Adolf Hitler Mr Principiano cours 1°
Jeunesse Naissance en Autriche en 1889, dans une famille modeste. Scolarité médiocre qu’il termine en 1905. 1905-1908 : vie oisive, à Vienne, avec l’ambition d’une carrière dans les beaux-arts; mais il échoue au concours d’entrée de l’Académie des beaux-arts de Vienne. 1908-1913 : vie misérable, vagabondage, début de sa haine envers les juifs.
La lente progression 1914 : s’engage dans l’armée allemande; est blessé deux fois; est décoré. 1920 : crée le parti national socialiste à Munich où règne une grande agitation politique. Ses fidèles lieutenants l’accompagnent déjà; son talent oratoire lui vaut de l’audience. 1923 : tente un coup d’état (le putsch de Munich). Il est arrêté et emprisonné; c’est lors de ce séjour en prison qu’il commence l’écriture de Mein Kampf. 1930 : le parti nazi fait son apparition au sein du parlement allemand grâce aux difficultés sociales nées de la crise de 1929.
L’arrivée au pouvoir 1932 : se présente aux élections présidentielles. Janvier 1933 : devient chancelier Février 1933 : incendie du Reichstag (parlement), dissolution du parti communiste, reçoit les pleins pouvoirs pour 4 ans (mars) Avril 1933 : création de la gestapo Juin 1933 : proclame le parti nazi comme parti unique => dictature ! Commence la purification ethnique. 1934 : à la mort d’Hindenbourg, devient président et chancelier. Est plébiscité le 19 août 1934.
La progression du parti nazi
Les effets de la politique d’Hitler
Mots-clés pour comprendre la dictature nazie Frustration Violence, recherche de la guerre Race aryenne Antisémitisme / racisme / autodafé / boycott Espace vital Pangermanisme Propagande Destruction de l’opposition Surveillance policière très forte (SS et milices privées) Maîtrise de l’information Passivité des démocraties européennes
Les camps de la mort
Le Génocide
Les Persécutions Juifs Sémites Homosexuels Tziganes Témoins de Jéhovah Marginaux Républicains espagnols
Le bilan du nazisme Le procès de Nuremberg
Les Crimes contre l’Humanité En 1945,: le tribunal de Nuremberg, chargé de juger les chefs nazis, définit ainsi le crime contre l'humanité: "assassinat, extermination, réduction en esclavage, déportation et tout autre acte inhumain commis contre toute population civile, avant ou pendant la guerre, ou bien les persécutions pour des motifs raciaux ou religieux lorsque ces actes ou persécutions, qu'ils aient constitué ou non une violation du droit interne du pays où ils ont été perpétrés, ont été commis à la suite de tout crime rentrant dans la compétence du tribunal". Le tribunal précise qu'il est compétent pour "juger et punir toutes personnes qui, agissant, pour le compte des pays européens de l'axe, auront commis individuellement ou a titre de membres d'organisations" des "crimes contre l'humanité".
L’Allemagne dévastée
Une fascination permanente