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Publié parStéphanie Audet Modifié depuis plus de 6 années
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PANCREATITE AIGÜE Dr JAQUET Assistant en chirurgie viscérale
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PLAN INTRODUCTION DEFINITIONS PHYSIOPATHOLOGIE EXAMEN CLINIQUE BILAN BIOLOGIQUE IMAGERIE PRONOSTIC COMPLICATIONS ETIOLOGIES PRISE EN CHARGE
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INTRODUCTION Pancréatite = Atteinte de la glande pancréatique œdémateuse ou nécrotique ou des organes voisins (autodigestion) Incidence : 22 / Amélioration de la PEC ces dernières années (mortalité 5% Vs 12% il y a 20 ans)
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INTRODUCTION Pancréatite = Atteinte de la glande pancréatique œdémateuse ou nécrotique ou des organes voisins (autodigestion) Incidence : 22 / Amélioration de la PEC ces dernières années (mortalité 5% Vs 12% il y a 20 ans) Pancréatite aigüe grave : 20% des PA Complications locorégionales, générales, défaillance multiviscérale
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INTRODUCTION Pancréatite = Atteinte de la glande pancréatique œdémateuse ou nécrotique ou des organes voisins (autodigestion) Incidence : 22 / Amélioration de la PEC ces dernières années (mortalité 5% Vs 12% il y a 20 ans) Pancréatite aigüe grave : 20% des PA Complications locorégionales, générales, défaillance multiviscérale 2 causes principales : lithiase (40%) et alcool (35%) Pancréatite non A non B (20%) Pancréatites idiopathiques : 5%
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DEFINITIONS Pancréatite aigüe (PA) = inflammation aigüe pancréatique pouvant atteindre organes voisins - Lésions d’inflammation avec œdème cystostéatonécrose avec hémorragie Disparition de l’architecture glandulaire
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DEFINITIONS Pancréatite aigüe (PA) = inflammation aigüe pancréatique pouvant atteindre organes voisins - Lésions d’inflammation avec œdème cystostéatonécrose avec hémorragie Disparition de l’architecture glandulaire - Clinique : Douleur abdominale épigastrique + signes généraux - Biologie : Lipasémie > 3N
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DEFINITIONS Pancréatite aigüe (PA) = inflammation aigüe pancréatique pouvant atteindre organes voisins - Lésions d’inflammation avec œdème cystostéatonécrose avec hémorragie Disparition de l’architecture glandulaire - Clinique : Douleur abdominale épigastrique + signes généraux - Biologie : Lipasémie > 3N PA grave = 20% des PA, 30 % de mortalité Apparition d’une défaillance viscérale ou multiviscérale Ou complication locale (nécrose infectée, pseudokystes, abcès)
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DEFINITIONS Pancréatite aigüe (PA) = inflammation aigüe pancréatique pouvant atteindre organes voisins - Lésions d’inflammation avec œdème cystostéatonécrose avec hémorragie Disparition de l’architecture glandulaire - Clinique : Douleur abdominale épigastrique + signes généraux - Biologie : Lipasémie > 3N PA grave = 20% des PA, 30 % de mortalité Apparition d’une défaillance viscérale ou multiviscérale Ou complication locale (nécrose infectée, pseudokystes, abcès) PA bénigne = 80% des PA Absence de défaillance multiviscérale ou de complication locale Surveillance en unité traditionnelle
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PHYSIOPATHOLOGIE Etat normal : enzymes pancréatiques sous forme de proenzymes (prozymogènes) Activation duodénale par entérokinase transformant le trypsinogène en trypsine qui active les proenzymes en cascade (phénomène autoentretenu)
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PHYSIOPATHOLOGIE Etat normal : enzymes pancréatiques sous forme de proenzymes (prozymogènes) Activation duodénale par entérokinase transformant le trypsinogène en trypsine qui active les proenzymes en cascade (phénomène autoentretenu) PA : activation prématurée des proenzymes au sein du pancréas au sein de la cellule acineuse
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PHYSIOPATHOLOGIE Etat normal : enzymes pancréatiques sous forme de proenzymes (prozymogènes) Activation duodénale par entérokinase transformant le trypsinogène en trypsine qui active les proenzymes en cascade (phénomène autoentretenu) PA : activation prématurée des proenzymes au sein du pancréas au sein de la cellule acineuse Activation intracellulaire des prozymogènes en zymogènes (enzymes actives)
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PHYSIOPATHOLOGIE Etat normal : enzymes pancréatiques sous forme de proenzymes (prozymogènes) Activation duodénale par entérokinase transformant le trypsinogène en trypsine qui active les proenzymes en cascade (phénomène autoentretenu) PA : activation prématurée des proenzymes au sein du pancréas au sein de la cellule acineuse Activation intracellulaire des prozymogènes en zymogènes (enzymes actives) Facultés lipolytiques, protéolytiques, amylolytiques
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PHYSIOPATHOLOGIE Etat normal : enzymes pancréatiques sous forme de proenzymes (prozymogènes) Activation duodénale par entérokinase transformant le trypsinogène en trypsine qui active les proenzymes en cascade (phénomène autoentretenu) PA : activation prématurée des proenzymes au sein du pancréas au sein de la cellule acineuse Activation intracellulaire des prozymogènes en zymogènes (enzymes actives) Facultés lipolytiques, protéolytiques, amylolytiques Autoactivation en cascade autodigestion parenchymateuse
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PHYSIOPATHOLOGIE Etat normal : enzymes pancréatiques sous forme de proenzymes (prozymogènes) Activation duodénale par entérokinase transformant le trypsinogène en trypsine qui active les proenzymes en cascade (phénomène autoentretenu) PA : activation prématurée des proenzymes au sein du pancréas au sein de la cellule acineuse Activation intracellulaire des prozymogènes en zymogènes (enzymes actives) Facultés lipolytiques, protéolytiques, amylolytiques Autoactivation en cascade autodigestion parenchymateuse Cystostéatonécrose avec les enzymes lipolytiques/apoptose/Hémorragie (élastase)
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PHYSIOPATHOLOGIE Etat normal : enzymes pancréatiques sous forme de proenzymes (prozymogènes) Activation duodénale par entérokinase transformant le trypsinogène en trypsine qui active les proenzymes en cascade (phénomène autoentretenu) PA : activation prématurée des proenzymes au sein du pancréas au sein de la cellule acineuse Activation intracellulaire des prozymogènes en zymogènes (enzymes actives) Facultés lipolytiques, protéolytiques, amylolytiques Autoactivation en cascade autodigestion parenchymateuse Cystostéatonécrose avec les enzymes lipolytiques/apoptose/Hémorragie (élastase) Mort cellulaire libération cytokines, chémokines, molécules d’adhésion, radicaux L
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PHYSIOPATHOLOGIE Etat normal : enzymes pancréatiques sous forme de proenzymes (prozymogènes) Activation duodénale par entérokinase transformant le trypsinogène en trypsine qui active les proenzymes en cascade (phénomène autoentretenu) PA : activation prématurée des proenzymes au sein du pancréas au sein de la cellule acineuse Activation intracellulaire des prozymogènes en zymogènes (enzymes actives) Facultés lipolytiques, protéolytiques, amylolytiques Autoactivation en cascade autodigestion parenchymateuse Cystostéatonécrose avec les enzymes lipolytiques/apoptose/Hémorragie (élastase) Mort cellulaire libération cytokines, chémokines, molécules d’adhésion, radicaux L Complications locales et générales Choc
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EXAMEN CLINIQUE Douleur abdominale (95%)
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EXAMEN CLINIQUE Douleur abdominale (95%)
Epigastrique à irradiation postérieure, transfixiante Intensité croissante (max en quelques heures) Position antalgique en chien de fusil Vomissements (iléus réflex)
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EXAMEN CLINIQUE Douleur abdominale (95%)
Epigastrique à irradiation postérieure, transfixiante Intensité croissante (max en quelques heures) Position antalgique en chien de fusil Vomissements (iléus réflex) Signes généraux : - fièvre (75%) liée à l’inflammation ou une infection secondaire - hypoTA, déshydratation extracellulaire, syndrome confusionnel - choc hémodynamique avec dyspnée (défaillance multiviscérale) - manifestations cutanées : ecchymoses des flancs ou périombilicales
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BILAN BIOLOGIQUE Lipasémie : - pose le diagnostic - Supérieure à 3N
- Pas de corrélation à la gravité
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BILAN BIOLOGIQUE Lipasémie : - pose le diagnostic - Supérieure à 3N
- Pas de corrélation à la gravité CRP : - Evaluation de la gravité - A faire à l’admission et à la 48ième heure - Si > 150 mg/L => Sévérité - Réascension durant une diminution : rechercher une complication infectieuse
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BILAN BIOLOGIQUE Lipasémie : - pose le diagnostic - Supérieure à 3N
- Pas de corrélation à la gravité CRP : - Evaluation de la gravité - A faire à l’admission et à la 48ième heure - Si > 150 mg/L => Sévérité - Réascension durant une diminution : rechercher une complication infectieuse Autres : - NFS-plaquettes, ionogramme, urée, créatinine - glycémie, calcémie, triglycéridémie, LDH, enzymes hépatiques - gazométrie
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ASP ET RADIO DE THORAX ASP :
recherche d’un pneumopéritoine (diagnostic différentiel avec ulcère perforé)
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ASP ET RADIO DE THORAX ASP :
recherche d’un pneumopéritoine (diagnostic différentiel avec ulcère perforé) Radio de thorax : épanchement pleural uni ou bilatéral Syndrome alvéolaire (OAP)
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ECHOGRAPHIE ABDOMINALE
Indispensable au diagnostic étiologique
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ECHOGRAPHIE ABDOMINALE
Indispensable au diagnostic étiologique Recherche d’une lithiase vésiculaire
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ECHOGRAPHIE ABDOMINALE
Indispensable au diagnostic étiologique Recherche d’une lithiase vésiculaire Recherche d’une dilatation des VBI et EH Recherche d’un obstacle au bas de la VBP
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ECHOGRAPHIE ABDOMINALE
Indispensable au diagnostic étiologique Recherche d’une lithiase vésiculaire Recherche d’une dilatation des VBI et EH Recherche d’un obstacle au bas de la VBP Inconvénient : Interposition d’anses grêles liées à l’iléus réflex
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TDM ABDOMINALE Entre la 48ième et la 72ième heure (rentabilité maximale)
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TDM ABDOMINALE Entre la 48ième et la 72ième heure (rentabilité maximale) Injection iodée pour apprécier étendue de la nécrose
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TDM ABDOMINALE Entre la 48ième et la 72ième heure (rentabilité maximale) Injection iodée pour apprécier étendue de la nécrose Score de Balthazar : Evaluation du pronostic de la PA
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TDM ABDOMINALE Entre la 48ième et la 72ième heure (rentabilité maximale) Injection iodée pour apprécier étendue de la nécrose Score de Balthazar : Evaluation du pronostic de la PA Evaluation de l’étendue des lésions et de leur nature (œdème/nécrose/collections) Lésions vasculaires ou viscérales Recherche de calcifications pancréatiques ou de calculs biliaires
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TDM ABDOMINALE Entre la 48ième et la 72ième heure (rentabilité maximale) Injection iodée pour apprécier étendue de la nécrose Score de Balthazar : Evaluation du pronostic de la PA Evaluation de l’étendue des lésions et de leur nature (œdème/nécrose/collections) Lésions vasculaires ou viscérales Recherche de calcifications pancréatiques ou de calculs biliaires TDM de contrôle tous les jours si initialement présence de multiples coulées de nécrose, épanchement des séreuses ou une surinfection de coulée de nécrose
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EVALUATION DU PRONOSTIC
Conférence de consensus de 2001 a défini des indicateurs (scores et marqueurs)
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EVALUATION DU PRONOSTIC
Conférence de consensus de 2001 a défini des indicateurs (scores et marqueurs) Objectif : définir un groupe de patients à risque de complications Permettre surveillance accrue
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EVALUATION DU PRONOSTIC
Conférence de consensus de 2001 a défini des indicateurs (scores et marqueurs) Objectif : définir un groupe de patients à risque de complications Permettre surveillance accrue Terrain : Age > 80 ans, Obésité, insuffisance viscérale préexistante (respiratoire/ IR)
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EVALUATION DU PRONOSTIC
Conférence de consensus de 2001 a défini des indicateurs (scores et marqueurs) Objectif : définir un groupe de patients à risque de complications Permettre surveillance accrue Terrain : Age > 80 ans, Obésité, insuffisance viscérale préexistante (respiratoire/ IR) Recherche d’une défaillance d’organes à l’admission sur différents critères :
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EVALUATION DU PRONOSTIC
Conférence de consensus de 2001 a défini des indicateurs (scores et marqueurs) Objectif : définir un groupe de patients à risque de complications Permettre surveillance accrue Terrain : Age > 80 ans, Obésité, insuffisance viscérale préexistante (respiratoire/ IR) Recherche d’une défaillance d’organes à l’admission sur différents critères : - Hémodynamique (FC/ PAS< 90 mmHg malgré remplissage)
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EVALUATION DU PRONOSTIC
Conférence de consensus de 2001 a défini des indicateurs (scores et marqueurs) Objectif : définir un groupe de patients à risque de complications Permettre surveillance accrue Terrain : Age > 80 ans, Obésité, insuffisance viscérale préexistante (respiratoire/ IR) Recherche d’une défaillance d’organes à l’admission sur différents critères : - Hémodynamique (FC/ PAS< 90 mmHg malgré remplissage) - Respiratoires (FR/ PaO2 sous O2 < 60 mmHg/chute de la SpO2)
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EVALUATION DU PRONOSTIC
Conférence de consensus de 2001 a défini des indicateurs (scores et marqueurs) Objectif : définir un groupe de patients à risque de complications Permettre surveillance accrue Terrain : Age > 80 ans, Obésité, insuffisance viscérale préexistante (respiratoire/ IR) Recherche d’une défaillance d’organes à l’admission sur différents critères : - Hémodynamique (FC/ PAS< 90 mmHg malgré remplissage) - Respiratoires (FR/ PaO2 sous O2 < 60 mmHg/chute de la SpO2) - Neurologiques (agitation/ confusion/ somnolence/ GCS< 13)
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EVALUATION DU PRONOSTIC
Conférence de consensus de 2001 a défini des indicateurs (scores et marqueurs) Objectif : définir un groupe de patients à risque de complications Permettre surveillance accrue Terrain : Age > 80 ans, Obésité, insuffisance viscérale préexistante (respiratoire/ IR) Recherche d’une défaillance d’organes à l’admission sur différents critères : - Hémodynamique (FC/ PAS< 90 mmHg malgré remplissage) - Respiratoires (FR/ PaO2 sous O2 < 60 mmHg/chute de la SpO2) - Neurologiques (agitation/ confusion/ somnolence/ GCS< 13) - Rénaux (diurèse/ Créatininémie > 170 mmHg)
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EVALUATION DU PRONOSTIC
Conférence de consensus de 2001 a défini des indicateurs (scores et marqueurs) Objectif : définir un groupe de patients à risque de complications Permettre surveillance accrue Terrain : Age > 80 ans, Obésité, insuffisance viscérale préexistante (respiratoire/ IR) Recherche d’une défaillance d’organes à l’admission sur différents critères : - Hémodynamique (FC/ PAS< 90 mmHg malgré remplissage) - Respiratoires (FR/ PaO2 sous O2 < 60 mmHg/chute de la SpO2) - Neurologiques (agitation/ confusion/ somnolence/ GCS< 13) - Rénaux (diurèse/ Créatininémie > 170 mmHg) - Hématologiques (plaquettes < /mm3)
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EVALUATION DU PRONOSTIC
Conférence de consensus de 2001 a défini des indicateurs (scores et marqueurs) Objectif : définir un groupe de patients à risque de complications Permettre surveillance accrue Terrain : Age > 80 ans, Obésité, insuffisance viscérale préexistante (respiratoire/ IR) Recherche d’une défaillance d’organes à l’admission sur différents critères : - Hémodynamique (FC/ PAS< 90 mmHg malgré remplissage) - Respiratoires (FR/ PaO2 sous O2 < 60 mmHg/chute de la SpO2) - Neurologiques (agitation/ confusion/ somnolence/ GCS< 13) - Rénaux (diurèse/ Créatininémie > 170 mmHg) - Hématologiques (plaquettes < /mm3) Critères regroupés sous forme de scores clinicobiologiques (RANSON et IMRIE)
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SCORE DE RANSON
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SCORE D’IMRIE
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EVALUATION DU PRONOSTIC
CRP > 150 mg/l est un facteur indépendant de complications - Si élévation au cours du suivi : rechercher une aggravation locale - Cinétique importante à évaluer
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EVALUATION DU PRONOSTIC
CRP > 150 mg/l est un facteur indépendant de complications - Si élévation au cours du suivi : rechercher une aggravation locale - Cinétique importante à évaluer Score de Balthazar (évaluation scannograpique) - Bonne corrélation avec morbimortalité - Evalué au mieux 72 heures après début des douleurs - Définition de la nécrose : absence de rehaussement de la densité pancréatique (50 UH) après injection d’iode - Autres éléments pronostiques : ascite, épanchement pleural, complications induites par coulées de nécrose (infection, fistule, pseudoanévrysme, thrombose veineuse)
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SCORE DE BALTHAZAR
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SCORE DE BALTHAZAR
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COMPLICATIONS GENERALES
Défaillance multiviscérale et Syndrome de détresse respiratoire aigüe : - Systèmes vasculaire, rénal, pulmonaire, neurologique, hématologique - SDRA = détresse respiratoire aigüe + PaO2/FiO2 < 200 mmHg + opacités alvéolaires pulmonaires bilatérales sans augmentation de la pression des cavités cardiaques gauches Peut apparaître précocement ou suite à une complication
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COMPLICATIONS GENERALES
Défaillance multiviscérale et Syndrome de détresse respiratoire aigüe : - Systèmes vasculaire, rénal, pulmonaire, neurologique, hématologique - SDRA = détresse respiratoire aigüe + PaO2/FiO2 < 200 mmHg + opacités alvéolaires pulmonaires bilatérales sans augmentation de la pression des cavités cardiaques gauches Peut apparaître précocement ou suite à une complication Insuffisance rénale aigüe : - Augmentation > 50% de la créatininémie par rapport à sa valeur de base - Ou réduction de la clairance calculée de plus de 50% - Fonctionnelle (hypovolémie liée à un 3ième secteur)
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COMPLICATIONS GENERALES
Défaillance multiviscérale et Syndrome de détresse respiratoire aigüe : - Systèmes vasculaire, rénal, pulmonaire, neurologique, hématologique - SDRA = détresse respiratoire aigüe + PaO2/FiO2 < 200 mmHg + opacités alvéolaires pulmonaires bilatérales sans augmentation de la pression des cavités cardiaques gauches Peut apparaître précocement ou suite à une complication Insuffisance rénale aigüe : - Augmentation > 50% de la créatininémie par rapport à sa valeur de base - Ou réduction de la clairance calculée de plus de 50% - Fonctionnelle (hypovolémie liée à un 3ième secteur) - Organique (néphropathie tubulo-interstitielle aigüe liée à la PA ou à l’iode
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COMPLICATIONS LOCOREGIONALES
Septiques : - 35% des PA graves - Taux de mortalité variant de 20 à 80% - Clinique : syndrome fébrile - Augmentation de la CRP et de la PCT - Prélèvements mycologiques sanguins et urinaires
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COMPLICATIONS LOCOREGIONALES
Septiques : - 35% des PA graves - Taux de mortalité variant de 20 à 80% - Clinique : syndrome fébrile - Augmentation de la CRP et de la PCT - Prélèvements mycologiques sanguins et urinaires - Suspecter infection de nécrose pancréatique si absence de point d’appel :
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COMPLICATIONS LOCOREGIONALES
Septiques : - 35% des PA graves - Taux de mortalité variant de 20 à 80% - Clinique : syndrome fébrile - Augmentation de la CRP et de la PCT - Prélèvements mycologiques sanguins et urinaires - Suspecter infection de nécrose pancréatique si absence de point d’appel : Survient 2ième/3ième semaine d’évolution Taux de mortalité entre 20 et 30% Diagnostic difficile (pas de signes spécifiques) Bulle d’air à la TDM = signe indirect Prélèvement de nécrose par voie transcutanée sous TDM
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INFECTION DE COULEES DE NECROSE
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COMPLICATIONS LOCOREGIONALES
Pseudokyste : - 5 à 15%
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COMPLICATIONS LOCOREGIONALES
Pseudokyste : - 5 à 15% - 4ième semaine - Découverte fortuite ou suite à symptômes
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COMPLICATIONS LOCOREGIONALES
Pseudokyste : - 5 à 15% - 4ième semaine - Découverte fortuite ou suite à symptômes - Symptomatologie corrélée à la taille ou localisation
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COMPLICATIONS LOCOREGIONALES
Pseudokyste : - 5 à 15% - 4ième semaine - Découverte fortuite ou suite à symptômes - Symptomatologie corrélée à la taille ou localisation douleur épigastrique vomissements si compression digestive ictère par compression de la VBP hémorragie par rupture de varices cardio-œsophagienne (HTP segmentaire) hémorragie intrakystique (majoration de la douleur épigastrique) infection : douleurs + hyperthermie rupture du PK
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COMPLICATIONS LOCOREGIONALES
Pseudokyste : - 5 à 15% - 4ième semaine - Découverte fortuite ou suite à symptômes - Symptomatologie corrélée à la taille ou localisation douleur épigastrique vomissements si compression digestive ictère par compression de la VBP hémorragie par rupture de varices cardio-œsophagienne (HTP segmentaire) hémorragie intrakystique (majoration de la douleur épigastrique) infection : douleurs + hyperthermie rupture du PK Examen clé = Scanner +/- ponction régression en 6-8 semaines dans 50% des cas
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COMPLICATIONS LOCOREGIONALES
Vasculaires et hémorragies :
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COMPLICATIONS LOCOREGIONALES
Vasculaires et hémorragies : - corrélées à la gravité de la PA
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COMPLICATIONS LOCOREGIONALES
Vasculaires et hémorragies : - corrélées à la gravité de la PA - thrombose artérielle ou veineuse, hémorragie extériorisée, pseudoanévrysme
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COMPLICATIONS LOCOREGIONALES
Vasculaires et hémorragies : - corrélées à la gravité de la PA - thrombose artérielle ou veineuse, hémorragie extériorisée, pseudoanévrysme - si thrombose au dépens de l’AMS infarctus mésentérique -si au dépens de l’AMI colite ischémique
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COMPLICATIONS LOCOREGIONALES
Vasculaires et hémorragies : - corrélées à la gravité de la PA - thrombose artérielle ou veineuse, hémorragie extériorisée, pseudoanévrysme - si thrombose au dépens de l’AMS infarctus mésentérique -si au dépens de l’AMI colite ischémique - thromboses veineuses + fréquentes (porte, VM, VS) : asymptomatique
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COMPLICATIONS LOCOREGIONALES
Vasculaires et hémorragies : - corrélées à la gravité de la PA - thrombose artérielle ou veineuse, hémorragie extériorisée, pseudoanévrysme - si thrombose au dépens de l’AMS infarctus mésentérique -si au dépens de l’AMI colite ischémique - thromboses veineuses + fréquentes (porte, VM, VS) : asymptomatique - hémorragie digestive extériorisée liée à un ulcère, une infiltration inflammatoire de la paroi digestive, rupture d’un faux anévrisme
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COMPLICATIONS LOCOREGIONALES
Vasculaires et hémorragies : - corrélées à la gravité de la PA - thrombose artérielle ou veineuse, hémorragie extériorisée, pseudoanévrysme - si thrombose au dépens de l’AMS infarctus mésentérique -si au dépens de l’AMI colite ischémique - thromboses veineuses + fréquentes (porte, VM, VS) : asymptomatique - hémorragie digestive extériorisée liée à un ulcère, une infiltration inflammatoire de la paroi digestive, rupture d’un faux anévrisme TDM voire endoscopie
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THROMBOSE DE L’AMI
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PSEUDOANEVRISME AS
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EPANCHEMENT DES SEREUSES
Pleurésie : 4 à 17% des cas Secondaire à réaction inflammatoire pleurale
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EPANCHEMENT DES SEREUSES
Pleurésie : 4 à 17% des cas Secondaire à réaction inflammatoire pleurale Ou fistule pancréaticopleurale (0,4%) Suspicion si persistance d’un épanchement pleural avec amylase et lipase élevées dans un exsudat stérile
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EPANCHEMENT DES SEREUSES
Pleurésie : 4 à 17% des cas Secondaire à réaction inflammatoire pleurale Ou fistule pancréaticopleurale (0,4%) Suspicion si persistance d’un épanchement pleural avec amylase et lipase élevées dans un exsudat stérile Ascite = épanchement intrapéritonéal riche en amylase et lipase Secondaire à rupture intrapéritonéale d’un PK Ou fistule pancréaticopéritonéale
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EPANCHEMENT DES SEREUSES
Pleurésie : 4 à 17% des cas Secondaire à réaction inflammatoire pleurale Ou fistule pancréaticopleurale (0,4%) Suspicion si persistance d’un épanchement pleural avec amylase et lipase élevées dans un exsudat stérile Ascite = épanchement intrapéritonéal riche en amylase et lipase Secondaire à rupture intrapéritonéale d’un PK Ou fistule pancréaticopéritonéale Péricardite rare mais grave si tamponnade Liée à la diffusion des enzymes pancréatiques dans circulation générale Ou fistule pancréaticopéricardique
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COMPRESSION DES STRUCTURES DE VOISINAGE
PK/Œdème important/Coulées nécrotiques
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COMPRESSION DES STRUCTURES DE VOISINAGE
PK/Œdème important/Coulées nécrotiques Symptômes :
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COMPRESSION DES STRUCTURES DE VOISINAGE
PK/Œdème important/Coulées nécrotiques Symptômes : - ictère (peut être en lien avec lithiase de la VBP) - occlusion haute - occlusion basse - colique néphrétique ou douleur lombaire persistante
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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
Pancréatite aigüe biliaire
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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
Pancréatite aigüe biliaire Cause la plus fréquente (40%)
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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
Pancréatite aigüe biliaire Cause la plus fréquente (40%) Calcul vésiculaire migration dans VB impaction au niveau de la JBP reflux biliopancréatique hypertension intracanalaire pancréatique activation enzymatique intrapancréatique
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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
Pancréatite aigüe biliaire Cause la plus fréquente (40%) Calcul vésiculaire migration dans VB impaction au niveau de la JBP reflux biliopancréatique hypertension intracanalaire pancréatique activation enzymatique intrapancréatique Age > 50 ans/ femme/ antécédents de douleurs en HCD
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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
Pancréatite aigüe biliaire Cause la plus fréquente (40%) Calcul vésiculaire migration dans VB impaction au niveau de la JBP reflux biliopancréatique hypertension intracanalaire pancréatique activation enzymatique intrapancréatique Age > 50 ans/ femme/ antécédents de douleurs en HCD ALAT>2N/ PAL >2,5N
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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
Pancréatite aigüe biliaire Cause la plus fréquente (40%) Calcul vésiculaire migration dans VB impaction au niveau de la JBP reflux biliopancréatique hypertension intracanalaire pancréatique activation enzymatique intrapancréatique Age > 50 ans/ femme/ antécédents de douleurs en HCD ALAT>2N/ PAL >2,5N Echo : calcul vésiculaire ou dilatation
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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
Pancréatite aigüe biliaire Cause la plus fréquente (40%) Calcul vésiculaire migration dans VB impaction au niveau de la JBP reflux biliopancréatique hypertension intracanalaire pancréatique activation enzymatique intrapancréatique Age > 50 ans/ femme/ antécédents de douleurs en HCD ALAT>2N/ PAL >2,5N Echo : calcul vésiculaire ou dilatation TDM :calculs vésiculaires ou cholédocien, dilatation
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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
Pancréatite aigüe biliaire Cause la plus fréquente (40%) Calcul vésiculaire migration dans VB impaction au niveau de la JBP reflux biliopancréatique hypertension intracanalaire pancréatique activation enzymatique intrapancréatique Age > 50 ans/ femme/ antécédents de douleurs en HCD ALAT>2N/ PAL >2,5N Echo : calcul vésiculaire ou dilatation TDM :calculs vésiculaires ou cholédocien, dilatation A distance : échoendoscopie permet de rechercher des microlithiases
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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
Pancréatite aigüe alcoolique 2ième cause (30%)
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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
Pancréatite aigüe alcoolique 2ième cause (30%) Pancréatotoxicité dose-dépendante Consommation chronique prolongée
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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
Pancréatite aigüe alcoolique 2ième cause (30%) Pancréatotoxicité dose-dépendante Consommation chronique prolongée Alcool augmentation protéasique du suc pancréatique augmentation viscosité du suc bouchons protéiques endocanalaires calcification obstruction (calculs pancréatiques)
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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
Pancréatite aigüe alcoolique 2ième cause (30%) Pancréatotoxicité dose-dépendante Consommation chronique prolongée Alcool augmentation protéasique du suc pancréatique augmentation viscosité du suc bouchons protéiques endocanalaires calcification obstruction (calculs pancréatiques) PAA représente une des manifestations de la PCC
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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
Pancréatite aigüe alcoolique 2ième cause (30%) Pancréatotoxicité dose-dépendante Consommation chronique prolongée Alcool augmentation protéasique du suc pancréatique augmentation viscosité du suc bouchons protéiques endocanalaires calcification obstruction (calculs pancréatiques) PAA représente une des manifestations de la PCC Calcifications sur examens radiologiques Echoendoscopie et CPRM à distance : anomalies canalaires et parenchymateuses
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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
Obstruction des voies excrétrices pancréatiques 8 à 20% des causes de PA Tableau initial de pancréatite « a priori » idiopathique
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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
Obstruction des voies excrétrices pancréatiques 8 à 20% des causes de PA Tableau initial de pancréatite « a priori » idiopathique -TIPMP : prolifération de l’épithélium canalaire + production de mucus canal pancréatique principal canaux pancréatiques secondaires mixte manifestation sous PA dans 40% des cas Diagnostic au TDM ou échoendoscopie + CPRM Potentiel dégénératif pour formes mixtes ou du CP
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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
Obstruction des voies excrétrices pancréatiques 8 à 20% des causes de PA Tableau initial de pancréatite « a priori » idiopathique -TIPMP : prolifération de l’épithélium canalaire + production de mucus canal pancréatique principal canaux pancréatiques secondaires mixte manifestation sous PA dans 40% des cas Diagnostic au TDM ou échoendoscopie + CPRM Potentiel dégénératif pour formes mixtes ou du CP - ADK pancréatique 3 à 9% des cas sous forme de PA qui précède de quelques semaines le diagnostic
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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
Obstruction des voies excrétrices pancréatiques 8 à 20% des causes de PA Tableau initial de pancréatite « a priori » idiopathique -TIPMP : prolifération de l’épithélium canalaire + production de mucus canal pancréatique principal canaux pancréatiques secondaires mixte manifestation sous PA dans 40% des cas Diagnostic au TDM ou échoendoscopie + CPRM Potentiel dégénératif pour formes mixtes ou du CP - ADK pancréatique 3 à 9% des cas sous forme de PA qui précède de quelques semaines le diagnostic - Pancréas divisum malformation pancréatique la plus fréquente : 10 à 15% défaut de fusion embryonnaire des canaux pancréatiques dorsal et ventral
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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
PA métaboliques : Hypertriglycéridémie (3%) - Survient sur pancréas sain - Ecart de régime ou arrêt d’un médicament hypolipémiant - Hypertriglycéridémie chronique non contrôlée (patient diabétique ou alcoolique) - Certains cas décrits au cours de la grossesse - Hypertriglycéridémie majeure : > 11 mmol/L - Prévention de récidive par normalisation de l’hypertriglycéridémie
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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
PA métaboliques : Hypertriglycéridémie (3%) - Survient sur pancréas sain - Ecart de régime ou arrêt d’un médicament hypolipémiant - Hypertriglycéridémie chronique non contrôlée (patient diabétique ou alcoolique) - Certains cas décrits au cours de la grossesse - Hypertriglycéridémie majeure : > 11 mmol/L - Prévention de récidive par normalisation de l’hypertriglycéridémie Hypercalcémie (1%) - Hyperparathyroïdie - responsable de pancréatite chronique -hypercalcémie, hypophosphorémie, PTH
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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
PA infectieuses : Nombreux virus - Mécanisme inconnu - Virus ourlien, VHA, CMV, entérovirus, coxsackie B, échovirus, adénovirus
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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
PA infectieuses : Nombreux virus - Mécanisme inconnu - Virus ourlien, VHA, CMV, entérovirus, coxsackie B, échovirus, adénovirus Parasites Helminthiases (ascaris) Mécanisme obstructif
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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
PA infectieuses : Nombreux virus - Mécanisme inconnu - Virus ourlien, VHA, CMV, entérovirus, coxsackie B, échovirus, adénovirus Parasites Helminthiases (ascaris) Mécanisme obstructif Bactéries Mycoplasme pneumoniae, campylobacter jejuni, legionella, leptospira
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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
PA iatrogènes : Postopératoires : - Après chirurgie sus-mésocolique (chirurgie biliaire, Cholécystectomie TH, TR) - Mécanismes multiples (traumatiques, hypoxiques, hypothermie, IS)
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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
PA iatrogènes : Postopératoires : - Après chirurgie sus-mésocolique (chirurgie biliaire, Cholécystectomie TH, TR) - Mécanismes multiples (traumatiques, hypoxiques, hypothermie, IS) Post-CPRE - Syndrome douloureux abdominal + élévation lipasémie > 3 à 5 N - Parfois grave suite à geste diagnostique ou thérapeutique
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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
PA iatrogènes : Postopératoires : - Après chirurgie sus-mésocolique (chirurgie biliaire, Cholécystectomie TH, TR) - Mécanismes multiples (traumatiques, hypoxiques, hypothermie, IS) Post-CPRE - Syndrome douloureux abdominal + élévation lipasémie > 3 à 5 N - Parfois grave suite à geste diagnostique ou thérapeutique Médicamenteuses - bénignes (1% des PA) - diagnostic évoqué en dehors des causes classiques après introduction ou augmentation de dose d’un médicament - résolutive après arrêt du médicament - déclaration à la pharmacovigilance
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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
PA autoimmunes : Association aux MICI Poussées de PA, aspect pseudotumoral du pancréas sans poussée, douleurs pancréatiques sans poussée, insuffisance pancréatique exocrine
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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
PA autoimmunes : Association aux MICI Poussées de PA, aspect pseudotumoral du pancréas sans poussée, douleurs pancréatiques sans poussée, insuffisance pancréatique exocrine Critères diagnostiques HISORt : - histologie - aspect évocateur à l’imagerie :inflammation diffuse du pancréas, sténoses étagées du canal de wirsung sans dilatation, élévation sérique du taux d’IgG4 - réponse au traitement par corticoïdes
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PRISE EN CHARGE THERAPEUTIQUE
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QUELLE QUE SOIT LA GRAVITE
Hospitalisation chirurgie digestive ou gastroentérologie Service de réanimation et de radiologie à proximité
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QUELLE QUE SOIT LA GRAVITE
Hospitalisation chirurgie digestive ou gastroentérologie Service de réanimation et de radiologie à proximité Réévaluation clinique plusieurs fois par jour
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QUELLE QUE SOIT LA GRAVITE
Hospitalisation chirurgie digestive ou gastroentérologie Service de réanimation et de radiologie à proximité Réévaluation clinique plusieurs fois par jour Mise au repos du tube digestif, rééquilibration hydroélectrolytique, ttt de la douleur
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QUELLE QUE SOIT LA GRAVITE
Hospitalisation chirurgie digestive ou gastroentérologie Service de réanimation et de radiologie à proximité Réévaluation clinique plusieurs fois par jour Mise au repos du tube digestif, rééquilibration hydroélectrolytique, ttt de la douleur Déshydratation extracellulaire majeure nécessité de réhydratation (3L/j)
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QUELLE QUE SOIT LA GRAVITE
Hospitalisation chirurgie digestive ou gastroentérologie Service de réanimation et de radiologie à proximité Réévaluation clinique plusieurs fois par jour Mise au repos du tube digestif, rééquilibration hydroélectrolytique, ttt de la douleur Déshydratation extracellulaire majeure nécessité de réhydratation (3L/j) VVP de bon calibre voire VVC
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QUELLE QUE SOIT LA GRAVITE
Hospitalisation chirurgie digestive ou gastroentérologie Service de réanimation et de radiologie à proximité Réévaluation clinique plusieurs fois par jour Mise au repos du tube digestif, rééquilibration hydroélectrolytique, ttt de la douleur Déshydratation extracellulaire majeure nécessité de réhydratation (3L/j) VVP de bon calibre voire VVC Antalgiques +++ (morphiniques)
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QUELLE QUE SOIT LA GRAVITE
Hospitalisation chirurgie digestive ou gastroentérologie Service de réanimation et de radiologie à proximité Réévaluation clinique plusieurs fois par jour Mise au repos du tube digestif, rééquilibration hydroélectrolytique, ttt de la douleur Déshydratation extracellulaire majeure nécessité de réhydratation (3L/j) VVP de bon calibre voire VVC Antalgiques +++ (morphiniques) SNG si vomissements incoercibles
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QUELLE QUE SOIT LA GRAVITE
Hospitalisation chirurgie digestive ou gastroentérologie Service de réanimation et de radiologie à proximité Réévaluation clinique plusieurs fois par jour Mise au repos du tube digestif, rééquilibration hydroélectrolytique, ttt de la douleur Déshydratation extracellulaire majeure nécessité de réhydratation (3L/j) VVP de bon calibre voire VVC Antalgiques +++ (morphiniques) SNG si vomissements incoercibles Anticoagulation préventive
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QUELLE QUE SOIT LA GRAVITE
Surveillance clinique biquotidienne : Examen abdominal Constantes hémodynamiques et respiratoires Température Diurèse
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QUELLE QUE SOIT LA GRAVITE
Surveillance clinique biquotidienne : Examen abdominal Constantes hémodynamiques et respiratoires Température Diurèse Surveillance biologique quotidienne : NFS CRP plaquettes, ionogramme, urée, créatinine, enzymes hépatiques, lipasémie
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QUELLE QUE SOIT LA GRAVITE
Surveillance clinique biquotidienne : Examen abdominal Constantes hémodynamiques et respiratoires Température Diurèse Surveillance biologique quotidienne : NFS CRP plaquettes, ionogramme, urée, créatinine, enzymes hépatiques, lipasémie Critères de réalimentation orale : Absence de douleurs depuis 48 heures sans antalgiques Reprise du transit Normalisation de la lipasémie
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QUELLE QUE SOIT LA GRAVITE
Surveillance clinique biquotidienne : Examen abdominal Constantes hémodynamiques et respiratoires Température Diurèse Surveillance biologique quotidienne : NFS CRP plaquettes, ionogramme, urée, créatinine, enzymes hépatiques, lipasémie Critères de réalimentation orale : Absence de douleurs depuis 48 heures sans antalgiques Reprise du transit Normalisation de la lipasémie - Nutrition artificielle > 7 jours après PA (voie entérale ++)
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PRISE EN CHARGE D’UNE PA GRAVE
Défaillance multiviscérale et insuffisance rénale aigüe : Collaboration réanimateurs et néphrologues Défaillance respiratoire : VNI voire Intubation Insuffisance rénale : réhydratation voire épuration extrarénale Recherche d’une cause de la défaillance (infection ou extension de nécrose)
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PRISE EN CHARGE D’UNE PA GRAVE
Défaillance multiviscérale et insuffisance rénale aigüe : Collaboration réanimateurs et néphrologues Défaillance respiratoire : VNI voire Intubation Insuffisance rénale : réhydratation voire épuration extrarénale Recherche d’une cause de la défaillance (infection ou extension de nécrose) Traitement de l’infection : Prélèvements multisites + nécrose Preuve de l’infection de nécrose : drainage (radiologique, endoscopique, chirurgicale) Antibiothérapie systémique adaptée aux germes
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PRISE EN CHARGE D’UNE PA GRAVE
Défaillance multiviscérale et insuffisance rénale aigüe : Collaboration réanimateurs et néphrologues Défaillance respiratoire : VNI voire Intubation Insuffisance rénale : réhydratation voire épuration extrarénale Recherche d’une cause de la défaillance (infection ou extension de nécrose) Traitement de l’infection : Prélèvements multisites + nécrose Preuve de l’infection de nécrose : drainage (radiologique, endoscopique, chirurgicale) Antibiothérapie systémique adaptée aux germes Traitement des pseudokystes : Drainage si (complication, > 6 cm, développement extrapancréatique Attente 6 semaines (régression) Radiologique ou endoscopique. Chirurgie si échec
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PRISE EN CHARGE D’UNE PA GRAVE
Traitement de l’ictère et sa cause : Si persistance : endoscopie avec endoprothèse (compression contexte PCC) Passage d’un cap initial réduction de la douleur, suppression de l’ictère) Si ictère sur compression par PK TTT du PK
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PRISE EN CHARGE D’UNE PA GRAVE
Traitement de l’ictère et sa cause : Si persistance : endoscopie avec endoprothèse (compression contexte PCC) Passage d’un cap initial réduction de la douleur, suppression de l’ictère) Si ictère sur compression par PK TTT du PK Prise en charge des complications vasculaires : Pseudoanévrismes risque de rupture Radioembolisation. Si échec chirurgie Thromboses veineuses AC (minimum 3 mois)
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PRISE EN CHARGE D’UNE PA GRAVE
Traitement de l’ictère et sa cause : Si persistance : endoscopie avec endoprothèse (compression contexte PCC) Passage d’un cap initial réduction de la douleur, suppression de l’ictère) Si ictère sur compression par PK TTT du PK Prise en charge des complications vasculaires : Pseudoanévrismes risque de rupture Radioembolisation. Si échec chirurgie Thromboses veineuses AC (minimum 3 mois) Prise en charge des épanchements : Evacuation de l’épanchement PEC médicale Nutrition parentérale Analogues de la somatostatine
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TRAITEMENT ETIOLOGIQUE
PA biliaire : sphinctérotomie en urgence . PA biliaires sévères . Controversée pour les PA bénignes cholécystectomie . Evite la récidive (1/3 dans les mois suivants le 1ier épisode) . Peut être faite dans la même hospitalisation . Si PA grave : décaler le geste
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TRAITEMENT ETIOLOGIQUE
PA biliaire : sphinctérotomie en urgence . PA biliaires sévères . Controversée pour les PA bénignes cholécystectomie . Evite la récidive (1/3 dans les mois suivants le 1ier épisode) . Peut être faite dans la même hospitalisation . Si PA grave : décaler le geste PA alcoolique : Sevrage absolu Arrêt des poussées aigües et des douleurs sous-jacentes de Pancréatite chronique
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PRISE EN CHARGE NUTRITIONNELLE
PA graves
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PRISE EN CHARGE NUTRITIONNELLE
PA graves Le plus rapidement possible
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PRISE EN CHARGE NUTRITIONNELLE
PA graves Le plus rapidement possible Détermination des apports caloriques nécessaires au patient
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PRISE EN CHARGE NUTRITIONNELLE
PA graves Le plus rapidement possible Détermination des apports caloriques nécessaires au patient Privilégier voie entérale en l’absence d’iléus réflexe
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PRISE EN CHARGE NUTRITIONNELLE
PA graves Le plus rapidement possible Détermination des apports caloriques nécessaires au patient Privilégier voie entérale en l’absence d’iléus réflexe SNJ ++
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PRISE EN CHARGE NUTRITIONNELLE
PA graves Le plus rapidement possible Détermination des apports caloriques nécessaires au patient Privilégier voie entérale en l’absence d’iléus réflexe SNJ ++ Oligoéléments et vitamines
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MERCI DE VOTRE ECOUTE
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