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Publié parHenriette Lamy Modifié depuis plus de 10 années
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Pathologie traumatique du système extenseur
Ruptures musculaires Ruptures du tendon quadricipital Fractures de la rotule Ruptures du tendon rotulien Arrachements de la tubérosité
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Rappel anatomique
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Face externe de la cuisse
Tenseur du fascia lata Bandelette ilio-tibiale Quadriceps Biceps
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1/ Les lésions musculaires traumatiques
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Lésions musculaires traumatiques
Contusions Élongations Déchirures ou claquages Ruptures ou désinsertions (partielles-totales)
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L’élongation Accident banal Douleur retardée Poursuite de l’effort
Cicatrisation en quelques jours
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La déchirure ou claquage
Rupture de plusieurs fibres Douleur brutale Arrêt de l’effort, boiterie Récupération en 4 à 6 semaines
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La rupture Rupture de plusieurs faisceaux Douleur brutale
Impotence complète Encoche précoce Récupération en plus de 3 mois
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Mécanisme des lésions indirectes
Étirement passif brutal Contraction excentrique (déséquilibre agoniste/antagoniste) Facteurs favorisants Raideur musculo-tendineuse Fatigue, surentraînement Absence d’échauffement Âge
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Voussure ou tuméfaction
Ecchymose Encoche Signe du ballottement
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Rupture du droit antérieur
La plus fréquente. Football +++ accident du shoot Rupture totale = tt chirurgical
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L’échographie Suffusion Hématome (ponction guidée) Rupture
Désinsertion
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L’IRM Indications limitées en urgence
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La plupart des complications et des séquelles sont liées à l’hématome
Fibrose cicatricielle Ossification Enkystement
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L’hématome
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Evolution des lésions musculaires
Dégénérescence (qqs jours) Régénération musculaire (c de Mauro) Production fibroblastique
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Traitement Assurer une reprise sûre et dans les meilleurs délais
Favoriser une récupération optimale de la fonction Prévenir les récidives les complications Les lésions graves doivent être dépistées rapidement pour une éventuelle prise en charge chirurgicale
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Traitement Sur le terrain : empêcher la formation de l'hématome Compression et froid Arrêt immédiat Secondairement : réduire le volume de l'hématome Froid prolongé Mise en décharge Ponction éventuelle Drainage postural Massages de drainage à distance Contention élastique Retarder l'administration des anti-inflammatoires
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Limiter la production fibroblastique
Anti-inflammatoires stéroïdiens ou non stéroïdiens Ultra-sons
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Orienter les fibres régénérées
Rééducation précoce - non agressive - Etirements Contractions isométriques Contractions isotoniques concentriques puis excentriques en décharge puis en charge
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Optimiser leur fonction (équilibre enzymatique, capillarisation)
vélo, natation, footing renforcement isocinétique travail proprioceptif accélérations démarrages, sauts travail spécifique compétition
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Rupture du droit antérieur
Rupture tendino-musculaire Rupture en battant de cloche
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Traitement Fonctionnel en cas de rupture partielle
Chirurgical en cas de rupture totale
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Complications des ruptures musculaires
Cicatrice fibreuse Hématome enkysté Ossification Dégénérescence graisseuse Symptômes Douleurs traînantes Douleurs récidivantes Accélération et shoot impossibles Diminution de la force
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Cicatrice fibreuse Nodule ou cordon induré Douleur à l’étirement
Palpation normale Échographie : image hyperéchogène IRM Hyposignal T2 Rehaussement gadolinium Traitement à visée « défibrosante » Ultra-sons Anti-inflammatoires stéroïdiens (avec éviction du sportif -loi Buffet) Étirements
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Séquelles : cicatrices fibreuses douloureuses possibles
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Hématome enkysté Tuméfaction Écho ++ Ponction possible Chirurgie :
Évacuation Avivement de la paroi
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Remaniements mixtes : hématome +fibrose
Récidive d’une lésion en cours de cicatrisation Images mixtes Aspect pseudotumoral
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Hématome calcifié Tableau de claquage traînant ou récidivant Voussure
Induration localisée
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Scanner : vérifie l’absence de modifications des parties molles adjacentes (dgc dciel tumeurs)
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Traitement des ossifications
Pas de massages ! Pas de chirurgie sauf séquelle ancienne gênante Radiothérapie anti-inflammatoire ? Biphosphonates ? Résorption spontanée 3 à 6 mois
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Prévention Préparation correcte Hygiène de vie
Étirements Renforcement excentrique Hygiène de vie Progressivité en début de saison Eviter la répétition rapprochée des matchs
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2/ Ruptures du tendon quadricipital
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Rupture du tendon quadricipital Chez l’enfant : décalottement rotulien
Rotule basse - basculée en avant
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Décalottement quadricipital
Parfois la rotule est scalpée et il y a des petits arrachements osseux attirés en haut par la rétraction du tendon
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Décallotement quadricipital
C ans Accident au Basket : réception de saut / craquement Appui impossible
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Cerclage équatorial et embrochage
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Parfois la rupture survient en 2 temps, après un autre traumatisme et un délai d’immobilisation plâtrée de 2 à 3 semaines
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Rupture du tendon quadricipital chez l’adulte
La rupture se situe dans le tendon lui-même
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Rupture du tendon quadricipital chez l’adulte
La rupture se situe dans le tendon lui-même
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Rupture du tendon quadricipital
Réparation chirurgicale
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Rupture du tendon quadricipital négligée
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Rupture du tendon quadricipital négligée
Calcifications au sommet de la rotule
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Ruptures du tendon rotulien
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Ruptures en plein tendon ou arrachement de l’insertion tibiale
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Arrachement du tendon rotulien
M.. 11 ans Violente contraction du quadriceps Impotence complète Arrachement du tendon rotulien
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Ostéosynthèse par fils+broche
2 ans Résultat 34 mm 35 mm
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Rupture du tendon rotulien
Réparation chirurgicale : suture et protection par un cerclage
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Ruptures anciennes Patella alta et insuffisance de la force de d’extension du genou
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Séquelles
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Calcifications sous-rotuliennes : aspect de double rotule
Séquelles Calcifications sous-rotuliennes : aspect de double rotule
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Arrachement de la tubérosité
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Fractures-avulsions de la TTA chez l’enfant
Stades de Ogden Type 1 Type Type 3
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Type 3 Nécessité de vérifier l’intégrité méniscale
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Traitement chirurgical : ostéosynthèse par vis
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Exemples d’ostéosynthèses de la TTA
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Pathologie non traumatique du système extenseur
Ou micro-traumatique
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Maladie d’Osgood-Schlatter
Il s'agit d'une affection qui siège au niveau de la tubérosité tibiale antérieure, à l'insertion du tendon rotulien. Cette zone est particulièrement fragile en raison des phénomènes de croissance à ce niveau et elle est soumise, par l'intermédiaire du tendon rotulien, à des tractions multiples et répétées qui provoquent des micro-arrachements.
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Développement normal de la TTA
Les aspects radiologiques de la tubérosité varient avec l'âge. Apparition d'une excroissance en avant de la chondro-épiphyse tibiale Elle se sépare de la métaphyse après la naissance, avec développement d'une plaque de croissance en regard de la tubérosité. La croissance est relativement descendante par rapport à la métaphyse. Puis il se développe un deuxième centre d'ossification dans la partie distale de la tubérosité
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Développement normal de la TTA
L'ossification commence entre 7 et 9 ans et se fait de façon centrifuge. Il y a un front d'ossification qui va à la rencontre du foyer distal. Entre les 2 persistera un mince pont cartilagineux (pseudo fracture). Enfin les plaques de croissance se ferment, d'abord entre métaphyse et épiphyse puis au niveau de la tubérosité. C'est vers 15 ans, pour la fille et 18 ans, pour le garçon que se produit l'épiphysiodèse physiologique et la fermeture
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Dans la maladie d'Osgood, il se produit une véritable avulsion de fragments cartilagineux de la tubérosité, attirés vers le haut par le tendon (tractions multipes et répétées du tendon)
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Osgood : diagnostic Garçon (10 à 13 ans)
Douleurs exacerbées par le sport Bilatéralité Tubérosité saillante Douleur à la pression Douleur à l’extension forcée
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Signes d’examen Tuméfaction douloureuse Douleur à la palpation
Douleur à l’extension contrariée du genou Douleur à l’étirement
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Osgood : radiologie Aspect “flou” du rostre épiphysaire
Zone “rongée” de l’os épiphysaire sous-chondral Corps étrangers intratendineux Fragmentation de la zone d'insertion du tendon correspondant à des micro-arrachements ostéo-périostés. Déplacement antérieur du bec rostral Rarement, arrachement complet Œdème du tendon à l’IRM
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Aspects radio profil rayons mous
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Le traitement Arrêt momentané de la pratique sportive
Dans les formes hyperalgiques on peut préconiser le port d'un plâtre pendant 4 à 6 semaines avec une reprise progressive de l'activité (footing, natation, vélo). On a pu constater une guérison survenant plus rapidement après immobilisation. Il faut interdire les sports violents (la gymnastique, l'athlétisme) pendant 3 à 4 mois. interdire les sauts et les shoots. Il faut contre-indiquer formellement les infiltrations locales de corticoïdes. Étirements sous pelviens Il faut surveiller régulièrement ces enfants jusqu’à la guérison
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L'évolution se fait spontanément en 12 à 18 mois
L'évolution se fait spontanément en 12 à 18 mois. Elle est toujours favorable. Exceptionnellement, on peut noter une épiphysiodèse spontanée de la tubérosité tibiale antérieure. L’évolution est toujours plus longue quand on n’immobilise pas.
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Évolution avec immobilisation
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Évolution non plâtrée Lente Séquelles++
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Osgood Schlatter : séquelles
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Traitement des séquelles
Ablation des fragments situés derrière le tendon
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Osgood : complications
Chronicité simple peu douloureuse Périodes subaiguës paroxystiques Aspect insesthétique Arrachement du rostre Tubérosité douloureuse de l’adulte Rétraction du tendon rotulien (syndrome rotulien) Genu recurvatum
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Arrachement de la tubérosité sur Osgood
Traitement chirurgical nécessaire : Ostéosynthèse la plus atraumatique possible (risque d’épiphysiodèse)
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Maladie de Sinding-Larsen-Johansen
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Maladie de Sinding-Larsen-Johansen
« Osgood » de la pointe de la rotule (noyau d’ossification apical) Traction du tendon rotulien Cette affection frappe surtout le garçon de 10 à 13 ans. Il présente des douleurs mécaniques à l'effort.
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Aspects cliniques et radio
Symptomatologie proche de l’Osgood Confusion possible avec un syndrome rotulien Douleur précise à la pression de la pointe de la rotule. Radiographie : petites modifications de la pointe de la rotule et parfois un petit fragment détaché
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Évolution radiologique favorable
L'évolution est favorable avec le repos. L'évolution est lente et dure de 12 à 18 mois. Évolution radiologique favorable
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Le traitement est le même que dans la maladie d'Osgood.
Les complications sont exceptionnelles. Elles peuvent exister sous la forme d'un arrachement
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Séquelles Les séquelles sont rares, elles sont morphologiques
modification de la forme de la pointe de la rotule qui parait parfois allongée : "rotule en goutte"
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Séquelle classique « the nose »
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Autre pathologie microtraumatique de la rotule
Traction répétée sur le tendon quadricipital
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Ostéochondrose de la rotule
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FIN
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