Fig. 3.1 Distribution des valeurs de (a) surface spécifique foliaire (SSF), (b) hauteur maximale de la plante et (c) masse des graines, disponibles dans la base de données TRY. Adapté de Kattge et al. (2011).
Fig. 3.2 Relation entre durée de vie et vitesse maximale de photosynthèse d’une feuille, établie à partir du jeu de données rassemblé par le réseau Glopnet. Données issues de Wright et al. (2004).
Fig. 3.3 Comparaisons des relations établies entre (a) durée de vie et surface spécifique foliaire et entre (b) durée de vie et teneur en matière sèche foliaire.
Fig. 3.4 L’évitement, la défense et la tolérance sont trois mécanismes par lesquels les plantes atténuent les impacts négatifs de leurs interactions avec les herbivores. Tiré de Boege et Marquis (2005).
Fig. 3.5 Résultats de méta-analyses portant sur les relations entre les traits des feuilles vertes et de la litière et la vitesse de décomposition de cette dernière, obtenues dans différentes études conduites sur des espèces de différents écosystèmes de la planète. Tiré de Cornwell et al. (2008).
Fig. 3.6 Schéma récapitulatif des corrélations existantes entre les traits du syndrome économique foliaire.
Fig. 3.7 (a) quantité de lumière transmise dans les couverts en fonction de la hauteur des plantes, et (b) fraction d’eau du sol utilisable par les plantes en fonction de la profondeur d’enracinement, mesurées sur 18 monocultures établies dans un jardin expérimental.
Fig. 3.8 Relations allométriques entre le biovolume de la canopée et la profondeur maximale d’enracinement pour des espèces de (a) dicotylédones herbacées, (b) graminées, et (c) plantes ligneuses. Tiré de Schenk et Jackson (2002).
Fig. 3.9 Relation entre le nombre de graines produites par un ramet et la masse moyenne d’une graine d’angiospermes herbacées, établie à partir de quatre jeux de données.
Fig. 3.10 Relation entre masse de la graine et pourcentage de plantules survivant à la première semaine suivant leur émergence. Tiré de Moles et Leishman (2008).
Fig. 3.11 Relations entre masse et variance des dimensions de graines, fruits et diaspores d’espèces du Nord-Ouest de l’Europe (a et b), d’Australie (c) et de Nouvelle Zélande (d). Tiré de Leishman et al. (2000).
Fig. 3.12 Corrélations entre masse des graines et principaux traits liés à la phase de régénération des plantes (corrélations positives et négatives en rouge et bleu, respectivement). Tiré de Moles et Leishman (2008).
Fig. 3.13 Relations entre densité du bois et (a) vitesse relative de croissance (VRC, échelle logarithmique), et (b) taux de mortalité (échelle logarithmique), pour deux sites tropicaux forestiers (Barro Colorado Island, Panama [cercles blancs], et Pasoh, Malaisie [cercles noirs]). Tiré de Chave et al. (2009).
Fig. 3.14 Valeurs de profondeur d’enracinement maximale (en m) observées pour différentes espèces, regroupées par type de biomes. Tiré de Canadell et al. (1996).
Fig. 3.15 Relations entre teneur en azote et vitesse de respiration des racines exprimées par unité de masse pour différents groupes de plantes. Tiré de Reich et al. (2008).
Fig. 3.16 Phylogénie de la surface spécifique foliaire (rapport entre la surface et la masse d’une feuille) pour des clades majeurs de Trachéophytes.