Pauvre ou riche, quelles différences quand on est malade ? Université d’été en santé publique - mai 2006 Équipe 1 Gilles Beauchamp Nidale El-Sokhn Johanne Fortin Claudine Simard
Question de départ Comparer l’utilisation et la consommation des services dans deux territoires extrêmes au plan socio-économique et les comparer selon les diagnostics pour troubles de santé mentale.
Territoires comparés Exploration de la base des données CMIS Identification des territoires retenus Lac St-Louis Des Faubourgs Exclusion de Parc extension Ajout de Hochelaga Maisonneuve et Pierrefonds CLSC contre CSSS
Indice de Pampalon (MTL)
Tableaux comparatifs Utilisation des services par territoires et par diagnostics
56 % personnes âgées seules 47 % 22% 28 %
Valeurs Accès égal à la santé et aux services de soins pour tous Droit à la santé fondée sur la solidarité Liberté de choix
Enjeux Soutien aux milieux de vie Mise en place de GMF en milieu pauvre Assurer une offre de services en première ligne psychosociale dans les quartiers défavorisés
Besoin de nouvelles informations Obtenir des données provenant des psychothérapeutes, des psychologues, des travailleurs sociaux et des intervenants du réseau communautaire afin de mieux estimer les prévalences des troubles de santé mentale, i.e. affectifs et anxieux.
Pistes de réflexions pour des priorités d’action Distinguer les interventions selon les troubles de santé mentale : Prévenir (troubles affectifs et anxieux) Guérir et maintenir le traitement curatif (troubles sévères et persistants) Favoriser la participation citoyenne et le soutien social dans la planification et la mise en œuvre des services de santé mentale. Assurer le plaisir dans les actions de prévention.