L’EQUILIBRE MACROECONOMIQUE « KEYNES contre FRIEDMAN : le match n’a fait que des gagnants »
Introduction 1ère PARTIE : Deux hommes, deux théories : Friedman remet en cause Keynes 2ère PARTIE : Une application stricte de l’une de ces deux théories n’est pas convenable Arrivons à un « mix »…
Friedman critique Keynes… 1ère PARTIE : Deux hommes, deux théories : Friedman remet en cause Keynes KEYNES FRIEDMAN ORIGINES Classe moyenne supérieure Pessimiste Décédé en 1946 Pauvre émigré Optimiste Décédé en 2006 THEORIE GENERALE Théorie de la Demande: Intervention de l’Etat dans l’économie de marché par une politique budgétaire (politique discrétionnaire) : dépenses publiques Le revenu courant des ménages détermine la consommation, qui détermine la demande globale La consommation dépend du revenu permanent des ménages Théorie de l’Offre : Laisser-faire du marché (reprend SMITH) : l’Etat doit uniquement contrôler l’inflation (donc la Masse Monétaire) Concept de chômage naturel : si le chômage dépasse un certain seuil, l’inflation explose Théorie quantitative de la monnaie Friedman critique Keynes…
Insuffisance de la demande globale ou erreur de la Fed ? 1ère PARTIE : Deux hommes, deux théories : Friedman remet en cause Keynes Crise des années 30… Insuffisance de la demande globale ou erreur de la Fed ? Théorie quantitative de la monnaie de FRIEDMAN : La MM doit augmenter progressivement (donc se fixer des objectifs) L’inflation est éradiquée puisque assez d’argent pour tous les biens ! Ex : crack boursier de 1987
Roosevelt aux EU après la crise des années 30 : KEYNES 2ère PARTIE : Une application stricte de l’une de ces deux théories n’est pas convenable Roosevelt aux EU après la crise des années 30 : KEYNES Thatcher en GB après la crise des années 70-71 : FRIEDMAN Politique de grands travaux, création d’emplois mais déficit budgétaire trop lourd à porter… Inflation disparait, croissance, création d’emplois mais inégalités sociales très marquées et emplois précaires...
Conclusion Il faut retenir un peu des deux hommes ! KEYNES FRIEDMAN Une politique : Non quantitative Mais belle et bien monétaire La politique monétaire doit cibler : Une variable réelle Une variable nominale (la demande) Il faut s’attacher : Au taux de création monétaire Mais au taux d’inflation ! Mise en place d’un système : Discrétionnaire Mais avec un encadrement pour l’Etat