Section 4.1 Pages 75 à 81
Perception de ce que nous sommes, fondée sur nos conceptions relatives à nos forces, faiblesses, valeurs, croyances, espoirs, rêves, rélisation et déceptions.
Perception de ce que nous sommes, selon nos interactions avec d’autres individus Exemples : Résultat des interactions sociales (un bébé apprend à se connaître selon les réactions qu’il provoque) Nous aurions plus d’un “soi”… (nous changeons de “personnalité” selon le contexte où l’on se trouve) Le soi personnel (qui l’ont est vraiment, qu’on partage avec quelques personnes proches) Le soi adaptif (ce qu’on laisse voir de nous au reste du monde, en public)
Perception de ce que nous sommes, ayant comme origine notre culture. Exemple : chez les Mixtèques du Mexique, ils croient être liés à un animal. À l’aide d’un chef spirituel, ils doivent découvrir leur animal. Les individus liés à un animal féroce (jaguar) seront plus respectés que ceux dont l’animal serait un petit lapin.
Le concept de ÇA, MOI, SURMOI (Freud) est à la base du concept de soi psychologique. Nous sommes constamment en crises inconscientes entre le ça, moi, surmoi. Ce qui résulte en mécanismes de défense.
Et si tu t’appelais… Télésphore? Églantine? Claudee, Aimé(e), Danielle? Rihana? En effet, les prénoms peuvent influencer notre perception de soi. Il existe même des livres de noms et des analyses de noms.
Exemples du prénom qui influence le concept de soi : Les autochtones reçoivent un nom selon leur historique, un événement important, etc. Certaines cultures rebaptisent un individu suite à un événement important pour leur attribuer un prénom plus approprié.
Pour un homme : monsieur Pour une femme : madame ou mademoiselle? Et si l’on t’adressait la parole avec “docteur”? Certains titres peuvent influencer le concept de soi.
Le concept de soi change beaucoup! Selon Erikson, l’ado veut un concept de soi basée sur l’individualité. Pour cela, l’ado doit passer par des crises d’identité. Ceux qui se décrivent de façon très positive ont un portrait positif de soi. (pas toujours réaliste) Plusieurs ados éprouvent un manque de confiance pendant le développement de leur concept de soi.
Julie est calme et réservée à l’école. Elle est énervée à la maison. Elle est sociale avec son équipe de soccer. Julie ne souffre PAS de double personnalité. Julie n’est PAS “two faced”. Julie n’est PAS en crise d’identité. Julie est équilibrée car elle sait s’adapter et interagir dans une multitude de contextes. Elle peut jongler différents rôles (ensemble des status) pour l’aider à mieux réussir dans la vie.