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Publié parOdette Lussier Modifié depuis plus de 6 années
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La connaissance des processus d’apprentissage
Un pré-requis pour agir avec les élèves
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Qu’est-ce qu’un élève ? Pourquoi et comment un « enfant » devient-il un « élève » ? Les malentendus scolaires Le triangle didactique Régine Sirota + Perrenoud : on attend implicitement des choses des enfants, qu’on ne leur apprend pas. Intéressant de voir ce que les E répondent à la question « qu’est-ce qu’être un bon élève ? » A poser aux stagiaires. 30% des élèves ne comprennent pas ce qu’on leur demande (2010) au primaire On ne peut pas évaluer ce qu’on apprend pas
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Les processus d’apprentissage
Ne pas séparer cognitif et affectif 3 facettes d’apprentissage L’importance du groupe La question « épineuse » de la motivation Apprentissage et prise de risque Etre « en train d’apprendre » 2. réflexif, interactif, affectif – cf. Britt-Mari Barth et les connaissances dynamiques et flexibles + Daniel FAVRE + Maslow 3. Astolfi : c’est à plusieurs qu’on apprend tout seul 5. d’où l’importance de la bienveillance
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Les obstacles L’estime de soi L’entrée dans la tâche
L’état émotionnel de l’élève La référence externe L’insécurité de l’apprentissage 1. On parlera du rôle de l’erreur, qui doit être isolé de la notion de « faute ». L’erreur n’est pas une faute, c’est une information 3. Confiance dans l’enseignant, l’état émotionnel intervient en permanence sur notre perception de l’environnement. Nous traitons toujours une réalité objective. Apprendre, c’est être capable de jouer sur les filtres cognitifs. 4. SM1 et SM2 + SM3. Attention à l’addiction à l’approbation de l’adulte. On doit arriver à SM2 > SM1 : le cerveau récompense l’apprentissage, inutile de trouver autre chose. 5. Passer de je ne sais pas que je ne sais à je sais que je ne sais pas = très anxiogène
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