Les pensionnats pour les amérindiens Un chapitre sombre dans l’histoire du Canada et dans l’histoire de l’Église Unie
QUELQUES DONNÉES CLÉS: 1849 première école connue en Ontario 1880 Indian Act: met les autochtones sous tutelle du gouvernement; objectif déclaré – leur assimilation 1996 fermeture de la dernière école résidentielle pour enfants amérindiens
1991 établissement de la commission royale sur les peuples autochtones 1996 publication du rapport de la commission Depuis 2008 Commission de vérité et réconciliation du Canada: collecte de témoignages et information des Canadiens; établir une bande de données événements de clôture fin mai à Ottawa!
Au moins 139 écoles existaient pendant les 150 années d’exploitation Estimation que enfants les ont fréquentés Un grand nombre est décédé Beaucoup ont subi des sévices physiques et sexuels
Les effets sur les communautés autochtones et les générations suivantes étaient dévastateurs Ils souffrent des conséquences jusqu’à nos jours Seulement depuis les années 80 la vérité sur les écoles commence à sortir
L’ÉGLISE UNIE DU CANADA (et ses Églises fondatrices) était impliquée dans l’administration des écoles résidentielles, tout comme l’Église catholique (généralement par des ordres religieux), l’Église Anglicane et l’Église Presbytérienne. L’Église Unie gérait jusqu’à 13 écoles résidentielles, surtout dans les provinces de l’Ouest canadien.
La mission était de convertir les enfants amérindiens au christianisme – et en même temps de les « civiliser», c’est à dire les assimiler à la culture occidentale, expression britannique…
1986 le 31 e Conseil Général prononce des excuses envers les communautés autochtones 1998 l’exécutif du Conseil Général exprime des excuses envers les étudiants des écoles résidentielles et leurs familles
Un fonds pour la guérison est établi Les autochtones à l’intérieur de l’Église Unie sont autorisés à former leur propre cercle de gouvernance Le 41 e Conseil Général décide en 2012 d’intégrer l’histoire des communautés autochtones dans l’introduction de la Base d’Union et les quatre couleurs des Premières nations, ainsi que des mots en mohawk à l’écusson de l’Église Unie.