Cotton to garnements. Barrières à la competitivité Insuffisance d’énergie, et couverture limitée Mauvais état des infrastructures routières Formalités.

Présentation au sujet: "Cotton to garnements. Barrières à la competitivité Insuffisance d’énergie, et couverture limitée Mauvais état des infrastructures routières Formalités."— Transcription de la présentation:

1 Cotton to garnements

2 Barrières à la competitivité Insuffisance d’énergie, et couverture limitée Mauvais état des infrastructures routières Formalités et services douaniers insatisfaisant Augmentation arbitraire des prix de l’électricité Nombre limité de personnel qualifié Fourniture imprévisible de semences de coton Produits agrochimiques trop cher Marché limité des engrais Insuffisance de fil et de tissus fabriqué localement Mauvaise gestion des schémas de contrats planteurs Nombre limité de personnel qualifié publicpublic privéprivéprivéprivé

3 Profil du secteur

4 Profil du textile En 1993, La demande de tissu en coton était de 13 400 tonnes, seulement 34% étaient importés, Cotona (22%) ainsi que d’autres usines textile telles que Sotema, Somacou, ou Samaf (44%). En 2001, la demande est de18,000 tonnes de tissus, dont 78% sont importés Cotona est la seule grande usine restante La capacité annuelle du secteur 20,000-25,000 Equivalent en metre carré (EMC), Le secteur de l’habillement a un besoin entre 100 000 et 120 000 EMC par an

5 Un temp de production court; Une production constante et de qualité; Compétitivité au niveau des tarifs; Livraison à temps, Les clefs du succès dans le secteur

6 Démantelement de l’accord multifibres Sous utilisation de l’Agoa (même si Madagascar vient juste après Lesotho)

7 Stimuler l’expansion des usines textiles (tissus) avant 2012 Profiter du retrait temporaire de la chine des produits bas de gamme

8 Coûts de production de fil

9 C’est une filière à 2 vitesses ; Une filière en forte croissance: Habillement Une autre filière en récession : Coton, Entre les 2 subsiste les industries textiles Conclusion

10 Amélioration des infrastructures en électricités; Supressions des procédures douanières lourdes (autorisations) Réduction des coûts des intrants chimiques Adoption de nouvelles méthodes pour la culture du coton. Investissement dans l’éducation pour faciliter le transfert de savoir faire de la part des usines d’habillement existantes Recommandations