VOCABULAIRE Quelques définitions Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
ANAMNÈSE Ensemble des renseignements recueillis sur le patient et son trouble, généralement au moyen d’entretiens menés avec la personne qui vient consulter et/ou son entourage proche L’anamnèse est un temps essentiel et fondamental du bilan orthophonique qui permet tout d’abord de mettre en place la relation thérapeutique entre l’orthophoniste et le consultant De renseigner l’orthophoniste sur ses antécédents (développementaux, familiaux, sociaux, médicaux, scolaires, etc ….) Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
ANAMNÈSE De faire le point sur ce qui a motivé la demande et de la faire préciser. L’anamnèse représente donc une part non négligeable du BO et participe à la pose du diagnostic orthophonique en mettant en lien difficultés actuelles et difficultés antérieures (étiologie) Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
BILAN ORTHOPHONIQUE Depuis 1983, c’est l’acte initial indispensable à toute décision thérapeutique, qui permet à l’orthophoniste, grâce à un entretien pour bâtir le parcours anamnestique entre autres, au moyen d’épreuves et d’outils d’évaluation (tests), de poser le diagnostic d’un trouble (de la communication, du langage oral ou écrit, de la parole, de l’articulation, de la voix, etc., de juger de la nécessité d’une rééducation immédiate ou différée. Il permet par ailleurs d’établir le ou les objectifs de la rééducation, un plan de rééducation en rapport étroit avec les résultats de l’évaluation et en accord avec les demandes du prescripteur, du patient et/ou de son entourage Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
BILAN ORTHOPHONIQUE C’est un outil de dépistage, de diagnostic et de prévention Il est effectué sur prescription médicale Il est remboursé par la sécurité sociale sans demande d’entente préalable Il existe deux libellés possibles Bilan d’investigation` Bilan avec rééducation si nécessaire Après la première série de séances, il y a obligation de prescrire un bilan de renouvellement Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
BILAN ORTHOPHONIQUE Il existe une architecture rédactionnelle de bilan Il existe une nomenclature particulière aux bilans Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
ÉTIOLOGIE Recherche et étude des causes des maladies Souvent multifactorielle en orthophonie ce qui rend indispensable les échanges entre les orthophonistes et les autres professionnels (psychologues, enseignants, médecins, travailleurs sociaux, …..) Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
COMMUNICATION Moyen verbal et non verbal utilisé par un individu pour échanger des idées, des connaissances, des sentiments avec un autre individu Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
COMMUNICATION En linguistique, le langage propre à l’homme se distingue de la communication animale par 5 critères: La sémanticité ( les signes du langage verbal ou non verbal ont une signification L’interchangeabilité ( un signe peut être remplacé par un autre de même significaction Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
COMMUNICATION Le déplacement (un signe peut représenter des objets non présents) L’ouverture ( un signe linguistique peut fournir une signification autre que sa signification habituelle dans certaines situations) La prévarication (la non-utilisation du signe devient elle- même signifiante, comme par exemple de ne pas dire bonjour) Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
LA COMMUNICATION En pratique, on peut différencier: La communication gestuelle (langue des signes utilisée par les sourds) La communication non-verbale (qui inclut des aspects intralinguistiques et extralinguistiques) La communication verbale (orale ou écrite) Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
COMMUNICATION ALTERNATIVE ET AUGMENTATIVE Ensemble des formes de communication proposées au patient qui ne possède aucune parole dont l’expression est inintelligible Dont les troubles spécifiques sont si importants qu’ils empêchent d’atteindre un niveau efficace de communication Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
COMMUNICATION ALTERNATIVE ET AUGMENTATIVE Systèmes sans outillage électronique spécifique comme les icônes (BLISS, MAKATON, LSF, tableaux de communication) Aides techniques à la communication, informatiques ou non (synthétiseurs de parole, machines à défilement des caractères, etc. …) Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
COMMUNICATION PRÉ VERBALE Installée spontanément entre le parent et son bébé, C’est une communication polysensorielle fondée sur la voix, le regard, le toucher, les attitudes corporelles, les mimiques C’est un plaisir partagé fait d’imitations, d’initiations, d’interprétations qui permettent un premier accès à la symbolisation et au langage Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
DÉCRET DE COMPÉTENCE Création en 1983 ( soit 20 ans après la création du statut légal) Fixe la liste des actes professionnels accomplis par les orthophonistes Dernière modification le 4 mai 2002, qui accentue les compétences des orthophonistes au sujet des bilans et de la prévention Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
DEMANDE D’ENTENTE PRÉALABLE Demande écrite adressée au contrôle médical de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie de l’assuré pour qu’il puisse bénéficier du remboursement des soins dispensés Doit être jointe la copie de la prescription médicale S’accompagne d’un délai de carence de 15 jours sauf si le caractère urgent est spécifiquement inscrit sur la prescription médicale Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
DÉPISTAGE EN ORTHOPHONIE Date des années 70 Concerne le repérage le plus précoce possible des pathologies de la communication au moyen d’outils de dépistage orthophonique spécifiques Peut être ponctuel sous la forme d’actions organisées sur telle ou telle partie de la population réputée à risque ou systématique Fait partie intégrante de la compétence des orthophonistes Peut être pratiqué par des « non orthophonistes » Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
PRÉVENTION L’OMS définit 3 stades de prévention, visant à réduire l’apparition d’une pathologie chez une population donnée La prévention primaire: « tous les actes destinées à diminuer l’incidence d’une maladie dans une population, donc à réduire les risques de cas nouveaux » En orthophonie c’est: L’éducation sanitaire La guidance/accompagnement parental(e) L’information et la formation de tous les professionnels du secteur médical, sanitaire, social et éducatif Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
PRÉVENTION La prévention secondaire recouvre les « actes destinés à diminuer la prévalence d’une maladie dans une population, donc à réduire la durée d’évolution », en orthophonie c’est ce que l’on appel le dépistage précoce La prévention tertiaire vise à « diminuer la prévalence des incapacités chroniques ou des récidives dans une population, donc à réduire les modalités fonctionnelles consécutives à la maladie », il s’agit de l’action thérapeutique que peut avoir un orthophoniste en rééducation Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
DÉONTOLOGIE Elle est actée pour les médecins via leur ordre Les professions paramédicales, en l’absence de règles qui leur sont propres, sont soumis à la déontologie médicale Les orthophonistes réclament, à travers leurs instances syndicales, l’officialisation de règles déontologiques propres à l’orthophonie Un Conseil des Professions Paramédicales a été créé en mars 2002 Synonyme : éthique médicale Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
RÉÉDUCATION ORTHOPHONIQUE Terme générique recouvrant des réalités diverses en fonction des troubles, acquis ou développementaux; de la pathologie concernée, des demandes de la personne, enfant ou adulte, des modalités d’intervention du praticien, choix des méthodes; des modalités pratiques des séances, durée, fréquence, travail en relation duelle ou en groupe, en équipe pluridisciplinaire ou non Mise en place des capacités ou des compétences spécifiques; de restaurer un fonctionnement normal; et/ou mettre en place des moyens palliatifs ou de compensation Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
RÉÉDUCATION ORTHOPHONIQUE Implique un accord initial entre l’orthophoniste et le patient Nécessite des réajustements en cours d’évolution Est toujours précédé d’un bilan orthophonique Permet la rédaction d’un compte rendu et nécessite l’établissement d’une DEP Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
AVC Processus pathologique cérébral vasculaire par obstruction ou rupture d’une artère (plus rarement d’une veine) entraînant un ramollissement ou une nécrose du territoire impliqué lésions cérébrales plus ou moins importantes et étendues responsables d’un ensemble d’importance variable de troubles moteurs et/ou sensoriels et/ou troubles du langage Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
APHASIE Perturbation du code linguistique, affectant l’encodage (versant expression) et/ou le décode (versant compréhension) et peut concerner le langage oral et/ou écrit Trouble non lié à : Un état démentiel Atteinte sensorielle Dysfonctionnement de la musculature pharyngolaryngée Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
APHASIE Trouble lié à une atteinte cérébrale localisée ou diffuse, généralement dans la zone frontale, pariétale et/ou temporale de l’hémisphère gauche Trouble d’origine essentiellement vasculaire, traumatique ou tumorale Formes variées d’aphasie et de taxonomie Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
AUTISME Trouble neuro développemental affectant de façon sévère le développement, et en particulier la communication et le comportement de la personne Prévalence de 2 à 5pour 10 000 et 4 garçons atteints sur 5 personnes porteuses d’autisme Environ la moitié des autistes sont non verbaux Loi Chossy (1996) reconnaît le statut de handicapé aux personnes porteuses d’autisme, catégorie Troubles Envahissants du Développement (TED) Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
AUTISME Causes encore très controversées et discutées Pistes de recherche: Psychogénétiques (réfutées par les anglo saxons) Neurobiochimiques Neurocognitives Génétiques Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
BEGAIEMENT Trouble fonctionnel de l’expression verbale affectant le rythme de la parole en présence d’un interlocuteur Étiologie incertaine Trouble affectant 1% de la population 3 garçons pour une fille Débutant généralement entre 3 et 7 ans Prévention et prise en charge précoces indispensables Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
BÉGAIEMENT Pathologie de la communication avec Répétition de syllabes Prolongements de sons Blocages Spasmes respiratoires Syncinésie de la face et du cou Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
DYSARTHRIE Ensemble de troubles de l’articulation résultant d’une atteinte du système Nerveux central (SNC) ou périphérique (paralysie) ou d’une ataxie (incoordination des mouvements volontaires avec conservation de la force musculaire) des muscles des organes de la phonation Elles n’appartiennent pas au cadre de l’aphasie mais peuvent y être associées Respiration, articulation, phonation, débit et/ou prosodie peuvent être affectés Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
DYSCALCULIE Concept qui fait son apparition dans les années 1970 pour rendre compte à la fois d’un dysfonctionnement dans les domaines de la logique, de la construction des nombres et des opérations sur ces nombres, de difficultés de structuration du raisonnement et des outils logiques et mathématiques Concerne des personnes qui en général ne présentent pas de déficit intellectuel mais qui ont des troubles électifs en mathématiques, des troubles scolaires globaux plus aigus en mathématiques ou des troubles du langage liés à une construction insuffisante des structures de pensée Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
DYSGRAPHIE Trouble de langage écrit affectant le geste graphique de l’écriture et l’aspect formel de l’écriture Difficultés qui persistent de manière pathologique après la phase normale d’imprécision lors de l’apprentissage du code écrit Efforts compensatoires importants générant crispation, crampe et fatigue Étiologie variable et multifactorielle Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
DYSLALIE Terme très général recouvrant les difficultés de prononciations des mots dues à une atteinte organique (lésion, malformation) ou à un trouble fonctionnel des organes de la phonation (langue, lèvres, voile du palais, dents) Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
DYSLEXIE Depuis 1950 environ, dans les pays francophones, on associe les troubles d’apprentissage de la lecture et ceux de l’orthographe sous le terme générique DYSLEXIE- DYSORTHOGRAPHIE Depuis les années 80 cette « entité » a été mise à mal par les progrès de la recherche dans le domaine des neurosciences et du développement normal du langage écrit (psychologie cognitive), en découlent des modèles théoriques de référence ou des modèles génétiques Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
DYSLEXIES Dyslexie développementale (courant instrumental) qui existe chez des sujets n’ayant pas de trouble intellectuel, de déficit sensoriel, de trouble psychique grave, ayant été normalement scolarisés et issus de milieux socio culturels normalement stimulants Dyslexie acquise, généralement consécutive à une lésion cérébrale et concernant donc plus fréquemment les adultes nous parlons donc désormais plutôt de troubles spécifiques du langage écrit Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
DYSORTHOGRAPHIE Troubles d’acquisition et de maîtrise de l’orthographe NB en anglais « dysgraphia » regroupe la dysorthographie et la dysgraphie Approche classique: Manque de maîtrise de la correspondance graphème/phonème; des règles orthographiques d’usage et/ou grammaticales (inversion kinétique, confusion auditivo perceptive, confusion visuo perceptive); omission ou ajout de sons ou de graphèmes; des erreurs de segmentation; erreurs sur les doubles lettres et lettres muettes; confusion d’homophones non homographe; erreurs d’individualisation Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
DYSORTHOGRAPHIE Les modèles théoriques différencient les dysorthographies selon les difficultés d’accès à la procédure d’adressage ou à la procédure d’assemblage Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
DYSPHASIE Trouble développemental grave se manifestant par une structure déviante, lente et dysharmonique de la parole et du langage oral, au versant expression et /ou compréhension, ainsi que des manipulations du code entraînant des altérations durables dans l’organisation linguistique (phonologique, lexicale, syntaxique, morphosyntaxique, sémantique et/ou pragmatique, sans qu’il existe actuellement de causes déterminées Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
DYSPHASIE Trouble qui n’est pas dû à des affections connues susceptibles de provoquer un trouble de la parole et du langage Trouble sensoriel Trouble moteur Trouble mental Trouble de la communication Mais peut y être associée Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
DYSPHAGIE Difficulté à déglutir d’origine organique ou fonctionnelle pouvant comporter un phénomène inflammatoire, une compression, une paralysie, une faiblesse ou une hypertonicité de l’oesaphage Elle peut occasionner une douleur en avalant Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
DYSPHONIE Trouble de la voix parlée Dysphonie dysfonctionnelle Dysphonie spasmodique Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
DYSPRAXIE Difficulté à exécuter des mouvements volontaires coordonnés qui peut se manifester chez l’enfant et/ou chez l’adulte et dont les causes ne sont pas toujours bien identifiée Il s’agit chez l’enfant d’un trouble évolutif caractérisé par des difficultés majeures dans les activités de construction (maladresse, incoordination des mouvements) souvent associé à un retard du développement psychoaffectif Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
ILLETTRISME Phénomène surtout décrit depuis l’école obligatoire mais dont le terme a été créé par Aide à Toute Détresse-quart monde (ATD quart monde) Ce terme recouvre un accès difficile voire impossible au langage écrit En France on considère que cela recouvre le problème des adultes et des adolescents de plus de 16 ans qui ont bénéficié d’une scolarité obligatoire (durée totale significative de 5 années pleines) pour lesquels l’activité de lire ou d’écrire est difficile voire impossible Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
ILLETTRISME L’illettrisme est multifactoriel et ne dépend pas du soin sauf si une pathologie du langage qui est associée L’orthophoniste est alors un partenaire privilégié de façon ponctuelle ou régulière, pour des actions de prévention, d’information ou de formation de formateurs Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
ASE Ensemble de formes de protection de l’enfance, au sein de la famille ou en dehors de la famille. L’ASE de ce fait se substitue à une autorité parentale inadéquate Elle prend en charge par exemple la protection directe des enfants contre les mauvais traitements et organise des actions pour éviter la marginalisation ou permettre l’insertion des jeunes et des familles , en partenariat avec certains professionnels. Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
Action Educative en Milieu Ouvert (AEMO) Intervention au domicile des familles, auprès des mineurs en danger afin de leur apportrer une aide éducative, psychologique et parfois matérielle Suite parfois de mesures prises par le juge des enfants ou par l’ASE Actions menées par des équipes pluridisciplinaires auprès des enfants et de l’ensemble de la famille Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
Travailleur social Terme générique englobant plusieurs professions dont l’objet est la socialisation des personnes en difficultés, ou l’adaptation réciproque des individus et de leur milieu social Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
Travailleur familial Travailleur social qui assure à domicile des activités ménagères et familiales soit auprès de mères de famille, soit auprès de personnes âgées ou handicapées. Il peut intervenir dans le cadre de l’ASE Formation spécifique datée de 1974 Rôle éducatif et relationnel au sein de la famille Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
Protection Maternelle et Infantile Structure régie par le code de la santé publique a pour mission de promouvoir la santé de la femme enceinte et de l’enfant Elle informe sur la maternité et l’enfance, offre un suivi et détecte les handicaps ou mauvais traitements infligés Elle suit l’enfant jusqu’au début de la scolarité obligatoire. Elle est financée par les conseils généraux et contrôle les CAMSP Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
Centre d’Action MédicoSociale Précoce Statut privé ou public, avec un financement CPAM ou CG Accueille des enfants de la naissance à 6 ans, handicapés moteurs, sensoriels, mentaux et dont les difficultés ont été détectées par la PMI ou le médecin traitant La MDPH oriente vers le CAMSP Dépistage et traitement en cure ambulatoire ou à domicile, impliquant la famille dans une guidance parentale en liaison s’il y a lieu avec les structures d’éducation précoce Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
CAMSP Est souvent attaché à une autre structure de type hospitalier ou médico-éducatif On y trouve du personnel médical, des psychologues, des orthophonistes, des assistants de service social, des éducateurs de jeunes enfants, des puéricultrices Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
Centre Médico-Psycho-Pédagogique Emploie des personnels de l’EN et du personnel médical et paramédical Assure le diagnostic et le traitement des enfants et des adolescents, la plupart du temps en situation d’échec scolaire, dont l’inadaptation est liée à des troubles neuropsychiques ou à des troubles du comportement, en vue de réadapter l’enfant tout en le maintenant dans son milieu familial et scolaire habituel. Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010
Aide Médico Psychologique Personne qui exerce au sein d’équipes pluri disciplinaires une fonction d’accompagnement dans la vie quotidienne auprès de personnes handicapées ou dépendantes Elle travaille dans différentes structures auprès d’enfants ou d’adultes Formation sanctionnée par un certificat délivré par le ministère des affaires sociales Anne-Christine DUPONT FEVRIER 2010