La fin du cours
L’immigration
Un nouveau profil démographique Après la Deuxième guerre mondiale, la politique canadienne d’immigration favorisait les immigrants du Royaume-Uni et de l’Europe. Les juifs et les noirs n’étaient pas bienvenus et on avait peur des immigrants de l’Europe de l’Est. On rejetait également les asiatiques.
Il y avait très peu d’immigrants européennes car leur économie devenait plus vitale alors il fallait trouver d’autres sources d’immigration et le Canada a commencé à accueillir des immigrants des pays en développement. Après 1971, la majorité des personnes qui immigrait au Canada venait d’Asie, des Caraïbes, l’Amérique latine et l’Afrique
Les réfugiés Les réfugiés sont ceux qui fuient le danger, la persécution ou la mort dans leur propre pays. De nombreux groupes de réfugiés sont venus chercher aile au pays au cours des dernières décennies. Mais les fonctionnaires de l’immigration canadienne n’étaient pas préparés à la vague de réfugiés qui sont venus demandant l’asile.
Certaines sont de véritables réfugiés, mais pas tous. On a remarqué une augmentation dans le nombre de gens qui font passer comme réfugiés quand ils ne le sont pas véritablement car les réfugiés ont la priorité des milliers d’autres immigrants potentiels.
Les racines du nationalisme québécois
L’ère Duplessis De 1936 à 1939 et encore de 1944 à 1959, le Québec a été contrôlé par Premier Ministre Maurice Duplessis et son parti, l’Union Nationale. Duplessis croyait vraiment que le Québec était plutôt son propre pays au lieu d’être simplement une autre province canadienne. Pour mettre l’emphase sur les différences de langage et de culture de sa province il a introduit un nouveau drapeau pour le Québec, qui tenait le symbole français du fleur-de-lis.
Sous Duplessis, l’église catholique défendait la culture francophone et encourageait les gens de ne pas accepter la culture anglophone (les produits/magasins inclus.) L’église supportait les traditions de la ferme et de la faille et a dirigé les hôpitaux et les écoles au Québec.
La révolution tranquille En 1960, après la mort de Duplessis, Jean Lesage et les libéraux ont gagné l’élection provinciale avec le slogan « Time for a change ». Lesage voulait arrêter la corruption dans le gouvernement et a augmenté les salaires et les pensions pour les travailleurs. Son gouvernement a pris des étapes paisibles pour rendre plus moderne la culture, l’éducation, l’économie, et les politiques dans cette province. L’influence de l’église baissait. Cette période de changement a été connu comme « la révolution tranquille ».
Dans l’élection de 1962, les libéraux ont introduit le slogan, « Maitres chez nous ». Ils voulaient rendre plus forte l’économie et ils ont acheté plusieurs compagnies d’Hydro pour former une compagnie, Hydro-Québec, contrôlée par le gouvernement.
La naissance du separatism Les francophones du Québec étaient fier de ce qu’ils ont accompli, mais ils devenaient de plus en plus frustré avec l’abondance de l’anglais dans le pays. Pourquoi est-ce qu’on devrait parler l’anglais au travail ou aux magasins? Pourquoi est-ce que le Québec était mal représenté au Cabinet?
Pour quelques québécois, la seule solution était de se séparer entièrement du Canada. Quelques jeunes radicaux ont formé des groupes terroristes comme le FLQ (front de libération du Québec) et ont battu dans le nom d’un Québec libre. Ces groupes utilisaient des bombes et des explosives pour attaquer des symboles de pouvoir du Canada anglophone. Dans les années 1960, les boites de poste et les bureaux de CP ont été attaqué.
En 1967, le ministre du cabinet, René Levesque a quitté le parti libéral pour former le Parti Québécois (PQ). Levesque croyait qu’il était mieux pour le Québec de se séparer paisiblement du Canada.
La réponse d’Ottawa Lester B Pearson est devenu Premier Ministre pendant la révolution tranquille. Il croyait que le Canada aurait une grande crise si les français n’étaient pas mieux accueilli dans le pays. Il a crée la Commission Royale sur le bilinguisme et le biculturalisme pour trouver des solutions. La commission a recommandé que le Canada devient officiellement bilingue.
En 1964, Pearson a décidé de changer le drapeau canadien pour apaiser les québécois qui croyaient qu’il était trop britannique. Ce drapeau a augmenté les tensions entre les anglophones et les francophones.
Trudeau et le Québec Quand Pierre Elliot Trudeau est devenu Premier Ministre en 1968, il était déterminé de convaincre les québécois que leur futur restaient avec le Canada. En 1969, il a suivi les recommandations de la commission bilinguisme et biculturalisme et son gouvernement a passé la loi sur les langues officielles. Cette loi a fait officiellement le Canada un pays bilingue.
Sous cette loi, tous les agences gouvernementaux autour du pays fallaient offrir des services en anglais et en français. Plusieurs canadiens ont embrassé l’idée de bilinguisme et ont enregistré leurs enfants dans des programmes d’immersion française. Les québécois n’étaient pas encore impressionnés et ils voulaient le statut spéciale dans la Confédération. Trudeau a répondu en disant que le Québec était une province tout comme le reste.
La crise d’octobre En octobre 1970, les événements au Québec ont été entendu autour du monde. Le 5 octobre, les membres du FLQ ont enlevé James Cross, un diplômat britannique, de sa maison à Montréal. En échange pour Cross, le FLQ a fait plusieurs demandes comme la libération des membres du FLQ qui sont en prison.
Les autorités fédéraux et québécois ont accepté la majorité des demandes, mais ils ont refusé de libérer les prisonniers. En réponse, le FLQ a enlevé le ministre Pierre Laporte le 10 octobre. Trudeau avait peur qu’on perd contrôle de la situation alors il a pris des mesures drastiques pour la régler.
Trudeau a demandé au parlement d’imposer la loi des mesures de guerre qui a seulement été utilisé pendant les deux guerres mondiales. Sous cette loi, les droits civiles ont suspendues et n’importe qui peut être arrêter et être membre du FLQ est devenu une crime.
Le 16 octobre, les troupes fédéraux ont été envoyé pour patroller les rues d’Ottawa et de Montréal. Des centaines de québécois séparatistes ont été arrêté et gardé, sans qu’on leur charge d’une crime. Trudeau croyait que ces actions étaient nécessaires pour combattre le terrorisme du FLQ.
La prochaine journée, la police a découvert le corps de Pierre Laporte dan le coffre d’une voiture. Il avait été étranglé. Cette découverte a rendu peur les canadiens et a mis de la pression sur la police de trouver James Cross.
2 mois plus tard, la police l’a trouvé dans une maison à Montréal. Les gens, qui l’ont enlevé, ont été donné le passage sauf à Cuba où ils ont reçu l’asile. Ceux qui ont été arrêté sous la loi des mesures de guerre ont été libéré. La crise était terminé.
Le PQ en pouvoir En 1976, les québécois ont choisis le Parti Québécois comme leur prochain gouvernement provincial, sous le pouvoir de René Levesque. En 1970, le PQ a seulement gagné 7 des 110 sièges au parlement. En 1976 Levesque a rassuré les québécois qu'une vote pour le PQ ne voulait pas nécessairement diné la séparation du Canada. Il a promis un referendum avant de pousser pour l’indépendance. C parti était POUR la séparation du Québec du Canada.
La plus grande priorité pour ce gouvernement était de passer la loi, la loi sur la langue française. Cette loi a fait le français la seule langue officielle de la province. Il fallait faire tout en français, même l’école, et cela a repoussé plusieurs immigrants de cette province. Au reste du Canada, on trouvait que la loi 101 était trop extrême et on voulait que le gouvernement canadien fasse une intervention.
Le référendum de 1980 En 1980 le gouvernement de Levesque a lancé un referendum pour déterminer le futur politique de la province. Il a demandé au québécois de vote OUI pour négocier un nouveau accord avec le Canada basé sur la souveraineté-association. Il a proposé que le Québec devient politiquement indépendant, mais garde un lien proche économique avec le Canada.
Trudeau a encouragé les québécois de rester parti d’un Canada fort et uni. Il a promis une nouvelle constitution si la côté NON gagne. Dans le referendum, 40% de québécois on voté oui et 60% non! René Lévesque a accepté la défaite, mais il a dit qu’un jour le Québec sera Libre!
Les affaires autochtones Vers la deuxième moitié du 20ieme siècle, le Canada devenait un pays bilingue et multiculturel, mais ses racines étaient encore plus diverses à cause des Premières Nations, ses premiers résidents.
Quand les autochtones vivant sur les réservations ont gagné le droit de voter en 1960, leur qualité de vie n’a pas améliorer comme prévu. Ils souffraient de la maladie, la pauvreté et une manque d’éducation. Ceux qui vivaient les villes connaissaient une réalité encore plus sévère car ils manquaient l’éducation et les abilités de s’adapter à la vie dans les villes.
Par la fin des années 1960, les Premières Nations ont mis de la pression sur Ottawa pour faire face à cette crise. « The National Indian Brotherhood » a été formé en 1968 pour faire du lobbysme de la part des autochtones vivent sur les réservations. Le gouvernement de Trudeau a formé un politique dans le livre blanc de 1969. Un livre blanc est un document qu’un gouvernement propose pour discussion, si elle est acceptée, elle est passée comme une loi.
Le livre blanc en 1969 était pour arrêter les politiques trop protectives envers les autochtones. Trudeau et son ministre des affaires indiennes, Jean Chrétien, ont suggéré que les autochtones sont traités comme les autres citoyens canadiens. Ils voulaient abolir les lois spéciales qu’ils avaient sur les réservations et les encourager de trouver des emplois comme le reste de la société canadienne. Cette assimilation était supposé d’éliminer leurs problèmes.
Les peuples autochtones étaient furieux. Ils ont vu le livre blanc comme une attaque sur leur identité. « The National Indian Brotherhood » a dirigé une attaque sur le livre blanc. Ils voulaient un autogouvernement au lieu de l’assimilation dans ce qu’ils ont appelé le livre rouge. Jean Chrétien a retiré le livre blanc mais n’a jamais offert une nouvelle politique.
Les inquiétudes en éducation Peu à peu les autochtones ont pris contrôle des affaires qui les concernent le plus. Après que les écoles résidentiels ont été aboli en 1969 les écoles de « bandes » ont développé autour du pays. À ces écoles, les enfants autochtones peuvent étudier leur propre langue et culture mais il y avait une manque d’écoles secondaires alors ces enfants fallaient quitté la maison à un âge très jeune.
En 1998, le gouvernement fédéral s’est excusé pour sa part dans cette problème et a annoncé des fonds de 350$ million pour réparer le dommage.
Les inquiétudes environnementaux Les peuples autochtones ont aussi pris contrôle de leur rôle dans l’environnement. Les industries canadiennes agrandissaient autour des réservations et plusieurs autochtones étaient inquiets que l’hydroélectricité et le gaz naturel vont endommager leurs activités traditionnels de la pèche et la chasse.
En 1970, les peuples autochtones du Yukon et des Territoires du Nord-Ouest ont lobbié contre le gouvernement canadien qui voulait construire une ligne de l’huile et de gaz naturel à travers de leurs terres. Ils voulaient qu’une étude est fait pour déterminer l’impacte de la ligne sur l’environnement. En 1977, une commission a été créé pour étudier l’impact sur la région, mais la construction a été suspendu. Mais en 2000, les groupes autochtones supportaient l’idée de ligne et voulaient même contrôle du projet.
En route vers l’autogouvernement En 1980, les peuples autochtones ont créé l’Assemble des Premières Nations pour leur représenter au niveau du gouvernement provinciale. L’Assemble a mis de la pression sur les chefs politiques canadiens pour la recognition légal des droits des autochtones. Comme résultat, les droits autochtones ont été écrits dans la Charte Canadienne. En 1985, le parlement a aussi passé loi D-31, qui a donné aux chefs des « bandes » le droit de dire qui avait le droit de vivre sur leurs réservations.
L’augmentation dans le pouvoir de la bande a posé la question de quelles autres pouvoirs devraient être transférer du gouvernement fédéral aux conseils de bande? On pouvait maintenant discuter le sujet d’auto gouvernance. Les peuples autochtones croyaient que l’auto-gouvernance était nécessaires pour leurs aider à contrôler leurs ressources et de prendre contrôle de l'éducation, de la culture et des systèmes judicaires.
Mais est-ce que l’auto-gouvernance peut vraiment fonctionner?
Les concessions autochtones Il y a deux types de concessions autochtones: 1. les Concessions spécifiques : les traités entre les peuples autochtones et les gouvernement fédéral. Ils ont été signé mais leurs termes n’ont pas été respecté. 2. Les concessions compréhensives : ils ont questionné qui occupe la terre dans les grandes parties du Canada où il n’y a pas de traité.
La confrontation Oka Par la fin des années 1980, plusieurs concession sont été créé car plusieurs membres des bands ont demandé de la terre supplémentaire ou de la compensation ou la terre perdue. En aout 1990, les évènements dans le village d’Oka, au Québec, ont bousculé la nation. Le village a décidé d’agrandir la course de golfe sur la territoire des Mohawks sur la réservation Kanesatake.
La société Mohawk a décidé d’arrêter la construction de la course de golfe en faisant un bloques. Le maire d’Oka a demandé au gouvernement provincial d’intervenir. Le 11 juillet la police est avancé sur la ligne des Mohawks et les deux ont échangé des coups de feu. Un officier a été tué. On ne sait pas de quelle coté est venue la balle meurtrière.
Après que l’officier est mort la situation est devenue tres sérieuse. La police a bloqué Kanesatake et les Mohawks ont bloqué un pont qui relie quelques régions de Montréal. Il y avait des confrontations entre les autochtones et les policiers chaque nuit et à travers du Canada des autres groupes autochtones ont montré leur support en bloquant les autochtones et les chemins de fer autour du pays.
Le Premier Ministre du Québec, Robert Bourassa a appelé les forces canadiennes pour de l’aide. Les forces ont apporté avec eux des grandes armes. Les négociations étaient tenses mais vers la fin de septembre les autres bandes ont encouragé les Mohawks d’arrêter ce « stand-off ». Éventuellement, le gouvernement fédéral a acheté la terre et l’a donné aux Kanesatake.
Oka était une appelle au gouvernement et aux peuples canadiens. Les Premières Nations canadiennes étaient prêts à se battre pour leurs droits.