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REVISIONS SOINS INFIRMIERS

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Présentation au sujet: "REVISIONS SOINS INFIRMIERS"— Transcription de la présentation:

1 REVISIONS SOINS INFIRMIERS
UE 2.5 /PROCESSUS INFLAMMATOIRE ET INFECTIEUX JOCO .A

2 Mme B, âgée de 58 ans est arrivée ce jour en service de réanimation, dans un tableau de choc septique. Le médecin a prescrit à 7h30, l’antibiothérapie suivante : ROCEPHINE® (ceftriaxone) flacon de poudre dosée à 2 g, solution à reconstituer dans un premier temps dans 40 ml d’EPPI : perfusion de 2 g dans 100 ml de sérum glucosé à passer en 1 fois, en 30 minutes. FLAGYL® (métronidazole) flacon de 100ml dosée à 500 mg : 3 fois par jour à passer en 45 min AMIKLIN® (amikacine) flacon de poudre dosée à 1 g à reconstituer avec 5 ml d’EPPI, puis à passer dans 100 ml de G5% en 1 heure. Pour chaque antibiotique, calculer le débit et planifier la pose de chacun d’entre eux. Indications : Le traitement débute à 8h. La perfusion de Rocéphine® est incompatible avec l’Amiklin®, mais est compatible avec le Flagyl®. La planification doit être faite sur 24 h.

3 Calcul des débits Rocéphine® : 140 ml à passer en 30 min. 140 X 20 ÷ 0.5 X 60 = 2800 ÷ 30 = gttes/min. Soit 93 gttes/min par défaut Flagyl® : 100 ml à passer en 45 min 100 X 20 ÷ 45 = 2000 ÷ 45 = gttes/min soit 44 gttes/min par défaut Amiklin® : 105 ml à passer en 1 heure 105 X 20 ÷ 60 = 35 gttes/min

4 ATB 8h 9h 16h 0h ROCEPHINE® X FLAGYL® AMIKLIN®

5 Un patient est hospitalisé en réanimation pour une suspicion de pneumonie bactérienne. Il a une température à 36,1°C, la fréquence cardiaque est à 112 pulsations/minute et la fréquence respiratoire est à 25/minute. L’examen clinique montre des marbrures cutanées et des troubles de la vigilance. Le diagnostic retenu est celui de : pneumonie bactérienne non compliquée pneumonie bactérienne compliquée d’un sepsis septicémie pneumonie bactérienne compliquée d’un choc septique pneumonie bactérienne compliquée choc cardiogénique

6 Réponse : B

7 Définissez les termes suivants :
Infection colonisation bactériémie fongémie.

8 Infection : Résultat de l’agression d’un organisme par une bactérie, un virus, un parasite, un champignon Colonisation : présence de microorganismes vivants (bactéries, champignons) sur la peau, les muqueuses, une plaie ; révélée par un prélèvement microbiologique (frottis, biopsie). Bactériémie : Présence de bactéries viables dans le sang Fongémie : Présence de champignons viables dans le sang

9 Vous êtes étudiant(e) en soins infirmiers de 2ème année, en stage dans un service de médecine générale et vous encadrez un élève AS. Vous lui demandez de vous nommer les différentes méthodes de mesure de la température et de classer leur fiabilité par ordre décroissant. Qu’attendez comme réponses ?

10 Rectale Cutanée Buccale tympanique

11 Méthodes de mesure de la température
Rectale Fiable Risque d’ulcération rectale  pas à l’hôpital Cutanée Creux axillaire Au moins 10 minutes Ajouter 0,5°C pour équivalence avec température rectale Buccale ou orale Thermomètre électronique Sonde adaptée et protégée Auriculaire ou tympanique Sonde tympanique

12 Vous accueillez dans le service infectieux où vous êtes en stage, un patient atteint d’une infection pulmonaire. Le médecin suspecte une tuberculose et prescrit une mise en précautions complémentaire « air » Décrivez les actions infirmières mises en place pour l’application de cette prescription dans l’unité de soins. DEF/Maladies infectieuse du poumon et de la plèvre due au Bacille de Koch maladie à déclaration obligatoire co-infection avec le VIH et migrants primo- infection et la maladie. Primo infection:

13 Installer le patient dans une chambre individuelle.
L’informer de la mise en place des précautions complémentaires « air » et lui expliquer que la porte doit rester fermée, que ses déplacements seront limités jusqu’à la levée de la prescription médicale. L’informer également que la chambre sera aérée plusieurs fois par jour. Informer les professionnels et les visiteurs.

14 Matériel individualisé, jetable si possible
3. Signaler par un pictogramme à l’entrée de la chambre du patient de la mise en précautions complémentaires type « air ». Installer une unité mobile de protection (UMP) sur laquelle sera placée : une solution hydro alcoolique, une boite de masques de protection type FFP2 et sac à DASRI 4.Port de masque type FFP2 pour toute personne entrant dans la chambre. (FFP2= Filtering Facepiece Particules ; efficacité à 92% soit 8% de fuites totales maximales) Limitation des déplacements du patient Port d’un masque chirurgical par le patient lors des sorties Hygiène des mains par friction avec une solution hydro alcoolique en entrant et en sortant de la chambre Application des précautions standards Respect du tri des déchets Matériel individualisé, jetable si possible

15 5. S’assurer que la prescription de mise en précaution complémentaire « air » est notée par le médecin dans le dossier patient ainsi que sa levée. Noter le début de sa mise en application Le signaler aux partenaires et services annexes lors d’un transfert ou un déplacement

16 Quelles sont les signes cliniques d’une méningite (4 signes sont attendus)
n°4 : (4 points)

17 Fièvre Céphalées violentes et diffuses Photophobie Raideur de la nuque (signe de Kernig) Rachialgie Vomissement

18 Vous prenez en charge une patiente présentant les signes suivants : pollakiurie, brûlures mictionnelles, urines troubles, température à 37,8°C. L’interne prescrit une antibiothérapie par voie intraveineuse, un bilan sanguin et un examen cytobactériologique des urines. Dans quel ordre effectuer ces actes. Argumenter. Quels conseils hygiéno-diététiques donner à cette femme pour éviter une récidive ?

19 Un diagnostic de tuberculose pulmonaire, avec examen direct du produit d’expectoration positif, vient d’être posé chez un homme de 32 ans. Les mesures suivantes doivent être mises en place : précautions respiratoires type « air» déclaration du cas aux autorités sanitaires proposition de dépistage des hépatites B et C Enquête autour du cas Traitement par multi thérapie antituberculeuse

20 Réponses : A, B, D, E

21 Citer les modes de transmissions des hépatites suivantes :
Hépatite A  Hépatite B  Hépatite C 

22 Hépatite A : transmission oro fécale, (manuportée)
Hépatite B : sanguine, sexuelle, materno foetale (orale si forme aigue) Hépatite C : sanguine

23 Citez la surveillance et la conduite à tenir devant un nourrisson présentant une diarrhée aigue

24 Précaution contact Isolement géographique Pesée et Surveillance du poids Noter les selles : fréquences- aspects- consistances Noter les vomissements éventuels Comportement de l’enfant Surveillance Température et hydratation Noter heures des prises orales de solutions de réhydratation et les quantités bues Changes fréquents, soins du siège

25 Expliquez le mécanisme d’action de la vaccination

26 Introduction par injection, par scarification ou par voie orale, d’une substance antigénique préparée à partir d’agents pathogènes ou ses toxines qui, ainsi inoculée dans un organisme vivant, permet aux lymphocytes B de fabriquer des anticorps spécifiques à cet antigène et ainsi de s’immuniser contre les maladies infectieuses concernées

27 La patiente présente une hyperthermie depuis plusieurs jours, se plaint d’une asthénie, présente des frissons. Au regard des signes le médecin suspecte une septicémie. Le médecin prescrit les examens suivants : NFS- CRP - Hémoculture - ECBU - Radio de thorax face et profil droit et gauche

28 a) Définissez et expliquez l’intérêt de chacun de ces examens dans le cas de Madame G.
b) Enoncez la valeur normale des leucocytes.

29 NFS : numération formule plaquettes , examen sanguin permettant de quantifier les 3 lignées sanguines et permet de reconnaître le nombre et le type de leucocytes augmentés lors d’une infection. CRP : examen sanguin qui mesure la protéine C réactive, marqueur de l’inflammation. L’augmentation de la CRP permet d’identifier un processus inflammatoire. L’hémoculture : examen sanguin permettant de mettre en évidence des agents pathogènes présents dans le sang par mise en culture : identification suivi d’un antibiogramme (bactéries ou champignons) afin de cibler un traitement ECBU : examen cytobactériologique des urines permettant d’identifier la présence et la nature du germe identification suivi d’un antibiogramme afin de cibler un traitement Radio de thorax = examen radiologique non invasif permettant de mettre en évidence un foyer infectieux respiratoire (Les voies urinaires et respiratoires étant des voies de contamination prévalentes : l’ECBU et la radio thoracique sont des examens permettant d’identifier la porte d’entrée du germe responsable de ce syndrome infectieux)

30 Définissez la septicémie
b) Citez les signes cliniques de cette complication du syndrome infectieux.

31 Septicémie = État infectieux grave généralisé, qui est la conséquence du passage dans la circulation sanguine de décharges massives et répétées de germes à partir d’un point de départ bactérien.

32 b) Les signes cliniques sont :
o Forte fièvre, avec des poussées au moment où les germes sont libérés dans le sang o Frissons. o Asthénie o Malaise, baisse de la vigilance o Tachycardie

33 Quels sont les différents types de vaccins

34 Vaccins inactivés ---viraux ( poliomyélite, la grippe, l’hépatite A) ---Bactérienne (coqueluche): ils contiennent des corps bactériens ou des particules virales inactivés par des procédés physiques ou chimique Les vaccins vivants atténués --viraux ( rougeole , rubéoles ,oreillons, varicelle, fièvre jaune) --Bactériens (BCG) Ils induisent une infection asymptomatique ou à peine apparente permettant une immunité proche de celle qui succède à une infection naturelle Vaccins constitués de fragments antigéniques purifiés ( méningocoques, pneumocoques ),leur efficacité est moins grande et de plus courte durée nécessitant une primovaccination et comportant plusieurs doses et des rappels régulier

35 Qu’est ce qu'une infection nosocomiale?

36 C’est une infection déclarée chez un patient hospitalisé alors qu’elle n’était ni présente , ni en incubation à l’admission,

37 Qu’est ce qu’une infection communautaire ?

38 Une infection communautaire est une infection survenant en dehors d'un établissement de santé, par opposition à une infection nosocomiale. Ce type d'infection est le plus fréquent. Les germes en cause peuvent être des virus, des bactéries, des champignons ou des parasites


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