E C J S La biodiversité
La biodiversité est partout, aussi bien sur terre que dans l’eau La biodiversité est partout, aussi bien sur terre que dans l’eau. Elle comprend tous les organismes, depuis les bactéries microscopiques jusqu’aux animaux et aux plantes plus complexes
La biodiversité a de nombreux bienfaits fondamentaux pour les humains La biodiversité a de nombreux bienfaits fondamentaux pour les humains. La perte de la biodiversité à des effets néfastes sur plusieurs aspects du bien-être humain, tel que la sécurité alimentaire, la vulnérabilité face aux catastrophes naturelles, la sécurité énergétique et l’accès à l’eau propre et aux matières premières.
La perte de biodiversité et les changements dans l’environnement qui y sont liés sont plus rapides qu’a aucune période de l’histoire de l’humanité. De nombreuses populations animales et végétales sont en déclin. La disparition des espèces fait partie du cours naturel de l’histoire de la terre mais l’activité humaine accélère le rythme d’extinction, qui est au moins 100 fois supérieur au rythme naturel d’extinction.
les forêts tropicales, qui abritent 70 à 90% de la biodiversité continentale disparaissent pour répondre aux besoins des pays riches tout en exploitant les populations locales qui en sortent appauvries
En quoi la biodiversité est- elle vraiment utile à l’homme ? C’est à partir des composants sauvages et domestiqués de la biodiversité que l’homme crée et enrichit la gamme de ses aliments, produits pharmaceutiques et industriels. Prenons l’exemple des médicaments. Leur élaboration dépend en grande partie de substances animales et végétales. Et cet attachement à utiliser les ressources naturelles pour leur développement ne fait que s’accroître : l’Organisation Mondiale de la Santé encourage aujourd’hui les médecines traditionnelles, y compris dans les pays industrialisés.
Les effets de la canicule de 2003 sur la vie aquatique Les chercheurs ont analysé des données acquises entre 1979 et 1999, il ont put remarquer une diminution de certaines espèces locales au profit d’espèces plus thermophiles [1]. Ce phénomène peut venir d’une augmentation de la température de l’eau (1.5 °C), elle même liée au réchauffement de l’air. Par exemple les valvata piscnalis, un gastéropode, leur densité est passée du simple au tiers, la situation ne s’est pourtant pas améliorée après la vague de chaleur. En 2004 des espèces qui avaient bien supporté la canicule ont complètement disparues. [1] Microorganismes qui vivent dans un environnement où la température est élevée.
TRAVAIL REALISE PAR ANAIS TBEPC SESSION 2008