Les défis de la pédagogie en ligne François Mangenot
Plan 1. Présentation du projet franco-australien « Le français en (première) ligne » 2. Défis posés par le décalage entre les deux groupes 3. Défis posés à la recherche
1. Présentation du projet : plan 1.1 Présentation générale, objectifs 1.2 Les étudiants français et leur production multimédia
1.1 Présentation générale : Origine du projet Christine Develotte a enseigné deux ans à l’université de Sydney De retour en France, elle a cherché des étudiants de maîtrise FLE prêts à communiquer via Internet avec des étudiants australiens Financement par l’Ambassade de France, l’ENS et l’université de Franche-Comté
Objectif global du projet Se servir d’Internet pour créer un environnement à distance favorable à l’apprentissage du français par des étudiants australiens Double fonction d’Internet : rapprocher la France sur un plan linguistique et culturel, permettre une communication non-natifs / natifs, grâce aux interactions à distance.
Objectif pour les Australiens Immersion dans un contexte culturel français Communication authentique avec des Français Internet est utilisé dans ses dimensions : d’information (création multimédia par les Français) de communication (interactions à distance) Effets attendus sur la motivation et donc sur l’efficacité de l’apprentissage.
Objectifs pour les Français Pratiquer la pédagogie du FLE avec de vrais apprenants avec un accent sur les approches interculturelles Apprendre à se servir des technologies dans l’enseignement des langues Création multimédia Formation ouverte et à distance
Les partenaires actuels 2002-2003 : Université de Sydney, 19 étudiants débutants en français (M.-T. Barbaux) Université de Franche-Comté : 16 étudiants en maîtrise FLE (F. Mangenot, K. Zourou) 2003-2004 : Université de Sydney, 20 étudiants de niveau intermédiaire (C. Mesana) Université Monash de Melbourne, 40 étudiants avancés (P. Durel) Université de Franche-Comté : 16 étudiants en maîtrise FLE (F. Mangenot, J. Sadoudi, K. Moreau)
Le rythme : Un semestre (octobre-janvier) pour la production multimédia par les Français Un semestre (mars-juin) pour la communication pédagogique à distance