Histoire du syndicalisme au Brésil L’économie entre les 19e et 20e siècles était AGRICOLE. Les conditions de travail au debut du 20e siècle: 14 ou 16 heures par jours Exploration de travail de garçon Les salaires extrêmement faibles (et avec réduction comme forme de punition) Aucun droit et protection juridique L'industrie brésilienne s'est développée en retard par rapport aux grandes pays puissances capitaliste. Au tournant du 19e et 20e siècles, l'économie brésilienne était encore principalement agricole. Cela a été a cause du mode de la colonisation, parce que sa metropole a été toujours en vue d’enrichir elle-même en profitant des ressources naturelles du Brésil. Mais avec le fin de la colonisation qui a été proclamé le 7 de septembre de 1822 les grandes agriculteurs ont continué avec le même processu d’enrichissement. Mais dans le début du 20e siècle avec la dévaluation des activités d'agroexportateur est venu l'arrivée des entreprises au Brésil. Les conditions de travail appliquées à l'époque était: 14 ou 16 heures par jour, l'exploitation du travail des femmes et des enfants, les salaires ont été extrêment bas, avec des réductions de salaire comme forme de punition. Et sur tous que tous les travaux ont été opérés sans aucune protection droite ou juridique.

Histoire du syndicalisme au Brésil Abolition de l’esclavage Abondance de terres Expansion du café Main-d’ouvre insuffisance Main-d’ouvre qualifiée avec au debut de l’industrialisation Immigrants 1880 à 1930 Expériences de luttes plus avancé Une grande partie des travailleurs au Brésil dans le début du 20e siècle étaient des immigrants. Parce que ses immigrants sont arrivés au Brésil à la recherche de meilleures conditions de vie ou d’autres étaient à la recherche de s’enrichir au Brésil pour pouvoir après retourner dans leur pays d’origine. Et le Brésil dans l’époque il a été avantageuse, car l’esclavage avait fini, le Brésil avait abondance de terres, expansion de la culture du café, la main-d’ouvre était insuffisance et manquait de main-d’ouvre qualifiée pour les entreprises. Mais les immigrants ont apportés au-delà les expériences culturelles comme la lutte pour de meilleures conditions de travail. Cette lutte vient de la philosophie de l'anarchisme, qui a été la position hégémonique dans le mouvement syndical brésilien dans la période de naissance et la consolidation de l'industrie. Mouvement des travailleurs brésilien Anarchisme

Histoire du syndicalisme au Brésil En avril 1906, tenue à RJ, le premier Congrès des travailleurs du Brésil Confédération des travailleurs brésilien (COB) Mais en 1907, vint la réaction des employeurs et du gouvernement En avril 1906, tenue à Rio de Janeiro, le premier Congrès des travailleurs du Brésil, en présence de différents syndicats, fédérations et ligues, principalement du Rio et de Sao Paulo. Avec ce congrès a née la première entité nacional des travailleurs qui était la COB - Confédération des travailleurs brésilien . Mais en 1907, vint la réaction des employeurs et du gouvernement. Donc dans ce moment la 132 syndicalistes ont été expulsés du pays. 132 syndicalistes ont été expulsés

Histoire du syndicalisme au Brésil Crise provoquée par la 1ér guerre mondial Chute des salaires des travailleurs Plusieurs grèves entre 1917 à 1920 Une grève de 1917: Elle a paralysé SP avec 45 mille personnes. Le gouvernement a réagi en appelant les troupes de l'intérieur et 7 mille miliciens ont occupé la ville. Mais la crise provoquée par la 1er guerre mondial et la chute des salaires des travailleurs caractérisée par plusieurs vagues de grèves entre 1917 et 1920. Pendant cette époque une grève de 1917 a paralysé São Paulo avec 45 mille personnes, d’autre part le gouvernement a réagi en appelant les troupes de l’intérieur et 7 mille miliciens ont occupé la ville pour controler les manifestations.

Histoire du syndicalisme au Brésil Un pays industriel La classe de travailler est devenue plus importante Epoque de Vargas Le Brésil années 30 «Le syndicat est votre arme de combat, votre force» Conséquence: Le conflit entre capital et travail a été traitée comme une question politique Création d’une structure syndicale corporatiste Du ministère du Travail Du tribunal du travail La Consolidation des Lois du Travail (CLT) CLT: Semaine de congé Repos payé hebdomadaire Regulamentation du travail des femmes et des enfants Dans les années 30, le Brésil est devenu un pays industriel et la classe des travailleurs est devenue plus importante à cause des actions adopté pour le president de l’époque (Getulio Vargas). Ses actions était comme traitée comme une question politique le conflit entre capital et travail, pour ça il a créé une structure syndicale corporatiste, dépendant et attaché à l'Etat, inspiré par le fascisme italien, a créé le ministère du Travail, le Tribunal du travail et la consolidation des lois du travail (CLT). La CLT fut : semaines de congé, repos payé pour le Week-end, regulamentation du travail des femmes et des enfants et entre autres. Vargas était considéré comme un président populiste.

Histoire du syndicalisme au Brésil Entre 1940 à 1955: La classe travaileur à double son contigent (1,5 million de travailleurs) En 1951, il y avait près de 200 grèves En 1952, il y avait près de 300 grèves En 1953, il y avait près de 800 grèves (avec 300 mille travailleurs de textile, de la métallurgie et des graphiques) En 1955, premières syndicats ruraux Entre 1940 à 1955: La classe travaileur à double son contigent (1,5 million de travailleurs) En 1951, il y avait près de 200 grèves En 1952, il y avait près de 300 grèves En 1953, il y avait près de 800 grèves (avec 300 mille travailleurs de textile, de la métallurgie et des graphiques) En 1955, premières syndicats ruraux La participation intese du PCB et des syndicats, ils ont commecé à lutter pour question qui ne sont pas seulement économiques: Liberté d’association Campagne pour la création de Petrobras La participation intese du PCB et des syndicats, ils ont commecé à lutter pour question qui ne sont pas seulement économiques: Liberté d’association Campagne pour la création de Petrobras

Histoire du syndicalisme au Brésil Le coup militaire de 1964: Les directives de plus que 2 mille syndicats ont été révoqués, arrêté et exilé Dislocation, répression et contrôle du mouvement ont été accompagnées par une nouvelle politique Salaires serrés, loi de anti-gréve et la fin du système de sécurité d’emploi Le coup d'Etat militaire de 1964 signifiait la répression la plus intense et profonde politique que la classe des travailleurs confronté dans l'histoire du pays. L'occupation militaire a atteint environ 2 000 syndicats partout le pays. Donc les directives des syndicats ont été révoqués, arrêté et exilé. Dislocation, répression et contrôle du mouvement ont été accompagnées par une nouvelle politique, qui était des salaires serrés, la loi antigreve et la fin de manifestation. Mais dans les années 70 était formé le nouveau syndicalisme avec le modèle syndical libre, cet-a-dire une structure syndicale n’était pas liée à l’Etat. Ce phénomène apparaît clairement dans ABCD paulista (villes de Santo André, São Bernardo do Campo, à São Caetano do Sul et de Diadema). Et l’ émergence de la direction du syndicat le plus important au Brésil: Luiz Inacio Lula da Silva, Lula. Mais dans les années 70: Nouveau syndicalisme (libre de la structure syndicale liée à l’État - ABCD) L'émergence de la direction du syndicat le plus important au Brésil: Luiz Inacio Lula da Silva, Lula

Histoire du syndicalisme au Brésil La grève 1978 à Saab-Scania, à São Bernardo do Campo, a commencé une lutte politique: «Direta Já» La grève 1978 à Saab-Scania au Brésil, à Sao Bernardo do Campo, a commençé une lutte politique qui a donné lieu à manifestations en défense des libertés démocratiques contre la dictature militaire. Et ces manifestations ont été appelé «DIRETA JÁ" qui a commencé en 83 et s'est terminés le 84 . En 1980, les syndicalistes, les intellectuels et les représentants du mouvement populaire fondé le Parti des travailleurs, PT, avec la proposition d'établir un gouvernement qui représente les aspirations de la classe travailleurs. En 1980, les syndicalistes, les intellectuels et les représentants du mouvement populaire fondé le PT