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Publié parPaulette Chollet Modifié depuis plus de 10 années
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des établissements de santé ayant une activité d’addictologie
Etat des lieux des établissements de santé ayant une activité d’addictologie Dr Cécile Anglade Journée du Collège professionnel des acteurs de l’addictologie hospitalière –
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L’enquête 2012 Dispositif entier : sanitaire et médico-social
Exhaustive : 26 ARS Toutes d’autorisations (MCO, SSR, PSY): 603 établissements Actualisation du questionnaire : réseaux de santé, prise en charge des addictions sans substance, conventions entre établissements, unités sanitaires des établissements pénitentiaires (et/ou SMPR)
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Une organisation territoriale
Les acteurs et dispositifs de proximité L’appui aux médecins généralistes Les acteurs et dispositifs de recours Modalités d’accès et articulation des prises en charge La coordination des acteurs
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La filière hospitalière
Le niveau de proximité ELSA, consultation, lits de sevrage simples Le niveau de recours SSR, HDJ, unité de sevrages complexes Le niveau de référence unité d’enseignement et de recherche en addictologie liée au CHU
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Les structures de proximité
Quantitativement : 314 établissements dotés d’une ELSA 453 établissements dotés d’une consultation d’addictologie 249 établissements dotés de lits pour sevrages simples Un total de 166 établissements de niveau 1 : regroupant l’ensemble des structures (ELSA+cs+lits de sevrages simples)
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Les structures de recours
Quantitativement : 76 établissements dotés d’un hôpital de jour 122 établissements dotés d’une unité pour sevrages complexes (87 agréés) 87 établissements SSR avec mention addictologie Un total de 112 établissements de niveau 2 : regroupant l’ensemble des structures directement ou indirectement (par convention)
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Les établissements de référence
Quantitativement : 14 ARS disposant d’au moins 1 établissement avec d’une unité d’enseignement et de recherche en addictologie (UERA) 12 ARS ayant mis en place 1 ETP de PH pour les addictions sans substance 10 ARS renseignant des ETP universitaires (env.16) 10 ARS indiquant une activité de formation en addictologie pour les acteurs sanitaires et médico-sociaux Un total de 25 établissements de niveau 3 : regroupant l’ensemble des structures (UERA, unité de sevrages complexes, hôpital de jour, SSR, ELSA, cs, lits de sevrages simples)
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L’évolution de l’activité hospitalière d’addictologie
MCO en 2012 Les MIGAC : cs hospitalières d’addictologie : 52,35 M€ ELSA (FIR depuis 2013) : 47,27 M€ La T2A : 275,77 M€ L’activité hospitalière d’addictologie augmente globalement : Elle passe d’environ séjours en 2010 à en 2012. Le volume économique correspondant passe d’environ 235 M€ à 275 M€. La moitié des séjours concerne un éthylisme aigu. Ce type de séjour concerne principalement des hommes avec un âge moyen de 43 ans. La part des hommes de moins de 18 ans est stable entre 2006 et 2012 (env. 20%). Dans le secteur ex-DG, la racine 20Z04 représente plus de 90 % des séjours des 2 racines (20Z02 et 20Z04)
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L’évolution de l’activité hospitalière d’addictologie
PSY en 2012 (DAF et OQN) Fréquence importante des comorbidités addictives chez les patients présentant des troubles psychiatriques chroniques avec conséquences pronostiques de la co-occurrence de conduites addictives et de troubles psychiatriques. Implication des établissements confirmée par l’enquête : 70 ELSA, 90 cs, 50 établissements avec lits de sevrages simples et 50 avec unités de soins complexes, 32 HJ Ex. en ce qui concerne les seules pathologies liées à l’alcool : -2,7 millions de journées -près de actes patients. A ce stade, l’estimation précise des coûts liés à l’activité d’addictologie (comorbidités addictives) n’est pas individualisable.
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L’évolution de l’activité hospitalière d’addictologie
SSR en 2012 (DAF et OQN) Progression de l’activité entre 2009 et 2012. Par exemple : 2 millions de journées pour « pathologies liées à l’alcool » ( patients) : journées avec « alcool » en GMD journées avec « alcool » en autre GMD. Comme pour la psychiatrie, l’estimation précise des coûts n’est pas individualisable.
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Point sur les hôpitaux de jour
Problématique : l’activité réalisée dans les hôpitaux de jour (HDJ) d’addictologie ne repose pas systématiquement sur la réalisation de plusieurs examens complémentaires mais sur la coordination d’interventions pluri professionnelles (médecins, IDE, psychologue notamment) dans le cadre d’un projet de soins personnalisé avec le patient (Annexe V de la circulaire du 26/09/2008 relative à la filière de soins en adictologie). Dans ce cadre, les HDJ sont de structures de recours chargées d’accueillir des patients nécessitant des sevrages ou des soins complexes. Dans 3 régions, les professionnels de quelques HDJ nous ont récemment remonté des difficultés concernant certains dossiers de patients examinés (ces contrôles et difficultés ne sont pas spécifique à l’addictologie et concerne d’autres pathologies telles que l’obésité et le diabète). Afin de préciser les questions posées (au-delà du seul cas des addictions) et d’y proposer des solutions pérennes, des travaux seront menés en 2014, en lien notamment avec les professionnels, les ARS et les institutions concernées.
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Focus sur quelques unes des perspectives du plan gouvernemental 2013-2017
Amélioration des pratiques Formation initiale et continue des professionnels de santé Recommandations de bonnes pratiques de la HAS Appui à la médecine de premier recours Formation des médecins généralistes Appui aux médecins généralistes Amélioration de la prise en charge pour les personnes sous main de justice Évaluation de l’organisation de cette prise en charge (circulaire du 17/11/2010) Adaptation éventuelle de la prise en charge (fonction des résultats de l’évaluation)
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