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Séminaire « Développement économique et Politique de la Ville »

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Présentation au sujet: "Séminaire « Développement économique et Politique de la Ville »"— Transcription de la présentation:

1 Séminaire « Développement économique et Politique de la Ville »
14 décembre 2016 Aubagne

2 Programme matinée 9h00 Accueil des participants
9h30 Propos introductif par Mr Sauvaget représentant la DIRECCTE PACA 9h45-10h15 Le développement économique dans les quartiers prioritaires Intervenant : Radeda KERBOUDJ (AFE) Intervention du CGET (visio) 10h15-10h30 Echanges avec la salle Pause 10h h30 Tables rondes : lancement par Francis Garnier (Direccte PACA) et animation par Gilles Tabellion (Itaque) Cette table ronde vous propose un échange autour de 4 thématiques : La création d’entreprise. M. ARAUJO (CCIMP) - Muriel BERNARD-REYMOND (Le Carburateur) La reprise -Transmission. Jean Luc HERRAIZ (CMAR PACA) Economie de proximité -FISAC. Caroline LOUVET (CCIMP) - Carole GUILLET-VALLAT (Communauté d'agglomération ACCM) L’Economie Sociale et Solidaire. David HECKEL (CRESS-PACA) Echanges avec la salle Pause déjeuner

3 Programme après-midi 14h00-15h30 2 Ateliers :
Création d’activités - Reprise Transmission 2. Economie Sociale et Solidaire Ces ateliers vous permettront de reprendre les thématiques abordées le matin avec les mêmes intervenants, en les déclinant au regard de vos préoccupations de terrain. Ils vous permettront ainsi de mieux appréhender la notion de développement économique dans vos futures instructions. 15h30 -16h00 Présentation du site : 16h00-16h15 Propos de clôture par Mr Rousset Préfet délégué à l’égalité des chances

4 Le séminaire « Développement économique et Politique de la Ville »
Le développement économique est devenu un des piliers des contrats de ville, malgré de nombreuses initiatives, le constat général est que le volet économique des interventions en faveur du développement des quartiers urbains en difficulté est souvent peu approfondi. Cette journée d’information a pour objectifs : 1. De comprendre l’enjeu du développement économique dans les quartiers 2. D’identifier la notion de territoire pertinent 3. De connaitre les actions engagées en PACA ainsi que les différents opérateurs intervenants sur le développement économique

5 Responsable Adjoint Pôle 3E DIRECCTE PACA
Mr Sauvaget, Responsable Adjoint Pôle 3E DIRECCTE PACA Propos introductif

6 Propos introductif Mr Sauvaget, Responsable Adjoint Pôle 3E DIRECCTE PACA
Une population régionale plus importante concernée par la nouvelle géographie prioritaire de la politique de la ville Les habitants des quartiers prioritaires particulièrement pauvres en PACA… Un cumul de facteurs faisant obstacle à une insertion professionnelle durable Une approche nouvelle pour répondre aux enjeux de l’emploi dans les quartiers prioritaires … La place de la DIRECCTE en tant que financeur principal des opérations en faveur de l’emploi.

7 Nomenclature du CGET : actions relevant du pilier développement de l’activité économique et de l’emploi

8 Le développement économique dans les quartiers prioritaires
Intervenant : Radeda KERBOUDJ (AFE) Le développement économique dans les quartiers prioritaires

9 Agence France Entrepreneur

10 Présentation L’AFE reprend l’intégralité des missions de l’APCE et les élargit pour renforcer et mieux coordonner l’action nationale et locale en faveur de l’entrepreneuriat, prioritairement en faveur des territoires fragiles. Si l’APCE est la pierre angulaire sur laquelle se bâtit l’AFE, cette nouvelle agence n’en est pour autant pas une réplique à l’identique. L’AFE renforce l'accompagnement de tous ceux qui désirent créer et développer leur entreprise, notamment et significativement dans les territoires fragiles où l'offre d'accompagnement et de financement est aujourd'hui insuffisante. L'AFE s'appuie sur les ressources de l'APCE dont elle reprend les missions d'information et d'orientation des porteurs de projet et entrepreneurs, de promotion de l'entrepreneuriat ainsi que l’accompagnement des professionnels via son centre de ressources dédié.

11 Une agence nouvelle pour coordonner l’action
L’AFE est investie de nouvelles missions, en particulier : le déploiement de la stratégie nationale de soutien à l'entrepreneuriat, la coordination de la mise en œuvre de l'action publique au niveau national, et le renforcement de l'articulation des actions nationales et territoriales. Son action vise à : favoriser les créations et les reprises d'entreprises plus pérennes et créatrices d'emploi ; aider au développement des très petites entreprises (TPE) et des petites et moyennes entreprises (PME) qui créent de l'emploi ; innover pour créer un cadre plus favorable à l'initiative économique.

12 Une agence nouvelle pour coordonner l’action
Des objectifs : Porter à 50% la part des entrepreneurs accompagnés par les réseaux qui sont issus des territoires fragiles Augmenter de 50% la part de l’activité des réseaux réalisée dans les quartiers de la politique de la ville Augmenter de manière significative la part de l’accompagnement post-création

13 Une agence nouvelle pour coordonner l’action
L’Agence France Entrepreneur est présidée par Mohed Altrad, chef d’entreprise. Dotée d’un budget propre de 6M€, l’AFE emploie une trentaine de salariés. Les membres fondateurs : l'Etat (DGE, DGEFP, CGET) la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), l'Association des Régions de France (ARF), le Conseil supérieur de l'Ordre des experts-comptables (CSOEC), Les chambres consulaires (CCI France et APCMA)

14 Le site de l’Agence

15 Un site internet, centre de ressources sur la création/reprise d’entreprise

16 Deux sites thématiques

17 Coordination des Réseaux

18 Des réseaux d’accompagnement mieux coordonnés
Un « comité de coordination des réseaux » a été créé auprès du conseil d’administration de l’AFE. Il constitue un lieu de concertation, de proposition et de réflexion prospective sur les actions à conduire en matière de développement entrepreneurial à l’échelon national et dans les territoires fragiles, notamment en repérant et en promouvant les actions innovantes en matière d’accompagnement. En favorisant l’échange entre les réseaux, il contribue à articuler de manière concertée leur action dans les territoires, en particulier les territoires fragiles. Il conduit des réflexions sur l’évolution de l’offre d’accompagnement au regard des besoins des entrepreneurs et des territoires.

19 Des réseaux d’accompagnement mieux coordonnés
Ainsi, l’AFE, au travers de quatre groupes de travail, anime une réflexion sur : GT 1 - le renforcement de la présence des réseaux dans les territoires fragiles, GT 2 - le renforcement de l’accompagnement post-création, GT 3 - la mutualisation des outils, GT 4 - la formation des porteurs de projets et des créateurs d’entreprises.

20 Coordination des financements nationaux vers l’entrepreneuriat

21 Programmation 2016 des financements AFE
Montant des subventions allouées : € 19 bénéficiaires Allocation des subventions selon les objectifs territoires fragiles : 53 % post-création : 19 % sensibilisation des jeunes : 15 % actions transversales/autres : 14 % Réserve pour évaluation des actions subventionnées : €

22 Dotation exceptionnelle de 20M€

23 Une allocation des fonds équilibrée
7 M€ dédiés à des dispositifs présentés par les Régions/Métropoles après appel à projets établi par l’AFE, en direction des Territoires Fragiles (co-financement 1€ / 1€) 6 M€ dédiés à l’accompagnement au développement des entreprises : Commercial (marketing, export, gestion, etc.), Digital (formation au web marketing, e-commerce, cybersécurité, etc.), Croissance : Repérage et accompagnement des entreprises à potentiel pour favoriser leur croissance et la création d’emplois. 3 M€ focalisés sur l’intervention dans 5/10 quartiers sous forme de création d’un lieu unique 2 M€ dédiés aux outils commun au bénéfice de tous les entrepreneurs (Communication et outil internet/extranet Régions) Total : 18 M€, dont une réserve de 4% pour frais de gestion & évaluation des programmes (720 k€) 2 M€ non affectés à ce stade

24 Courrier aux Préfets

25 Objectifs « Pour accomplir sa mission, l’agence s’appuiera sur les services déconcentrés de l’Etat »  Etre informé des actions menées au niveau national et informer sur les actions menées au niveau régional, et plus largement sur le contexte local Assurer la cohérence des actions portées par l’Etat aux niveaux national et régional, et plus largement des membres de l’AFE et opérateurs de l’Etat (réseaux consulaires, Pôle Emploi, CDC, …) Assurer une concertation/coordination entre les actions menées par les acteurs nationaux et les conseils régionaux Décliner en région ce qui peut être décliné des travaux nationaux (coordination, Comité de coordination des réseaux), alimenter les travaux nationaux des travaux régionaux

26 Mise en place d’un réseaux des financeurs
Dans un premier temps, faire la transparence entre les acteurs : Au niveau de l’Etat (échelons régional et infrarégional) Avec le Conseil régional, la CDC et Pôle Emploi Il s’agit d’élaborer un tableau partagé des acteurs financés au niveau local Dans un second temps, promouvoir une programmation partagée Mettre en place une instance de concertation, relai des actions menées au niveau national et vecteur de coordination renforcée des acteurs sur le terrain

27 Echanges avec la salle

28 Table ronde : Cette table ronde vous propose un échange autour de 4 thématiques pour apporter à tous les participants un socle de connaissance sur les 3 champs du développement économique dans les Quartier Prioritaire La création d’entreprise. M. ARAUJO (CCIMP) - Muriel BERNARD-REYMOND (Le Carburateur) La reprise -Transmission. Jean Luc HERRAIZ (CMAR PACA) Economie de proximité -FISAC. Caroline LOUVET (CCIMP) - Carole GUILLET-VALLAT (Communauté d'agglomération ACCM) L’Economie Sociale et Solidaire. David HECKEL (CRESS-PACA)

29 Introduction à la table ronde Francis GARNIER DIRECCTE PACA

30 La création d’entreprise M
La création d’entreprise M. ARAUJO (CCIMP) - Muriel BERNARD-REYMOND (Le Carburateur) CCIMP Carburateur

31 La reprise -Transmission Jean Luc HERRAIZ (CMAR PACA)

32 SEMINAIRE REGIONAL DIRECCTE
Mercredi 14 décembre 2016

33 LA TRANSMISSION-REPRISE
DANS L’ARTISANAT  La reprise d’entreprises en France : chiffres clés  Définition et poids économique de l’artisanat Spécificités de la Transmission-reprise dans l’artisanat Offre de services de la CMAR Paca

34 La Reprise d’entreprises en FRANCE
reprises chaque année dont dans artisanat Reprise d’entreprises = 20% des immatriculations 85% des reprises se font dans cadre cession externe La reprise est en baisse depuis 2008 (crise + nouveaux régimes plus favorables à la création)

35 Définition et poids de l’artisanat
France : 1 million d’entreprises – 2,7 millions de salariés – 300 métiers PACA : entreprises ( BDR dont QPV) 60% n’emploient AUCUN salarié 4 grandes familles d’activité : Le bâtiment 49% L’alimentation 7% Les services aux particuliers 30% La production 14%

36 Spécificités de la Transmission-reprise dans l’artisanat
 Typologie des entreprises qui se transmettent Principaux freins à la reprise Créer ou reprendre ? Qui transmet et pourquoi ?

37 Typologie des entreprises transmises
 75% sont des magasins 90% des ventes concernent le fonds de commerce Conséquence : 80% des entreprises artisanales cessent leur activité sans être transmises

38 Principaux freins à la reprise
L’absence d’un fonds de commerce Des investissements obsolètes Présence de membres de la famille du cédant qui restent parmi les salariés Risques de départ des salariés et concurrence du vendeur si ne part pas à la retraite Prix de vente surestimé

39 Quand et pourquoi reprendre plutôt que créer ?
Pour bénéficier d’une réelle plus-value liée au fonds de commerce, au savoir-faire des salariés, à l’emplacement, à la notoriété (marque,..), etc… Selon le montant à investir on privilégiera l’un plutôt que l’autre : Jusqu’à € :création De à € : 50/50 entre création et reprise + de € : reprise Montant moyen des transactions des fonds de commerce en France : €. Prix ne baissent pas malgré la crise ! Apport moyen d’un repreneur : 10 à €

40 Qui transmet et pourquoi ?
 Départs à la retraite non majoritaires : moitié des transactions interviennent avant âge de 55 ans Principales causes de transmission : Accéder à des affaires plus importantes Changer d’activité (reprise activité salariée par ex) Difficultés économiques ou personnelles Par contre 10% des repreneurs ont + de 50 ans ! Difficultés des transmissions pour cause de retraite : Moins bien préparées que les autres Plus chargées affectivement Affaires moins dynamiques et vieillissantes Prix souvent plus surestimés

41 Offre de services de la CMAR Paca
Accompagnement des cédants : Diagnostic et évaluation de l’entreprise Diffusion d’annonces confidentielles Mises en relations avec des repreneurs Accompagnement des repreneurs : Recherche d’entreprises à reprendre Mises en relation avec des cédants Montage juridique, fiscal et financier de la reprise Parcours conseils-formation sur consolidation du projet de reprise au cours des 2 premières années suivants la reprise

42 MERCI DE VOTRE ATTENTION
VOS QUESTIONS ?

43 Economie de proximité -FISAC Caroline LOUVET (CCIMP) - Carole GUILLET-VALLAT (Communauté d'agglomération ACCM)

44 NOUVELLES MODALITES D’INTERVENTION
LE FISAC NOUVELLES MODALITES D’INTERVENTION Les APPELS A PROJET Textes de référence Article L du code du Commerce Décret n° du 15 mai 2015 Décret n° du 2 septembre 2015 modifiant l’Article L du code du commerce

45 FISAC, nouvelles modalités d’intervention : les appels à projet annuel
Principe: - Appel à projet redéfini tous les ans, publié avant l’été => ouvert du 13/06/2016 au 30/01/2017 Budget défini par la loi de finances de 2017 Territoires cibles 2016 Les communes classées en zone de revitalisation rurale (ZRR) Les quartiers prioritaires de la Politique de la ville Les centralités commerciales dégradées avec un fort taux de vacance Objectifs 2016 Promouvoir une offre de proximité qui réponde à l’évolution des attentes des consommateurs Préserver le savoir-faire des TPE et leur donner les moyens de se moderniser et de se développer Favoriser la redynamisation des territoires => Soutenir des démarches innovantes, des projets collectifs d’envergure Types d’opérations Actions individuelles en milieu rural Actions collectives en milieu rural et urbain (comprend les actions individuelles)

46 FISAC, nouvelles modalités d’intervention : les appels à projet annuel
Actions subventionnables en milieu urbain en 2016 Modernisation, diversification, accessibilité et sécurisation des entreprises de proximité existantes Création et modernisation des halles, des marchés couverts et de plein air Actions subventionnables en milieu rural en 2016 Création, modernisation, diversification, accessibilité et sécurisation des entreprises Derniers commerces multiservices Dernier commerce d’un secteur d’activité Les stations-services assurant le maillage territorial

47 FISAC, nouvelles modalités d’intervention : les appels à projet annuel
Actions subventionnables en milieu urbain en 2016 Détail sur les actions d’investissement Achats de locaux destinés à être loués au moins 10 ans Modernisation des locaux commerciaux (dont vitrines) et des équipements Signalétique Démarche Qualité Espaces marchands Performance Commerce Mise en œuvre de service de livraisons, de services après-vente innovants, de consignes, Mise en œuvre de professionnalisation des animations commerciales et de la mutualisation des actions des commerçants Marchés de plein air: mise aux normes, communication, animation, services clients, gestion des déchets…

48 FISAC, nouvelles modalités d’intervention : les appels à projet annuel
Détail sur les actions de fonctionnement Actions de dynamisation et valorisation des entreprises: dont communication, promotion et animation à condition que les associations de professionnels abondent à hauteur d’au moins 30% de leurs coûts Rémunération d’un animateur: € pour un ETP Conseils et diagnostics Evaluation des actions subventionnées

49 FISAC, nouvelles modalités d’intervention : les appels à projet annuel
Critères d’évaluation du dossier Priorités aux territoires et objectifs cibles Moyens pour assurer la pérennité du financement des actions engagées Dynamisme de l’association des professionnels ( système de communication, nombre d’adhérents, montant des cotisations) Impact mesurable sur les entreprises et le développement économique du territoire Innovation : TIC, nouveaux procédés de vente et de communication, nouveaux services clients, nouveaux servies pour les adhérents

50 FISAC, nouvelles modalités d’intervention : les appels à projet annuel
Calendrier 2016 Date limite de dépôts des dossiers à la DIRRECTE: Opérations individuelles: 28 octobre 2016 Opérations collectives: 30 janvier 2017 Conditions L’opération doit être précédée d’une étude de faisabilité Pas de financement d’Etat autre Délai de carence de 2 ans entre 2 opérations Entreprise au CAHT < 1M€ Seuil plafonné pour les aides financières Subvention liquidée dès la fin de l’opération dans son ensemble (actions non financées comprises) Remboursement dans un délai de 3 ans de toutes subventions non utilisées ou non conformément à l’objet d’attribution

51 Présentation des dispositifs Fisac Tarascon tranche 2 et Arles Zones urbaines sensibles
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52 Mise en œuvre avec CCI en cabinet conseil et rencontre de chaque acteurs pour lister les actions à intégrer dans le programme Mise en forme des documents avec la CCI Présentation des actions et validation politique des documents avant transmission à la Direccte

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55 La contribution de la communauté d’agglomération ACCM aux 5 dispositifs Fisac
Fisac Crau Montagnette : Etat € et ACCM € dont € AD Fisac Tarascon : Etat € et ACCM € dont € AD Fisac Arles villages et quartiers : Etat € et ACCM € dont € AD Fisac Arles zones urbaines sensibles : Etat € et ACCM € dont € AD Fisac Arles centre ancien : Etat € et ACCM € dont € AD Participation totale d’ACCM AD : € Participation totale de l’Etat AD : € Total ACCM : € Total Etat : €

56 Le calendrier du dispositif Tarascon :
29 novembre 2010 : Transmission du programme tranche 2 du Fisac Tarascon à l’Etat, dossier reçu, démarrage de son instruction par les services de l’Etat 18 novembre 2014 : Notification par la Ministre de l’artisanat, du commerce et du tourisme de l’octroi d’une subvention totale de € dont : € pour les actions en fonctionnement € pour les actions en investissement dont € pour les aides directes aux entreprises 28 novembre 2015 : présentation aux entreprises du périmètre 4 décembre 2015 : premier comité de pilotage

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58 Lundi 28 septembre 2015

59 Le calendrier du dispositif Arles Zus
Mardi 10 février 2015 Le calendrier du dispositif Arles Zus Avril 2012 : Transmission du dossier de candidature Fisac Arles Zones urbaines sensibles élaboré conjointement par la communauté d’agglomération, les chambres consulaires (CCI Pa et CMAR Paca) et la commune d’Arles 9 mai 2012 : Attestation de l’Etat : dossier reçu, démarrage de son instruction 20 février 2014 : Notification par la Ministre de l’artisanat, du commerce et du tourisme de l’octroi d’une subvention totale de € dont : € pour les actions en fonctionnement € pour les aides directes (unique action en investissement) 10 février 2015 : présentation aux entreprises concernées 26 juin 2015 : premier comité d’attribution des aides directes

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61 Le périmètre d’intervention du Fisac : Barriol
Mardi 10 février 2015 Mardi 10 février 2015 Le périmètre d’intervention du Fisac : Barriol

62 Le périmètre d’intervention du Fisac : Trébon
Mardi 10 février 2015 Mardi 10 février 2015 Le périmètre d’intervention du Fisac : Trébon

63 Le périmètre d’intervention du Fisac : Griffeuille
Mardi 10 février 2015 Mardi 10 février 2015 Le périmètre d’intervention du Fisac : Griffeuille

64 L’Economie Sociale et Solidaire David HECKEL (CRESS-PACA)

65 L’ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE EN PACA « Entreprendre autrement »
Séminaire “Développement économique et Politique de la Ville” - Le mercredi 14 décembre 2016

66 L’ESS : Un périmètre d’entreprise
Reconnaître et développer l’économie sociale et solidaire : définir le périmètre de l’ESS, les concepts et leur champ d’application I - A Une définition de l’économie sociale et solidaire inclusive Economie sociale et solidaire : mode d’entreprendre et de développement économique But poursuivi autre que le seul partage des bénéfices Gouvernance démocratique Principes de gestion Bénéfices majoritairement consacrés au maintien ou développement de l’entreprise Réserves obligatoires, impartageables, ne peuvent être distribuées composé d’activités mises en œuvre par Des entreprises « statutaires Coopératives Mutuelles de santé et sociétés d’assurance mutuelle Fondations Associations 1901 Des sociétés commerciales Respect des principes de l’ESS Rech-erche d’une utilité sociale Respect de principes de gestion particuliers (réserve statutaire obligatoire, mise en réserve des excédents) Agrément ESUS

67 L’ESS : Créateur d’utilité sociale
Objet social Soutien aux personnes en situation de fragilité Lutte contre l’exclusion et les inégalités Education à la citoyenneté Développement du lien social Développement durable & transition énergétique Solidarité internationale

68 L’ESS : Un représentant légal _ La CRESS
1ère mission : La représentation auprès des pouvoirs publics des intérêts de l’ESS et l’information sur l’ESS 2e mission : L’appui à la création, au développement et au maintien des entreprises 3e mission : L’appui à la formation des dirigeants et des salariés des entreprises de l’ESS 4e mission : La contribution à la collecte, à l’exploitation et à la mise à disposition de données économiques et sociales aux entreprises de l’ESS 5e mission : L’information des entreprises sur la dimension européenne de l’ESS et l’appui à l’établissement de liens avec les entreprises des autres Etats membres de l’Union Européenne A celle-ci s’ajoute l’obligation de la tenue des listes

69 Cette carte caractérise la distribution spatiale de l’ESS
Cette carte caractérise la distribution spatiale de l’ESS. Parce que l’ESS est une économie territorialisée, porteuse d’activités de proximité sa répartition en région suit sa démographie : L’ESS est très puissante avec un ancrage très marqué dans les zones urbanisées, avec un taux d’emploi autour de 10% de l’emploi total. Elle se concentre en région le long de la façade littoral et 80% de l’emploi des entreprises de l’ESS se trouve dans les départements des bouches du Rhône, du var et des Alpes Maritimes Mais l’ESS à également une autre caractéristique, elle joue un rôle économique plus important dans les territoires de faible densité et plus rurales. Dans des territoires comme ceux des Alpes, le nombre relatif des emplois peut représenter en faite jusqu’à 20% du total de l’emploi privé du territoire

70 16 687 ÉTABLISSEMENTS EMPLOYEURS
Chiffres clés ÉTABLISSEMENTS EMPLOYEURS soit 8,6 % des établissements employeurs privés ou 8,2 % de l’ensemble des établissements employeurs (privés et publics) SALARIÉS soit 13,5 % des salariés du secteur privé et 10 % de l’emploi total régional (privé et public) 4,2 MILLIARDS € DE SALAIRES BRUTS DISTRIBUÉS soit 8,5 % des salaires bruts versés en région Source : Observatoire Régional de l’ESS CRESS PACA, d’après Insee Clap Avec près de 9% des entreprises de la Région et 8% des établissements de la Région, le poids de l’ESS dans notre région est fort. Plus d’1 salarié du privé sur 10 travail dans une entreprise privée de l’Economie Sociale et Solidaire, soit 13,5% des salariés du privé : Principalement dans une association employeuse pour 80% des salariés de l’ESS Près de 11% dans une coopérative 5% dans une organisation mutualiste quelque soit son secteur d’activité L’ESS contribue à la richesse régionale avec une contribution : De 8,5% de tous les salaires distribués dans l’économie locale des territoires De 8% de la valeur ajoutée des entreprises, soit le 8 points de PIB

71 Salariés par taille d’établissement
Ont peut observer que près de 50% des salariés de l’ESS en Région se concentrent dans des PME ou des grandes entreprises de l’ESS. Ce phénomène s’est accentué ses dernières années par le mouvement de spécialisation et de concentration dans certaines filières (banque, mutuelle, assurance, sanitaire et médico-sociale). Ce graphique pourrait être complété (nous n’avons pas le temps) de données sur la répartition par taille des établissements de l’ESS. On observerait que : 75% des établissements de l’ESS sont des microentreprises (Moins de 10 salariés) Les petites entreprises de 10 à 49 salariés sont proportionnellement deux fois plus présentes que le reste de l’économie privé Les moyennes et grandes entreprises sont elles aussi nettement plus implantées Cela explique le chiffre de 1 entreprise du privé sur 5 de la région est de l’économie sociale et solidaire.

72 Echanges avec la salle

73 pause déjeuner

74 2 Ateliers 1. Création d’activités & Reprise Transmission 2. Economie Sociale et Solidaire

75 Création d’activités & Reprise Transmission

76 Economie Sociale et Solidaire

77 Présentation du site

78 Elaboré par le comite technique régional politique de la ville de la Direccte PACA Objectifs du site : Animer, promouvoir et valoriser les actions et les acteurs de la politique de la ville de PACA en matière d’emploi et de développement économique. La vie du site : Alimenté par les CDET, référents politique de la ville et la Direccte PACA

79 Mr Rousset Préfet délégué à l’égalité des chances
Propos de clôture


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