : Normalisation et Régulation n Notre table ronde : GSM à la 3G n Les invités :Un opérateur leader, un constructeur leader, des éditeurs leaders, et … n Et moi … poussière parmi les poussières w Ou plutôt, grain de sable, au sein de mécaniques bien huilées w Président de l’aFING w Censé traiter le thème « et les utilisateurs … » n Alors, qu’est-ce à dire ? Tout d’abord, un peu de sémantique
L’utilisateur … cet animal imprévisible n Nous ne savons pas vraiment prévoir les usages. n Nous ne savons pas beaucoup mieux prédire les tendances techno-économiques. n C'est la force du modèle Internet, agnostique vis à vis des réseaux physiques et des usages.
Alors … que faire ? n Et pourquoi pas le parti pris du libre choix ? n Ce n'est pas seulement celui de son opérateur. n C'est celui de pouvoir : w faire ce que l'on veut, w quand on veut, w au travers du réseau que l'on veut, w avec l'appareil que l'on veut ou dont on dispose.
Les conséquences sont nombreuses n L’une des plus importantes est la nécessaire continuité des usages. n Il n'y a pas et il y aura de moins en moins de coupure d’usages fixes / mobiles. n Ainsi, il peut/doit y avoir une continuité certaine des applications, des réseaux relationnels, de la gestion de présence, de l'identification, etc.
Pas si simple mais possible n Dans un monde en proie au doute, le risque de pécher par excès de protectionnisme est grand. n Les « modèles fermés » ont toujours été dangereux. n C'est dans le retour à une plus grande neutralité du réseau et dans un effort en direction de l'interconnexion, de la reconnaissance mutuelle, de l'interopérabilité que se trouve sans doute la clé de la croissance future des usages. n Cet effort peut être tout à fait commercial et lucratif. n Ce modèle ressemble furieusement à celui de l'Internet n Sinon s’éloigner du principe de transparence du réseau (« End to End ») aura un coût social.