Fig. 8.1 La structure fonctionnelle d’une prairie est le résultat des réponses différentielles des individus aux conditions environnementales, qu’elles soient liées ou non à la gestion, selon leurs valeurs de traits, et affecte les processus puis les services écosystèmiques. Adapté d’après Diaz et al. (2007) et Garnier et Navas (2011).
Fig. 8.2 Traits de réponse des prairies aux filtres environnementaux générés par les pratiques culturales et traits d’effet influençant leurs propriétés écosystémiques. Tiré de Garnier et Navas (2011).
Fig. 8.3 Structure fonctionnelle de parcours situes sur le Causse du Larzac (Domaine expérimental INRA de la Fage), fortement pâturés, et fertilises sans interruption depuis 1979. Les deux graphiques du haut montrent les traits qui caractérisent les espèces en fonction de l’augmentation (gagnantes), la diminution (perdantes) ou la stagnation (neutre) de leur abondance au cours du temps (d’après Fayolle, 2008)
Fig. 8.4 Décomposition de la suite de traits expliquant la relation négative entre digestibilité et taille des plantes
Fig. 8.5 Les moyennes pondérées des traits de graminées et de dicotylédones répondent de façon comparable aux gradients environnementaux mais différent en gamme de valeurs. D’après Ansquer et al. (2009a).
Fig. 8.6 La structure fonctionnelle d’une communauté d’adventices est le résultat des réponses différentielles des espèces aux conditions environnementales, locales ou liées à la culture, selon leurs valeurs de traits, et affecte les processus puis les services écosystémiques. D’après Diaz et al. (2007a) et Navas (2012).
Fig. 8.7 Cinq groupes d’adventices définis sur la base des traits de 20 espèces annuelles communes dans les cultures de blé au Royaume Uni. D’après Storkey (2006).
Fig. 8.8 Les traits des cultures contraignent la structure fonctionnelle des communautés d’adventices.
Fig. 8.9 Schéma conceptuel représentant les relations entre structures fonctionnelle d’une culture et de la communauté des adventices qui y est associée