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Un exemple en athlétisme courir longtemps Courir vite

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Présentation au sujet: "Un exemple en athlétisme courir longtemps Courir vite"— Transcription de la présentation:

1 Un exemple en athlétisme courir longtemps Courir vite
Agir dans l’espace, dans la durée et sur les objets Produire une performance optimale, mesurable à une échéance donnée Un exemple en athlétisme courir longtemps Courir vite

2 Attendus fin de cycle 2 Courir à des intensités et des durées variables dans des contextes adaptés. Savoir différencier : courir vite et courir longtemps . Accepter de viser une performance mesurée et de se confronter aux autres. Remplir quelques rôles spécifiques.

3 Compétences travaillées pendant le cycle
Transformer sa motricité spontanée pour maitriser les courses. Mobiliser de façon optimale ses ressources pour produire des efforts à des intensités variables. Pendant l’action, prendre des repères extérieurs à son corps pour percevoir : espace, temps, durée et effort. Respecter les règles de sécurité édictées par le professeur. L’enjeu est de confronter l’élève à une performance qu’il peut évaluer. Il doit, tout au long du cycle, en mobilisant toutes ses ressources, agir sur des éléments de sa motricité spontanée pour en améliorer la performance.

4 Courir longtemps

5 Courir à allure régulière sans s'essouffler pendant 6 à 10 minutes (selon les capacités de chacun)
Exemples : CP : 6 minutes CE1 : 8 minutes CE2 : 10 minutes Source Eduscol : Différencier courir longtemps (6 à 8 minutes à un rythme régulier) et courir vite avec ou sans obstacles (6 à 7 secondes ou sur une distance entre 20 et 30 mètres) et l’engagement moteur correspondant.

6 Situation sociomotrice
Classification P. Parlebas Milieu certain ( I ) Milieu incertain ( I ) Situation psycho-motrice Situation sociomotrice Lancers Sauts Couses Gym sportive Haltérophilie Natation sportive Golf… Patinage mixte Aviron Luge, Bob Relais Ath Jonglage Trapèze Sports de combat Raquettes en simple Course de demi fond Cyclisme sur piste Sport-co Joutes Jeux traditionnels Raquettes en double Voile en équipage Spéléo Alpinisme Plongée Rando Raids Voile Planche Ski de fond Cross, cyclo-cross Cross Cyclisme sur route Grands jeux Ski alpin, de fond Canoë Surf Escalade Tendance au stéréotype moteur Comportements préprogrammés Régulation proprioceptive Entraînement intense Hautes performances Décodage d’autrui Décodage du milieu Rôle clé de la feinte Décodage, encodage sémioteurs Anticipations d’anticipations Importance de la décision et de la stratégie motrice. Dynamique sociomotrice Absence de feinte Dynamique affective intense Risque Aventure vécue en groupe Dynamique d’antagonisme et de conflit Risque et aventure Déchiffrage du milieu, sémiotricité capitale, prise d’information, décision et stratégie motrice Risque aventure

7 Les pratiques athlétiques
PROJETER SOI MÊME UN ENGIN En lançant plus loin En sautant le + loin possible En sautant le + haut possible En rebondissant En courant le + vite possible Sprint ½ fond Haies Steeple Relais Route Triple saut Saut en hauteur Saut à la perche Poids Disque Javelot marteau Saut en longueur

8 Réaliser une performance : quelles compétences ?
Connaître ses limites Vouloir les dépasser Se fixer un projet raisonnable de performance Faire des efforts, persévérer, intérioriser une réponse motrice adaptée, la répéter à intensité progressive…

9 Problème fondamental de la course longue
La course longue est une pratique physique de production de performance et de confrontation dans laquelle il s’agit de : AUGMENTER L’ESPACE ET/OU DIMINUER LE TEMPS Problèmes posés au pratiquant : Utilisation de son potentiel athlétique pour réaliser des performances maximales Gestion de ses réserves énergétiques. Maîtriser des allures + ou – proche de sa vitesse maximale aérobie Contradictions principales à gérer par le pratiquant : Être le + régulier et aller le + vite possible. Utiliser tout son potentiel et gérer son énergie. Maîtriser sa respiration malgré une souffrance respiratoire.

10 Du point de vue de la motricité
Une foulée de course longue( différente de la foulée de vitesse) plus économique, moins ample, genoux moins hauts, poussée moins complète). Un rapport fréquence/amplitude adapté. Une action relâchée des bras et du haut du corps. Un rythme respiratoire personnel où l’expiration est le temps fort.

11 Ce qu’il faut intégrer en course longue
Du point de vue des intentions Du point de vue de l’activité perceptive Courir régulièrement pour courir longtemps Courir moins vite pour courir longtemps Eviter les à-coups Rester relâché Expirer régulièrement Repères d’espace/temps : perceptions d’informations spatiales et temporelle Repères liés à la ventilation : essoufflement, aisance…

12 ELEMENTS DE PHYSIOLOGIE
L’activité physique est le résultat d’une somme de contractions coordonnées qui peut se faire grâce à un apport énergétique indispensable : oxygène (aérobie), glucides (sucre), lipides (acides gras). En l’absence d’oxygène (anaérobie), l’apport énergétique peut avoir lieu uniquement par les glucides qui est rapidement limité par l’accumulation d’acide lactique. La course longue est une des activités qui sollicite les grandes fonctions de l’organisme : la circulation et la respiration. L’endurance se caractérise par un effort réalisé en aérobie. Il n’y a aucune carence d’oxygène.

13 ANAEROBIE ALACTIQUE ANAEROBIE LACTIQUE INTERDICTION
Le plus vite possible pendant une durée maximale de 10’’  Ils sont en course de vitesse ANAEROBIE ALACTIQUE Ce type d’effort est SANS RISQUE pour les élèves Le plus vite possible entre 10’’ et 2’ Ils sont en course de résistance ANAEROBIE LACTIQUE INTERDICTION Le plus vite possible entre 2’ et 30’ voire 1h  Ils sont en course d’endurance AEROBIE Ce type d’efforts est SANS RISQUE pour les élèves

14 La circulation : chaque contraction du cœur provoque une onde qui se propage dans les artères que l’on peut percevoir en palpant, par exemple, l’artère radiale au poignet ou la carotide au cou. C’est le pouls qui correspond à la fréquence cardiaque. Lors d’un fonctionnement en aérobie, un état stable de fonctionnement est atteint en 3-4 min. La fréquence cardiaque maximale dépend de l’âge du sujet (FC max = 220-l’âge en année). Il faut savoir qu’un enfant, en moyenne sur une journée, est à 105 pulsations/minute et dans un effort de course longue un travail de 180 pulsations/minute n’est pas dangereux. Il est important qu’après la course, la FC redescende très vite vers les 120 en moins de 5 min.

15 Quelques remarques importantes sur les caractéristiques et l’aptitude de l’enfant à gérer un effort de longue durée L’enfant asthmatique supporte une charge moins élevée, consomme plus d’O2 et se trouve plus limité par une fréquence cardiaque plus élevée. Il a besoin d’un démarrage lent, progressif et doit rester en travail sous maximal dans un air chaud et humide. L’enfant obèse ou en surcharge pondérale doit pratiquer un effort de longue durée d’intensité inférieure à 50% de la VO2 max. Il faut arrêter tout élève en état de fatigue se traduisant par un essoufflement (enfant haletant, bouche grande ouverte) ou par une allure crispée (visage, corps, bras)

16 Pour travailler dans les meilleures conditions l’endurance, il est nécessaire de connaître le moment où l’élève n’est plus dans un système aérobie. Il faut donc connaître sa VMA (Vitesse maximale aérobie) qui est l’intensité de travail que l’on développe au cours d’un effort de longue durée dont la dépense énergétique correspond à la consommation maximale d’oxygène (VO2 max).

17 Repères de progression
Construire l’allure Pendant la course, prendre des repères extérieurs à son corps pour percevoir : espace, temps, durée et effort. Identifier son allure Réguler l’allure Courir à allure régulière. Adapter son allure aux autres. Stabiliser l’allure Se passer progressivement des repères extérieurs .

18 Un exemple pratique de mise en « tension » du problème fondamental
Mon record en 5 minutes

19 Dispositif 60 m 68m 76m 84m 92m 100m

20 Mon record en 5 minutes BUT : réaliser les 10 tours les plus longs en 5 minutes. DISPOSITIF : former des duos : un coureur - un observateur l'enseignant donne le départ et siffle toutes les 30 secondes. CONSIGNES : Faire faire des essais pour comprendre les conditions de réalisation et connaître le parcours le plus adapté à ses possibilités Aux coureurs : "Tu choisis un parcours de couleur où tu réalises le tour en 30 secondes, puis tu vas effectuer 10 tours en 5 minutes : - si tu es en retard, tu peux aller sur le parcours plus court - si tu es en avance, tu peux aller sur le parcours plus long Aux observateurs : "Chaque fois que ton camarade tourne sur la ligne de départ, tu mets une barre sous la couleur correspondante." CRITERES DE REUSSITE : 1 - Réussir à effectuer les 10 tours en 5 minutes 2 - Marquer plus de points que la séance précédente. VARIABLES : - mettre en lien temps et distances et réinvestir sur un parcours différent. - augmenter la durée de course jusqu'à minutes - établir un tableau d'évolution des résultats en points, en distance - faire annoncer les points visés. Situation d'Apprentissage "Courir le plus loin possible dans un temps donné" circuits :Bleu Vert Rouge Jaune Blanc Noir 50 m m m m m m 6 points points points 3 points points point

21 FICHE D'OBSERVATION "Mon record en 5 minutes"
Nom du coureur : Nom de l’observateur : Dates valeur 6 pts 5 pts 4 pts 3 pts 2 pts 1 pt Total parcours bleu vert rouge Jaune blanc noir Ex : Nombre de tours xxx xxxxx xx points 3x5=15 5x4=20 2x3=6 41 pts Nbre trs

22 La situation de référence
But : Courir sans s'arrêter et sans être essoufflé pendant 6 à 10 minutes. CP : 6 minutes CE1 : 8 minutes CE2 : 10 minutes

23 Dispositif : parcours carré de 100m de 25m de côté balisé par des plots tous les 12,50m.

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26 « Les briques » CP Cet élève a fait 7 tours soit 700m. Il s’est arrêté 3 fois (aux 3ème, 5ème et 7ème tours).

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28 Principes pédagogiques
La fréquence : trois entraînement de 30 minutes, valent mieux que deux d’une heure ou un de deux heures L’assiduité : le bénéfice est assez long et difficile à acquérir, relativement aisé à entretenir, mais très facile à perdre L’intensité : travailler à des intensités faibles maintenues longtemps. Augmenter progressivement le temps de course longue. L’alternance exercice-récupération

29 Les règles de fonctionnement
La tenue L’échauffement Les circuits Le temps La gestion du groupe Les conditions de sécurité Evaluer la qualité du travail Après la séance

30 Courir vite Courir vite et franchir

31 Attendus de fin de cycle
Source Eduscol : Courir vite avec ou sans obstacles (6 à 7 secondes ou sur une distance entre 20 et 30 mètres).

32 Courir en franchissant des obstacles diversifiés en hauteur et largeur
CP CE1 et CE2 Courir vite pendant 6 s en ligne droite sur une distance courte, par exemple en franchissant le plus possible de zones de couleur. Courir en franchissant des obstacles diversifiés en hauteur et largeur Partir vite à un signal, maintenir sa vitesse pendant 7 à 8 secondes, franchir la ligne d'arrivée sans ralentir. Courir et franchir 3 obstacles bas successifs en ralentissant le moins possible. Être capable de le faire de plus en plus régulièrement : égaler ou battre son propre record .

33 Des difficultés à résoudre
vitesse obstacles Réagir au signal Courir en ligne Franchir la ligne vite Corps orienté Equilibre Position de départ Courir sans s'arrêter ou ralentir Franchir l'obstacle

34 Objectifs et situations d’apprentissage
le départ et la mise en action rapide trouver une posture efficace maintenir sa vitesse après l'arrivée courir droit rechercher la foulée optimale S1- S2- S3- S4- S11- S13 S7- S8- S9 S5- S6- S12- S15 S10- S12 S14

35 S12 pour maintenir ma vitesse, je cours vite au-delà de la ligne d'arrivée je regarde devant moi


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