Mme KOUABO NADO Anne Marie Fabienne

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1 Mme KOUABO NADO Anne Marie Fabienne
MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE ET DE L’ENSEIGNEMENT TECHNIQUE REPUBLIQUE DE COTE D’IVOIRE DIRECTION DE LA VEILLE ET DU SUIVI DES PROGRAMMES DVSP MISSION EN INDE D’OBSERVATION DES PRATIQUES PEDAGOGIQUES DES PROGRAMMES PEC/JPAL RAPPORTEUR Mme KOUABO NADO Anne Marie Fabienne Chef de Service, chargée des analyses sur les discriminations, les inégalités d’accès, de qualité et performance en Education 1

2 STRATEGIES D’EVALUATION PEC/PRATHAM
Contrôles continus individualisés Evaluation annuelle à grande échelle à travers l’outil ASER (Annual Status of Education Report)

3 estimations fiables de la scolarisation des
Enquête annuelle qui vise à fournir des estimations fiables de la scolarisation des enfants et des niveaux d'apprentissage de base pour chaque district et Etat de l'Inde

4 Ce processus génère un total de 600 ménages
par district, soit environ ménages pour l'ensemble du pays. Environ d’enfants de 3 à 16 ans résidant dans ces ménages sont interrogés.

5 RESULTATS Amélioration des niveaux de base en lecture et en calcul de plus de d’élèves du primaire grâce aux camps d’apprentissage à travers le pays  Amélioration des résultats de enseignants dans plus de écoles de 14 Etats grâce au partenariat avec le gouvernement

6 Retour à l’école de 4300 cas d’abandon scolaire 
80% de réussite des élèves aux examens scolaires  Formation de jeunes à l’hôtellerie, la construction, la couture, à l’automobile, au métier de l’esthétique, à la santé dans le cadre de l’entreprenariat 

7 En les programmes de Pratham ont atteint environ 5.7 enfants et jeunes à travers l’Inde

8 LES LEÇONS APPRISES Des similitudes existent entre certaines pratiques pédagogiques mises en œuvre en Inde et celles utilisées en Côte d’Ivoire Les pratiques pédagogiques sont simples et sont basées sur un matériel facilement accessible 

9 Il n’y a pas de pression de temps imposée par l’emploi du temps
Les rencontres parents d’élèves et enseignants sont régulières (une fois par mois)  Il n’existe pas de manuels scolaires car les contenus des leçons sont transformés en activités que l’élève mène avec l’enseignant à travers le jeu

10 Il y a une culture très élevée du volontariat
L’Etat central élabore les grandes lignes du Programme d’enseignement Chaque Etat a la liberté de réajuster ce programme en fonction de certaines réalités qui lui sont propres comme la géographie, la culture…

11 Une école primaire comporte trois classes
L’Etat forme chaque année 400 000 enseignants du primaire et n’embauche que 8 000 à partir de certains critères  Les autres sont utilisés par le Privé Les tenues sont offertes gratuitement aux élèves par l’Etat 

12 Il existe un Programme pour les handicapés dans les centres et les spécialistes vont même donner les cours à domicile Il existe un système de suivi de la présence effective des enseignants dans les classes Les enseignants dans les écoles confessionnelles sont pris en charge par l’Etat 

13 La distance maximum entre le village et
l’école primaire est de 3 km. Au secondaire elle est de 5 km Au-delà, l’Etat donne des subventions pour le déplacement de l’élève Deux systèmes permettent de sécuriser les tablettes (Géolocalisation et Blocage à distance)

14 CONCLUSION La mission d’études en Inde a été très enrichissante dans l’ensemble. La délégation ivoirienne s’est imprégnée pendant 10 jours de l’expérience indienne en matière de gestion de la Pédagogie différenciée.

15 REMERCIEMENTS À Madame la Ministre de l’Education Nationale, de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle À TRECC qui ont permis que cette mission ait lieu, car l’expérience des autres pays pourra à moyen ou à long terme apporter une plus-value.

16 Je vous remercie pour votre
aimable attention