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1 Morea Bechara Nathalie Saade. 2 Plan Introduction Définition Objectif Stratégie Avantage Frein Cas du marché libanais Cas de Blom Bank Statistique.

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1 1 Morea Bechara Nathalie Saade

2 2 Plan Introduction Définition Objectif Stratégie Avantage Frein Cas du marché libanais Cas de Blom Bank Statistique

3 3 Jamais l’e-banking n’a été aussi simple et aussi aisé Possibilité d’ effectuer toutes les transactions bancaires sans aucune contrainte d’heure ni de lieu, soit à la maison, au bureau ou en déplacement. Le e-banking est ouvert 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 et avec des conseiller joignables en tout temps.

4 4 Les décisions de placement seront prises sur la base des dernières informations des principales places boursières du monde Ainsi que des informations sur plus de 250 places boursières, les cours et les marchés de quelque 1,4 million d’instruments financiers.

5 5 Gardez un oeil averti sur l’argent Un service entièrement gratuit accessible à toute heure

6 6 Définition de l’E-Banking Désigne l'ensemble des services bancaires assurés par voie électronique ("electronic banking") et donc par Internet : consultation de comptes, virements, achats de produits financiers, etc. Grâce au minitel, les banques françaises ont été parmi les premières à explorer de facto l'e-banking.

7 7 Les établissements américains ont eux attendu le décollage d'Internet pour proposer des services en ligne à leurs clients. En mars 2001, 25 millions d'Américains avaient recours à des services de banque à distance via Internet.

8 8 Voici un aperçu des nombreuses possibilités qui sont offertes: –Effectuer et gérer les paiements, ordres permanents, domiciliations et transferts –Consulter l’historique de comptes –Ouvrir un compte d’épargne, compte à vue ou compte d’investisseur en ligne (signature électronique) –Obtenir toutes les informations sur un large univers de produits d’investissements (fonds, actions et obligations) disponibles sur plusieurs marchés

9 9 –Souscrire, acheter et vendre directement en ligne des fonds, actions et obligations –Suivre l’actualité économique et financière en temps réel –Obtenir un aperçu complet des comptes-titres, de l’historique des ordres ainsi que de leur statut –Gérer le portefeuille d’investissement et suivre l’évolution des placements d’investissements –Gérer le budget personnel et analyser les écarts entre les dépenses planifiées et les dépenses réelles

10 10 Une banque en ligne : Aujourd'hui, c'est plutôt la stratégie « multichannel » choisie par les banques et les négociants traditionnels qui domine. Sous cette stratégie c'est le client qui choisit le moyen de communication et de distribution au cas par cas.

11 11 L’agence pour l’exception La pratique montre que les usagers apprécient fortement les services en ligne. Principal avantages cités : gain de temps et autonomie (68%). 25% apprécient avoir une meilleure information grâce aux sites Internet. 95% sont satisfaits des services web de leur banque. En revanche, ils considèrent incontournable le déplacement dans une agence pour des opérations : la négociation d’un prêt immobilier, ou l’ouverture d’un compte.

12 12 un taux d'équipement en connexion Internet en forte croissance un marché mondial bancaire hyper concurrentiel les banques cherchent à faire d'Internet un canal de distribution à part entière et une source de croissance Internet est également à l'origine de l'arrivée de nouveau entrant : Monabanq et les assureurs profitent de ce canal pour développer leur offre bancaire accentue la concurrence du secteur

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14 14 Stratégie de E-Banking Se recentrer sur le client Avec l'intégration multi-canal, la banque passe d'un modèle de proximité client par l'agence, à « l'intimité client par la gestion multi-canal ». Cette capacité à gérer globalement un ensemble de connaissances, et d'interactions avec le client, quel que soit le canal utilisé, n'en est encore qu'à ses débuts. Les banques, sous la pression du succès de la banque en ligne, ont commencé à faire leur révolution culturelle, et à recentrer leur système d’information sur le client.

15 15 L’approche client –création de valeur ajoutée Une solution de banque électronique doit apporter une plus value pour persuader le client à faire des transactions –sans recourir à des moyens de paiement physiques. Cependant l’argent liquide est un moyen extrêmement pratique d’échange –universellement reconnu comme valeur, et il est accessible, facile à porter, et divisible. Facilité d’usage – commodité : La solution e-banking doit être simple à utiliser, rapide, et conviviale.

16 16 Stratégie de E-Banking De nouveaux espaces La réflexion sur l’agence de demain ne se limite pas à l’évolution de l’outil informatique présent sur le poste de travail, même si celui-ci a été transformé par l’intégration des stratégies multi canal. propose au personnel en agence toutes sortes d’informations sur les clients (éléments biographiques, date de dernier contact avec la banque, etc.). Nécessite : disponibilité d’un accès complet à l’outil informatique pour les personnels, au sein de l’agence.

17 17 Institutions financières : quelle stratégie de marque sur Internet ? Étude : 100e d'offres de services financiers en ligne, européens et américains, Enquête : 1 000 internautes Le Cabinet Mercer Management Consulting et l'EFMA (European Financial and Marketing Association),

18 18 Selon le cabinet Mercer Management Consulting –plus de 82 % des internautes : attendent de l'Internet l'accès à une information pour prendre des décisions –75 % : le gain de temps dans leur recherche. –49 %: Les économies réalisées –72 % des internautes accèdent directement à leur site de banque en ligne –46 % sur des sites d'informations financières –61 % pour le courtage en ligne –41 % pour des informations sur des produits ou des services. 83% des utilisateurs de l’Internet font des recherches avant l’acte d’achat

19 19 Facteurs Clés de succès du e-banking L'adoption de e-banking est devenue une nécessité pour la banque car elle porte des opportunités majeures en terme d'avantages concurrentiels. Elle permet à la banque, d'une part, d'améliorer l'efficience et l‘efficacité opérationnelle au sein de l'entreprise et d'autre part, de développer une relation commerciale plus forte et plus satisfaisante avec la clientèle.

20 20 Pour le client qui veut gagner en liberté, ses exigences sont claires: Pouvoir opérer où il veut, quand il veut et par les moyens qu'il a choisis d'où le concept des services financiers électroniques ou le e-banking qui est entré dans les majeurs pour le traitement des opérations courantes.

21 21 Le E-Banking répond aux attentes des consommateurs en matière de disponibilité afin de réaliser des échanges à toute heure. Ainsi, les banques cherchent des solutions pour développer leurs spécifiés mais aussi se batir une identité propre et différenciatrice.

22 22 L’avantage relatif perçue de l’adoption en terme des performances au niveau d’augmentation de la part de marché de la banque, au niveau de réduction des couts et au niveau de la satistfaction clientèle

23 23 Quant aux variables structurelles, les 2 variables l'environnement technologique interne de la banque et l'avantage relatif perçu de l'innovation exercent un impact significatif sur l'adoption des innovations de e- banking.

24 24 D’où la nécessité du E-banking Plus la banque avance dans son processus d’internationalisation, plus elle devient affrontée à un nombre important de concurrents de diverses origines.

25 25 Les banques les plus performantes en matière de profit et de part de marché et qui possèdent des accés a des grands montants des capitaux sont susceptibles d’adopter les innovations de E-banking.

26 26 L’adoption des affaires électroniques conduit à une diminution des frais de transactions, des frais de promotion, une diminution des de ventes et ne diminution des couts consacrées aux taches répétitives.

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28 28 Les banques dans l'ère électronique : les limites du "e" Le manque de financement freine le processus d‘adoption du E-Banking. Il n’empêche que les opérations bancaires “électroniques” posent des problèmes juridiques, car, notamment, il n’y a pas encore de lois relatives à la preuve électronique, ni à la reconnaissance de la signature électronique.

29 29 Sur les rapports entre les banques et la BDL. La circulaire impose aux banques de suivre, dans le cadre de leurs opérations électroniques, “les principes d’intégrité et de transparence, d’adopter des procédures pour assurer le maximum de sécurité et de prendre les mesures nécessaires pour définir et limiter les différentes responsabilités”.

30 30 Sur les rapports entre les banques et leurs clients La circulaire stipule que les signatures digitales sont permises seulement lorsqu’elles respectent les conditions suivantes : - Il devrait y avoir un contrat préalable entre les parties concernées. - Le signataire devrait utiliser un code personnel d’identification. - La banque devrait confirmer la transaction dans un délai de 24 heures par courrier électronique et dans un délai d’une semaine par courrier normal.

31 31 Les pirates du e-banking Le pirate envoie un spam contenant un virus, qui lui permet d'espionner sa victime. Quand celle-ci se connecte sur son compte, le pirate la dévalise. Face à cette attaque, l'utilisateur ne peut rien faire. Dès que son ordinateur est infecté, aucun système d'e- banking, même bien sécurisé, n'offre de protection.

32 32 CAS du marché Libanais Le marché libanais est un petit marché où l’adoption de l’innovation de E-Banking est limitée aux grandes banques les plus performantes. Donc malgré l’automatisation des échanges et la nouvelle architecture électronique, le marché libanais n’est pas trop qualifié comme un marché de forte concentration.

33 33 L’e-banking est assez nouveau sur le marché libanais. Il est considère important pour l’avenir et la continuité du travail ou il peut être un avantage concurrentiel lorsque la concurrence augmente

34 34 Le client Libanais jusqu’à maintenant n’a aucune confiance en mediums électroniques pour gérer ces transactions, il préfère aller dans une agence, parler avec l’employé, prendre un café en attendant que ces besoins se réalisent au lieu de les réaliser à travers un medium électronique ou un ATM.

35 35 L’adoption des innovations de e-banking sur le marché libanais n’est pas relié aux coûts d’adoption, car les innovations de e-banking sont considérées par la plupart des banques comme un outil de marketing et de publicité pour attirer les clients et pour montrer que la banque suit le développement technologiques. Ainsi les banques trouvent que même si l’adoption nécessite des énormes dépenses supplémentaires, elles adoptent ces innovations dans le but de satisfaire ses clients et de donner une valeur ajoutée a ces services et ces produits offerts et à sa réputation

36 36 Cas de BLOM Pousser le client pour qu’il soit plus impliqué, concerné, et engagé avec la banque et ses comptes Diminuer la pression du travail dans les branches Possibilité de faire des transactions, virements de compte courant à compte courant Faire gratuitement des relevés de comptes Possibilité de connaître si un chèque est collecté ou qu’un transfert est reçu. Consultez les soldes et les mouvements détaillés de comptes, cartes bancaires et polices d'assurance, Ajuster le plafond des cartes bancaires Souscrire gratuitement à sms alerts Diminuer le coût de publicité ( panneaux, tv, sms …) A pris sa forme actuelle et le boom en 2007 Plus de 63 % des clients ont accès à e-blom Cout 5000 LL (timbre)

37 37 E-BLOM = sécurité, confidentialité, confiance Client signe le « agreement » dans une branche +2 jours reçoit code d’autorisation et code de référence Imprime le « agreement » du système et l’envoie à la branche Dans 2 jours il aura un « active profile » Il modifie son profile “Exchange format file” sur PC Il n’a pas besoin d’entrer au site de blom.com.lb pour accéder à son compte, mais juste à partir du CD ou du profil enregistrer sur USB. Il pourra accéder toujours de son PC à e-blom, ou faire entrer le profil et le mot de passe sur un autre PC grâce au CD ou USB.

38 38 Statistique de E-Banking

39 39 Statistique de E-Banking

40 40 Statistique de E-Banking

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42 42 Référence http://www.dbresearch.com/PROD/DBR_INTERNET_EN- PROD/PROD0000000000196129.pdf http://www.aecom.org/veille/pdf/banque_100904.pdf http://www.journaldunet.com/solutions/dossiers/ebanking/sommaire.shtml http://www.capaf.org/Telech/IT/BN%2031%20- %20Electronic%20Banking%20For%20the%20Poor-fr.doc http://www.deutschebank.be/fr/pdf/ReglementOnlineBankingFR.pdf www.dbresearch.com/PROD/DBR_INTERNET_EN-PROD/PROD0000000000196129.pdf - http://www.pewinternet.org/PPF/r/149/report_display.asp http://www.silicon.fr/fr/news/2008/03/06/les_riches_fans_de_la_banque_en_ligne_ http://www.eurostaf.fr/fr/catalogue/etudes/sectorielles/banque-assurance/banques- internet/resume.html?PHPSESSID=2hrmhtcmcaf9tq3gcb73hpcbk0

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