La multidisciplinarité DES: 21 mars 2011 1- Peut-on nous obliger à être meilleurs? 2- La place du radiologue.

Slides:



Advertisements
Présentations similaires
Les nouvelles technologies au service des CHU
Advertisements

PERSONNES AGEES ET FIN DE VIE
LA LOI Pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées Le Neubourg 21 octobre 2006.
TRACABILITE DE L’EVALUATION DE LA DOULEUR EPP transversale menée du 1er octobre 2009 au 31 décembre 2011 au sein de l’Hôpital d’Instruction des Armées.
Développer laccès direct aux soins et à lhospitalisation par la délégation de tâche : expérience dun service dHépato- gastroentérologie M Morichau Beauchant.
AUTO-ÉVALUATION DES PROGRAMMES D’ETP: EXPÉRIENCE D’UNE ÉQUIPE
La surveillance sous chimiothérapie.
Les RCP : Réunions de Concertations Pluridisciplinaires
Comment trouver une information fiable sur Internet?
LAssociation Algérienne de Développement de la Formation Continue et dEvaluation des Pratiques Médicales en Hépatogastroentérologie (AADFC/EPMH) vous.
EPP « Relecture des dossiers »
JIQH 2008 – La Villette 8 et 9 décembre JIQH 2008 – La Villette 8 et 9 décembre 2008 Atelier n° 4 Comment concilier GCS, cellules Qualité des 3C,
Les Bases de Données Simplifions l’utilisation des indicateurs
Restructuration Concertée Médecin / Pharmacien des Prescriptions
Indicateurs qualité généralisés HAS : Bilan de 2 années de recueil
Projet PATH-SSR Développement d’Indicateurs de Performance en SSR
La multidisciplinarité DES:09/03/12 1- Peut-on nous obliger à être meilleurs? 2- La place du radiologue.
La gestion des risques en établissement de santé : proposition d’organisation
Mise en œuvre des contrats de bon usage des médicaments et des produits et prestations - Etat des lieux Rennes 12 juin 2008 Mission Tarification à l’Activité.
EXPERIENCE EPP ICONE 2009 Adeline Foltzer.
+ Prise en charge aux urgences des accidents dexposition (VIH, VHB, VHC) Accidents dexposition au risque viral Evaluation et amélioration des pratiques.
Activités de Biologie médicale Certification des établissements de santé et accréditation des LBM Nom de l’intervenant : Dominique FERREOL.
NORMES ET CONDITIONS TECHNIQUES D’IMPLANTATION EN PSYCHIATRIE
Dr P. LONCHAMBON/DRASS - mars þcancer þradiothérapie þoncopédiatrie þdouleur.
Propositions dévolution du décret relatif au contrat de bon usage de la DGOS Réunion régionale OMEDIT Ile de France, mai 2011 Ile-de-France OMEDIT,
LES PISTES POUR L’ACTION
Enquête HAS août 2010.
Étude comparative randomisée d’une action de santé pour améliorer les pratiques diagnostiques et d’antibiothérapie des infections urinaires et pulmonaires.
1 Journée Régionale des Réseaux 4 décembre 2007 Pays de la Loire URCAM des Pays de la LoireARH des Pays de la Loire.
Modifications apportées au rapport d’étape 2010 pour 2011
Méthodes d’EPP en Médecine de ville AEU Lyon 25 janvier 2007 Patrick FROGER Bruno MEYRAND en collaboration avec Reinold RIGOLI.
La gestion des risques liés aux soins
Part Complémentaire Variable du Salaire en Pneumologie Réunion DHOS 17 Septembre 2007.
DES PLATEAUX TECHNIQUES REGROUPES ET MUTUALISES aux PLATEFORMES DE COMPETENCES MUTUALISEES ET VIRTUELLES Jean-Jacques Romatet Dr Martine Servat.
Le Projet d'encadrement du programme de sciences humaines du cégep de Bois-de-Boulogne.
DISPOSITIF D’ANNONCE PROTOCOLES DE SOINS EN CANCEROLOGIE
LE DOSSIER MEDICAL PERSONNEL DMP. LECHEC La convention nationale médicale de 1993 prévoit un dossier médical informatisé et un dossier reflet: le carnet.
Gestion du parcours de la maladie : l’approche d’Action Cancer Ontario
La technologie pour une expertise régionale
Auto évaluation annuelle d’un programme d’ETP
Évaluation des Pratiques Professionnelles
RESEAU ONCO-NC Sein Gynéco
PART COMPLEMENTAIRE VARIABLE DE REMUNERATION étude de faisabilité 17 septembre 2007 Maternité Régionale Universitaire de Nancy Docteur VALENCE : DIM Professeur.
Diplôme Universitaire Prise en charge des patients en État végétatif ou pauci-relationnel Année F. TASSEAU - Centre Médical de l’Argentière.
Le bilan annuel de synthèse : une simplification dans la prise en charge des patients ? Anne SIMON - SFLS – 30/10/2009 Conflits d’intérêt : laboratoires.
ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT D’UNE EQUIPE CADRE DE LA ZONE DE SANTE DANS LE CONTEXTE DE LA DECENTRALISATION POLITIQUE, ADMINISTRATIVE ET TERRITORIALE.
CARA Les enjeux métier du projet eSanté Projet
Des outils et des homme au service d’une organisation régionale
Notre mort exige cette minutieuse préparation
Scolarisation des élèves en situation de handicap Intervention à lESMS 23 juin 2009 Philippe Douriaud CPC ASH.
Où sommes-nous ? De la bonne volonté... Où allons-nous ? Au professionnalisme Aphorismes, objectifs & remises en cause À quoi sert la FMC ? À quoi sert.
Revue de Pertinence des soins Application à la coloscopie
MISE en PLACE de la Loi du
Présentation des fonctions de l’infirmier pivot
Jean-Marc BEREDER, Nadia ARAB, JF QUARANTA
Place du médecin généraliste
Prise en charge du cancer et évolution de la réglementation
Parcours patient dans le cancer cancer localisé de la prostate
LES ATTENTES DES PATIENTS
EPP 44 A Choix de l’action L’établissement évalue et améliore la pertinence des hospitalisations du sujet âgé de plus de 75 ans à partir d’une consultation.
Bilan de la certification V2/2007 des Etablissements de Santé en Basse Normandie Mise à jour du
Pôle de santé langrois / 10 février 2011 Dernières évolutions médico-chirugicales mises en œuvre au Pôle de santé Langrois. Organisation de la cancérologie.
Cancers rares de l’adulte L’organisation en centres experts.
Progrès dans les cancers de l’enfant
Les Equipes Mobiles de Soins Palliatifs
Cancer info Conseil d’administration du 19 mars 2010.
Réunion de Concertation Pluridisciplinaire
DIU de thérapeutiques anti-infectieuses Rennes – 15 janvier 2016
1 Audit en hygiène hospitalière En pratique comment mener un audit clinique MOUET Audrey CAEN.
PRÉSENTATION DU PROTOCOLE Déc ASALEE, une prise en charge en équipe 1. Les médecins identifient avec les infirmières les patients éligibles à chaque.
Transcription de la présentation:

La multidisciplinarité DES: 21 mars Peut-on nous obliger à être meilleurs? 2- La place du radiologue

Pédagogie cas « intéressants » rares ou difficiles -> Prise en charge multidisciplinaire Quelle trace ?

Ce quil reste des discussions de staffs à laube du XXI e siècle :

Les RCP Plan cancer

Circulaire de février 2005 de la HAS : - Présentation de tous les nouveaux cas avant mise en route du primo-traitement en Réunion de Concertation Pluridisciplinaire et ce, quelque soit la localisation - Présentation également des dossiers des patients nécessitant une modification du traitement (reprise évolutive, toxicité…) L'évaluation régulière des RCP doit rendre compte d'une amélioration continue de la qualité des soins et du service médical rendu au patient.

Indicateurs RCP Recueil obligatoire pour tous les Etablissements de Santé titulaires de lautorisation pour lactivité de soins de traitement du cancer.

Le benchmarking !!!! 2006

Méfions nous des indicateurs : Observons leurs effets et pas seulement leurs résultats LABUS DINDICATEURS PEUT ETRE DANGEREUX POUR LA SANTE

2010

Nous sommes nous améliorés ?

Résultats : très nette amélioration de - taux dinclusion dans les RCP - la complétude des renseignements demandés Les effets collatéraux : CHRONOPHAGE ++++

Lorganisation. La place du radiologue.

Une RCP nest pas un staff de service

Règles disponibles pour chacun Objectif connu : prise en charge optimale de chaque cas

Anticipation

La place du radiologue

Images clés accessibles directement dans le dossier médical, à la suite du compte rendu

Même principe pour images FO, endoscopie, photos diverses

La prise en charge : - étude des dossiers en amont - sélection des images pertinentes - mesures, comparaisons Lenseignement : - variable en fonction du nombre de cas présentés - nest pas un plus pour la spécialité - augmente très nettement lappréhension globale dune pathologie - mise à niveau « en temps réel » des innovations dans dautres spécialités.

Et après la RCP ? Proposition thérapeutique discutée Programme personnalisé de soins

1- Peut-on nous obliger à être meilleurs? 2- La place du radiologue

1- Peut-on nous obliger à être meilleurs? 2- La place du radiologue : « imageur » ou médecin?