II. Anatomie b) Les voies respiratoires Elles commencent tout d’abord par le nez et les fosses nasales. Le nez à une triple fonction : - Humidificateur de l’air - Réchauffement de l’air - Dépoussiérage de l’air Les cordes vocales sont présentes dans le larynx. Les Bronches suivent une dichotomie. Les divisions se font à angle égal. Il y a environs 17 divisions à partir de la trachée jusqu’aux alvéoles. Les alvéoles font parties du système d’échange.
II. Anatomie c) La plèvre La plèvre est l’enveloppe des poumons. Formée de deux feuillets => Protection des poumons (si celui-ci est déchiré, le poumon ne fonctionne plus). Entre les deux feuillets il y a du vide L’élasticité pulmonaire est aussi liée à la tension de surface en plus des fibres. Compliance pulmonaire = élasticité d’un volume.
III. Mouvement respiratoire Inspiration : C’est la phase active. Elle est réalisée par le diaphragme et l’élasticité pulmonaire. C’est une contraction générale du diaphragme qui permet d’augmenter le volume du poumons. Expiration : C’est la phase passive réalisée par les muscles intercostaux qui peuvent freiner ou augmenter la respiration. Elle utilise aussi l’élasticité pulmonaire. Lors d’un effort intense l’expiration devient active. Rythme Respiratoire : Il varie selon l’âge, chez les nouveaux nés : 44 cycles (vite), a 14 ans : 20 cycles et chez l’adulte : 12 à 16 cycles. Mouvement non respiratoire : rire, chant, bâillement, hochet, les pleurs, efforts.
IV. La ventilation pulmonaire On peut mesurer le débit de O2 à l’aide d’un spiromètre, on obtient ainsi une courbe de débit en fonction du volume. Elle peut se faire avec des appareils : - circuit ouvert => mais aussi pour mesurer le rejet de CO2 - circuit fermé (quantité d’O2 déterminée, on mesure le temps jusqu’à épuisement de l’air.) La courbe la plus utilisée est la courbe débit / volume
IV. La ventilation pulmonaire Il y a réduction des capacités respiratoire avec l’âge, du fait que les fibres soient moins élastiques. Débit (Q) : Q = 6 à 8 L / min (repos) Q = 100 à 150 L / min (effort) Q alvéolaire = V courant – V espace mort x Fréq Resp Où V espace mort comportant la fosse nasale, bronche, … Mieux veut une respiration lente et remplie qu’une respiration vite et peu rempli.
V. La régulation de la ventilation Il peut être multiplié par 15, elle est assuré par le centre respiratoire (bulbe rachidien => zone sensible) Les centres bulbaires se trouvent dans un centre respiratoire. Un stimuli respiratoire est un facteur de régulation dont les variations physiologiques agissent sur les centres respiratoires et leur apportent une information sur les besoins de l’organisme. Le premier stimulus essentiel est le CO2 => le mécanisme est double : - artériel (chimiorécepteur) : si la stimulation augmente, la ventilation diminue. - directement sur les centres bulbaires (puisqu’ils sont vascularisé)
V. La régulation de la ventilation Le deuxième stimulus est l’ O2 : => si on diminue l’inspiration d’O2 on diminue la respiration artérielle, ce qui provoque une hyperventilation. => même mécanisme que pour le CO2 Le troisième stimulus est le pH : => augmentation d’acide ventilation augmente => augmentation de base ventilation diminue. Le quatrième stimulus sont les propriocepteurs => reflex sur la respiration.