Président à la création 20 ans de certification volontaire

Slides:



Advertisements
Présentations similaires
pour les sociétés de transformation
Advertisements

Performances thermiques, acoustiques et certification des vitrages :
DEMARCHE DE MAÎTRISE DES ENERGIES Lundi 16 février 2009.
Le standard maison passive
PLACE DE LA CONVENTION DANS LE DISPOSITIF REGLEMENTAIRE
Intitulé du projet : Approche régionale dans le partenariat Europe-Afrique sur le coton Février 2004: Communication spécifique de la Commission Européenne.
Les bonnes pratiques dhygiène dans la filière du café Formation – Comprendre le contexte dans sa globalité Module 5.1.
BILAN DE LA CERTIFICATION Dispositif du code de la consommation Dispositif actuel : loi n° du 3 juin 1994 et son décret dapplication du 30 mars.
1 V_scn_2009_07_30 Journée nationale dinformation sur lappel FP7-SEC Recherche en matière de Sécurité Nicolas SCUTO Chef de projet NTIC Lundi 07.
NF Bâtiments Tertiaires – Démarche HQE®
Lors de la réunion du 11 septembre dernier, information sur la démarche entreprise par huit présidents de CLE pour alerter le Ministre de l'Ecologie sur.
Activités de Biologie médicale Certification des établissements de santé et accréditation des LBM Nom de l’intervenant : Dominique FERREOL.
L’utilisation des Normes ISO 9001 et ISO 9004 dans la démarche qualité
Journée détude régionale du 23 mai Lévaluation interne des établissements et services sociaux et médico-sociaux : Où en sommes-nous ? 1 Résultats.
OBSERVATOIRE NATIONAL DE L'EMPLOI ET DE LA FORMATION
Certification des produits et des entreprises de sécurité
La réalisation de bouquet de travaux
L’ASQUER et la Qualification des Equipements de la Route
EVOLUTION DU RID/ADR EN 2009 Impact sur la réglementation européenne
1 RCPEVR Réseau de Coopération et de Promotion Economique du Valais Romand La Charte valaisanne en faveur des PME.
Fédération départementale dénergie de la Somme - Association Française de léclairage région Nord Réunion dinformation à Gentelles 6 avril 2012.
Rôle, Fonction et Intégration
La norme ISO et sa place dans les entreprises
Modules DMOS, Dons et subventions
Smart Energies For Factories - 5 et 6 décembre 2012 Levier 5 : les procédés industriels Les gisements déconomies dénergie dans lindustrie Les gisements.
BétonlabPro 3 Leçon N°0 PRÉSENTATION DU COURS
Toitototototoot Prévention des dommages et accidents lors de travaux à proximité des réseaux Expogaz Paris – Palais des Congrès Le 10 septembre 2013 Jean.
« S’appuyer sur les Hommes, socle du développement durable »
Cahier des charges des Connaissances nécessaires au salarié d’une entreprise de travaux agricoles et ruraux en matière de Qualité-Sécurité et Environnement.
NF Bâtiments Tertiaires – Démarche HQE®
Rôle de la norme ISO 9001:2000 dans le domaine des acquisitions Gilles D. Béland, ing Conseiller qualité Acquisition Centre des services partagés 9 juin.
L ’ENTREPRISE EN ACTION
Page 1 / Titre / Auteur / Date / Confidentiel D? LA DEMARCHE COLLEGES METIER.
La mobilité…au service des compétences Dominique Figa LEONARDO DA VINCI Leonardo da Vinci.
LA QUALIFICATION DES PME : PORTE D ’ACCÈS AUX MARCHES DE L ’AÉRONAUTIQUE ET DU SPATIAL Jeudi 03 mars 2005 CENTRE DE MESURES LORRAIN SITE UNIVERSITAIRE.
Les objectifs Apporter un outil de formation adapté aux contraintes de l ’entreprise en termes de : Flexibilité de l ’organisation Optimisation des durées.
Politique santé sécurité de l’UNICEM RA
MARQUAGE CE.
CERTIFICATION DU SYSTÈME DE GESTION DE LA QUALITÉ NORME NP EN ISO 9001:2000 Besoin de tenir compte des différentes parties intéressées dans l’organisation,
Présentation et gouvernance – Fédérer Faciliter Représenter Face aux enjeux de santé, ARIIS a pour objet de décloisonner la recherche privée.
Accord de Partenariat Transatlantique de Commerce et d’Investissement Transatlantic Trade and Investment Partnership Monsieur Clayon M. Stanger Consul.
Le management de l'IVVQ Processus techniques IVVQ
COLEACP - Septembre 2014 ICC - Yamoussoukro.
Qualité et certification
La norme ISO ISO TOULOUSE Maj: 22 octobre 2012
Chapitre 3: Les finalités de l’entreprise
10 ème journée internationale de la qualité hospitalière Maîtrise de la sécurité et de la fiabilité des dispositifs médicaux Nicolas THEVENET, Chef de.
LES COMPETENCES EN APPLICATION DE PRODUITS PHYTOSANITAIRES
Revue des systèmes de gestions de l’énergie (SGE)
BTS Travaux Publics Etude du référentiel
Présentation du projet centre info Réunion du 18 Octobre 2007.
Rencontre Laboratoires d’Essai au Feu – Belac (29/09/11)
IA-IPR STI Mai 2010 RÉFORME DU LYCÉE VOIE TECHNOLOGIQUE Séries STI et STL RÉFORME DU LYCÉE VOIE TECHNOLOGIQUE Séries STI et STL.
Etude du référentiel (version 2005)
L’Amélioration continue
Définitions Aciers pour béton armé (ABA) Fabrication Ferrailles de récupération  billettes  Laminage à chaud : barres et couronnes  Laminage à froid.
Marc-Henri WINTER Chargé d’Affaires et Responsable de l’antenne
Marquage CE et sécurité générale des produits Les dernières évolutions
Référentiel aménagement construction durable et guides sectoriels:
Audit de suivi 28 et 29 novembre 2011
Martine Miny - MPInstitut - Référentiels et métiers de management de projet - Mastère IESTO - 9 février 2004 Référentiels et métiers de management de projet.
Système de Management Intégré
PROCESSUS D’AUDIT PLANIFICATION DES AUDITS
Vers la mise en œuvre d’une stratégie nationale de développement des compétences Aujourd’hui Validation SNDC - THR 12/2014 ITM 2014.
Niveau-K next generation
Certification des exportations canadiennes. Politiques sur les exportations de produits de bois D-03-02, Programme canadien de certification des produits.
LA VALIDATION DES ACQUIS DE L ’EXPERIENCE A L ’UNIVERSITE L ’accompagnement du candidat : comment formaliser ses acquis ?
Le développement de la formation professionnelle dans le cadre d’une politique de sécurité routière M. HIFDI Président de la CNTL et Vice Président de.
Construction d’un partenariat entre le CSTB et l’UHA sur la thématique des risques incendies Philippe Fromy, CSTB/DSSF.
Atelier international sur une utilisation sans risques de pesticides dans la cacaoculture et une législation harmonisée sur la sécurité alimentaire RECOMMENDATIONS.
Transcription de la présentation:

Président à la création 20 ans de certification volontaire Patrick Soubrier Président à la création de CEKAL CEKAL 20 ans de certification volontaire 1

Dates clés historiques 2

Dates clés historiques 3

Dates clés historiques 4

1989 : pourquoi CEKAL ? LES OBJECTIFS Maîtriser la qualité des produits dans un marché en pleine évolution Accompagner la mise en place des réglementations Se faire entendre au niveau européen 5

1989 : les préalables à la mise en place Obtenir l’accord des différents fabricants Tenir compte des certifications existantes (CEBTP et CSTB) Mettre en place une structure de concertation ouverte avec l’ensemble des parties prenantes 6

1989 : la structure retenue Des instances de certification associant toutes les parties concernées et incluant des experts indépendants Des instances de développement formées des entreprises de transformation (commissions techniques, promotion…) 7

Les raisons du succès  La lisibilité pour l’utilisateur et le consommateur : le marquage indélébile  Le budget suffisant : recherche, promotion, concertation  La concertation permanente entre les parties 8

CEKAL aujourd’hui  28,5 millions de m2 de vitrages certifiés 23 millions de vitrages isolants certifiés  28,5 millions de m2 de vitrages certifiés dont 7 millions en Europe  160 centres de production certifiés dont 30 en Europe ET CHAQUE ANNÉE  200 000 contrôles  300 procédés exploités  300 visites sur site et 400 essais en laboratoire  40 réunions de travail et de concertation par an (1200 H)  10% du budget consacré à la recherche 9

Le champ de la certification CEKAL  la durabilité et l'aptitude à l'emploi la résistance des assemblages à l'humidité et aux UV pour les vitrages isolants et feuilletés - la qualité de la trempe (fragmentation, contraintes de surface) pour les vitrages trempés  les performances certifiées - performances thermiques : classes TR1 à TR14 - performances acoustiques : classes AR1 à AR5 - performances de sécurité : classes Sb, Sc, S1 à S5 10

Le contenu des référentiels de la certification CEKAL  Intégration des contrôles internes des normes européennes (relatives au marquage CE)  Inspections et essais par des organismes extérieurs indépendants  Exigences spécifiques concernant : - marquage indélébile - qualifications complémentaires - suivi des constituants - certification des performances - essai de durabilité - assurance décennale 11

CEKAL demain : les ambitions  Répondre aux attentes des consommateurs qui souhaitent des produits durables, fiables, performants  Faciliter les réponses aux exigences réglementaires de plus en plus élevées  Continuer à développer la certification en suivant de près les développements techniques et en menant les recherches nécessaires  Accroître sa présence en Europe par la pertinence de ses actions et par des partenariats 12

Les vitrages à performances thermiques renforcées (TR) En 6 ans, leur part est passée de 34% à 73% 13

En 6 ans, leur part fait plus que doubler : de 5% à près de 12% Les vitrages à performances acoustiques et thermiques renforcées (AR +TR) En 6 ans, leur part fait plus que doubler : de 5% à près de 12% 14

L'épaisseur des vitrages en mm Les fenêtres accueillent des vitrages multifonctions 15