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Publié parHippolyte Rochette Modifié depuis plus de 5 années
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Le module suivant décrit les enfants canadiens âgés de 0 à 5 ans, notamment qui sont leurs parents, où ils vivent, les enjeux socioéconomiques auxquels ils sont confrontés, les structures familiales dont ils font partie, les défis et le soutien en milieu communautaire, les services de santé auxquels ils peuvent accéder, ainsi que les conséquences de l’environnement pour leur santé et leur développement.
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Nous avons tous un rôle important à jouer dans la création du milieu le plus favorable possible au développement et à la croissance des enfants. Ce que VOUS faites compte, et l’établissement de partenariats avec des tiers aura une ÉNORME incidence grâce à l’échange de ressources, de compétences et d’idées. Pour vous aider à commencer votre aventure de partenariat, nous avons créé l’Outil de partenariat pour la petite enfance. Cet outil propose des idées, des recommandations et des renseignements adaptés aux enjeux qui vous tiennent à cœur. Vous n’avez qu’à répondre aux quatre petites questions suivantes pour voir de quelle manière vous pourriez améliorer vos partenariats et vous attaquer aux enjeux qui touchent les jeunes enfants et leur famille dans votre communauté!
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En 2013, 380 323 bébés sont nés au Canada.
En résumé En 2013, bébés sont nés au Canada. Le plus grand nombre de naissances vivantes ont eu lieu en Ontario ( ), soit 36,7 % de toutes les naissances vivantes au Canada. Le nombre global des naissances vivantes a augmenté de 1 % entre 2010 et 1Statistique Canada, Statistique de l’état civil du Canada, Base de données sur les naissances, Tableau , Naissances vivantes, selon l’âge de la mère, Canada, provinces et territoires, annuel. – consulté le 15 mars 2017. Source : Graphique de l’ICSI créé à l’aide des données tirées de Statistique Canada, Statistique de l’état civil du Canada, Base de données sur les naissances, Tableau Naissances vivantes, selon l’âge de la mère, Canada, provinces et territoires, annuel. -consulté le 15 mars 2017.
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En résumé Entre 2003 et 2013, on a observé une hausse du pourcentage des naissances vivantes chez les mères de 30 à 34 ans et de 35 à 39 ans. Si le pourcentage de naissances vivantes chez les mères âgées de 20 à 24 ans et de 25 à 29 ans a diminué, le pourcentage de naissances vivantes chez les mères âgées de 15 à 19 ans a également diminué. Signification Cette tendance à la hausse de l’âge maternel a des répercussions considérables sur les familles et les collectivités. En effet, elle augmente la probabilité que de nombreux adultes prennent soin de leurs enfants et de leurs propres parents au cours des mêmes années. En outre, l’arrivée plus tardive des enfants et l’infertilité sont source de préoccupations. Le taux d’infertilité au Canada, selon la définition qu’on y donne, varie d’environ 12 % à 16 %1. 1Bushnik, T., J.L. Cook, A.A. Yuzpe, S. Tough et J. Collins, (2012). « Estimating the prevalence of infertility in Canada », Human Reproduction, vol. 27, p – consulté le 15 juillet 2017. Source : Graphique de l’ICSI créé à l’aide des données tirées de Statistique Canada, Statistique de l’état civil du Canada, Base de données sur les naissances, Tableau , Naissances vivantes, selon l’âge de la mère, Canada, provinces et territoires, annuel. – consulté le 15 mars 2017.
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En résumé L’âge moyen* de la mère à l’accouchement augmente.
En 2013, les mères ayant donné naissance au Canada avaient presque 30 ans (29,9) en moyenne. Il s’agit d’une hausse par rapport à 29,1 ans en 2003 et à 27,7 ans en *Pour calculer l’âge moyen de la mère, pour le Canada, une province ou un territoire, on additionne les âges des mères au moment de leur dernier anniversaire précédant l’accouchement et on divise la somme par le nombre total de naissances vivantes dans la province ou le territoire concerné. Pour estimer l’âge moyen en milieu d’année, une statistique souvent utilisée dans les analyses, on ajoute 0,5 à l’âge moyen dans ce tableau. 11Statistique Canada, Tableau , Âge moyen de la mère à l’accouchement (naissances vivantes), Canada, provinces et territoires, annuel (années). consulté le 15 mars 2017. Signification Pour la plupart des Canadiens, la période la plus intense de l’éducation des enfants – l’éducation de jeunes enfants – a lieu lorsqu’ils sont dans la trentaine. Ainsi, beaucoup plus d’enfants sont susceptibles de vivre dans des familles où au moins un parent a un emploi plus stable et des revenus relativement plus élevés que les enfants de parents plus jeunes. Source: Graphique de l’ICSI créé à l’aide des données tirées de Statistique Canada, Tableau , Âge moyen de la mère à l’accouchement (naissances vivantes), Canada, provinces et territoires, annuel (années). consulté le 15 mars 2017.
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En résumé En 2013, le taux brut de natalité (ou le nombre de naissances vivantes pour habitants) était de 10,8. Le taux brut de natalité a augmenté entre 2006 et 2009, mais s’est mis à chuter de nouveau par la suite de sorte que le taux brut de natalité de 2013 est semblable à celui de 2006. Source : Graphique de l’ICSI créé à l’aide des données tirées de Statistique Canada, Tableau – Taux brut de natalité, taux de fécondité par groupe d’âge et indice synthétique de fécondité (naissances vivantes), Canada, provinces et territoires, annuel (taux). consulté le 15 mars 2017.
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En résumé En 2013, les taux bruts de natalité variaient considérablement entre les provinces et les territoires. Les taux bruts de natalité à Terre-Neuve-et-Labrador et en Nouvelle-Écosse sont d’environ 20 % inférieurs au taux national, soit 8,6 et 8,9, tandis que celui au Nunavut est de plus du double à 25,8. Source : Graphique de l’ICSI créé à l’aide des données tirées de Statistique Canada, Tableau – Taux brut de natalité, taux de fécondité par groupe d’âge et indice synthétique de fécondité (naissances vivantes), Canada, provinces et territoires, annuel (taux). consulté le 17 mars 2017.
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En résumé Le pourcentage de pères* au Canada qui ont des enfants de 0 à 4 ans a diminué entre 1995 et 2006. En 1995, 39 % des pères avaient un enfant de moins de 5 ans – en baisse à 33 % en 2006. *Sont considérés comme pères, les hommes de 18 à 65 ans qui, au moment de l’enquête, vivaient avec un enfant âgé de 18 ans ou moins ou déclaraient avoir engendré, adopté ou élevé un enfant qui n’avait pas plus de 18 ans Source : Tableau de l’ICSI créé à l’aide des données tirées de Beaupré P, H. Dryburgh et M. Wendt. Les pères pris en « compte ». Tendances sociales canadiennes X no 90 – Statistique Canada. Enquête sociale générale et 2006. consulté le 19 mars 2017.
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En résumé Le taux de fécondité par groupe d’âge* chez les femmes de 15 à 19 ans et de 20 à 24 ans a diminué de 23 % et de 21 % respectivement entre 2003 et 2013. Par ailleurs, entre 2003 et 2013, le taux de fécondité par groupe d’âge s’est accru de 14 % chez les femmes de 30 à 34 ans, de 39 % chez les femmes de 35 à 39 ans et de 65 % chez celles âgées de 40 à 44 ans. *Le taux de fécondité par âge (TFA) est le nombre de naissances vivantes pour femmes dans un intervalle d’âge donné. On s’est servi de groupes d’âge de cinq ans (allant de 15 à 19 ans à 45 à 49 ans) pour les totalisations Signification Bien que le taux de fécondité par groupe d’âge chez les adolescentes de 15 à 19 ans diminue et que les naissances chez les adolescentes ne représentent qu’un très faible pourcentage de toutes les naissances, il faut continuer à offrir des programmes sociaux et de santé pour répondre aux besoins particuliers des mères adolescentes. La tendance à la hausse de l’âge maternel a également des répercussions considérables sur les familles et les collectivités. Elle augmente la probabilité que de nombreux adultes prennent soin de leurs enfants et de leurs propres parents au cours des mêmes années. En outre, l’arrivée plus tardive des enfants et l’infertilité sont source de préoccupations. Source : Graphique de l’ICSI créé à l’aide des données tirées de Statistique Canada, Tableau – Taux brut de natalité, taux de fécondité par groupe d’âge et indice synthétique de fécondité (naissances vivantes), Canada, provinces et territoires, annuel (taux). consulté le 15 mars 2017.
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En résumé En 2013, l’indice synthétique de fécondité pour femmes était de 1 587, soit environ 1,6 bébé par femme. Cet indice varie entre (1,4 bébé par femme) à Terre-Neuve-et-Labrador et en Colombie-Britannique et plus de (3 bébés par femme) au Nunavut. Cet indice synthétique de fécondité est demeuré relativement stable depuis le milieu des années 1970, mais il représente moins de la moitié de ce qu’il était en Le taux de fécondité des femmes autochtones diminue également. Cela dit, en , leur taux de fécondité (2,2) était supérieur à la moyenne canadienne.2 *L’indice synthétique de fécondité renvoie au nombre d’enfants qu’une femme aurait au cours de sa vie reproductive si elle présentait le taux de fécondité par âge (TFA) d’une année civile donnée. Il se fonde sur la compilation des taux de fécondité de nombreuses cohortes de femmes dans une année donnée.1 1Fécondité : Aperçu, 2009 à Composante du produit no X au catalogue de Statistique Canada, Rapport sur l’état de la population du Canada, 2013. 2 DPE chez les Autochtones, figure – Source : Graphique de l’ICSI créé à l’aide des données tirées de Statistique Canada, Tableau – Taux brut de natalité, taux de fécondité par groupe d’âge et indice synthétique de fécondité (naissances vivantes), Canada, provinces et territoires, annuel (taux). consulté le 15 mars 2017.
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Définitions de l’infécondité
Définitions de l’infécondité * Couples déclarant l’absence de grossesse et de contrôle des naissances, ayant eu des rapports sexuels au cours des 12 derniers mois et ayant tenté à un certain moment de concevoir un enfant avec le partenaire actuel. ** Couples déclarant l’absence de grossesse et de contrôle des naissances et ayant eu des rapports sexuels au cours des 12 derniers mois. *** Couples déclarant l’absence de grossesse et de contrôle des naissances au cours des 12 derniers mois. En résumé Selon les trois catégories d’infécondité, le taux d’infécondité varie de 11,5 % à 15,7 % chez les couples canadiens. En , le taux d’infécondité des couples canadiens n’ayant pas utilisé de moyen de contrôle des naissances, ayant eu des rapports sexuels et ayant tenté de concevoir un enfant au cours de la dernière année était de 11,5 %. Chez les couples n’ayant eu que des rapports sexuels sans contrôle des naissances, ce taux s’établissait à 14,0 %. Chez les couples n’ayant qu’assurer un contrôle des naissances, ce taux était de 15,7 %. Signification L’infécondité peut avoir de lourdes répercussions pour les femmes et leur partenaire. Ces derniers peuvent ressentir de nombreux effets émotionnels liés à la perte – deuil, dépression, colère, frustration et perte d’estime de soi et de maîtrise de soi. Ces émotions peuvent à leur tour avoir une incidence sur leur santé mentale et leur relation. De plus, si les femmes et les familles cherchent à obtenir des traitements contre l’infertilité, ces traitements peuvent s’avérer très coûteux et exercer une pression financière, tandis que les médicaments utilisés peuvent avoir d’importants effets secondaires1. 1Harvard Mental Health Letter. The psychological impact of infertility and its treatment. Mai 2009. consulté le 16 juillet 2017. Source : Graphique de l’ICSI tiré de Statistique Canada, Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes, Bushnik, T., J.L. Cook, A.A. Yuzpe, S. Tough et J. Collins, (2012). « Estimating the prevalence of infertility in Canada », Human Reproduction, vol. 27, p le 15 juillet 2017.
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En résumé En 2016, plus de 2,3 millions (2 353 374) d’enfants de 0 à 5 ans vivaient au Canada. Plus du tiers vivait en Ontario et presque le quart vivait au Québec. Source : Graphique de l’ICSI créé à l’aide des données tirées de Statistique Canada, Tableau – Estimations de la population, selon le groupe d’âge et le sexe au 1er juillet, Canada, provinces et territoires. consulté le 19 mars 2017.
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En résumé En 2016, les enfants de moins de 6 ans représentaient 6,5 % de la population canadienne. Cette proportion variait selon la province et le territoire. Les enfants de moins de 6 ans du Nunavut représentaient 13,1 % de la population, tandis que ce chiffre était de 8,1 % en Saskatchewan, 7,8 % en Alberta et 7,7 % au Manitoba. En revanche, les enfants de moins de 6 ans ne représentaient que 5,2 % de la population totale de Terre-Neuve-et-Labrador. Source : Graphique de l’ICSI créé à l’aide des données tirées de Statistique Canada, Tableau – Estimations de la population, selon le groupe d’âge et le sexe au 1er juillet, Canada, provinces et territoires, annuel (personne sauf indication contraire). consulté le 15 mars 2017.
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En résumé En 2011, près de 10 % de tous les immigrants canadiens ont indiqué avoir immigré avant l’âge de 5 ans. Dans certaines provinces, cette proportion était beaucoup plus élevée, surtout dans le Canada atlantique. À Terre-Neuve-et-Labrador, 18 % de tous les immigrants étaient des enfants de moins de 5 ans au moment d’immigrer, tandis que cette proportion était de 16 % à l’Île-du-Prince-Édouard et au Nouveau-Brunswick et de 15 % en Nouvelle-Écosse Remarque : Taux global de non-réponse de 26,1 %. Pour de plus amples renseignements, allez à l’adresse : consulté le 19 mars 2017 Source : Graphique de l’ICSI créé à l’aide des données tirées de Statistique Canada, Enquête nationale auprès des ménages de 2011, produit no X au catalogue de Statistique Canada. consulté le 19 mars 2017.
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En résumé En 2011, 35 % de tous les enfants canadiens de moins de 5 ans étaient nés dans un autre pays. En Ontario et en Colombie-Britannique, près de la moitié (48,7 % et 48,9 % respectivement) de tous les enfants de moins de 5 ans étaient des immigrants. Signification Une grande proportion des jeunes enfants canadiens sont des immigrants – d’origines ethniques diverses. Cette diversité ajoute de la richesse à notre société canadienne. Toutefois, ces enfants et ces familles peuvent également faire face à des problèmes de discrimination pouvant avoir une lourde incidence sur leur éducation et leurs loisirs, ainsi que dans d’autres domaines de la vie quotidienne. Source : Graphique de l’ICSI créé à l’aide des données tirées de Statistique Canada, Enquête nationale auprès des ménages de 2011, produit no X au catalogue de Statistique Canada. consulté le 19 mars 2017.
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En résumé La plupart des Canadiens – 81 % – vivent en région urbaine (2011), ce qui représente une hausse marquée par rapport aux 150 dernières années. Cette proportion est demeurée stable au cours des vingt dernières années. Remarques : Le terme « centre de population » remplace le terme « région urbaine ». La population rurale de 1981 à 2011 correspond aux personnes demeurant à l’extérieur des centres comptant habitants ET à l’extérieur des régions comptant 400 personnes ou plus au kilomètre carré. Avant 1981, la définition était légèrement différente, mais elle correspondait tout de même à la population à l’extérieur des centres comptant habitants. Source : Graphique de l’ICSI créé à l’aide des données tirées de Statistique Canada, Recensement de la population de consulté le 18 juillet 2017.
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En résumé En 2011, la proportion de Canadiens vivant en milieu urbain plutôt qu’en région rurale variait d’une province et d’un territoire à l’autre. En Ontario, seulement 14 % de la population vivaient dans les communautés rurales. À l’Île-du-Prince-Édouard, 53 % des habitants vivaient dans les communautés rurales, tout comme 52 % de la population du Nunavut et 48 % de la population du Nouveau-Brunswick. Signification La vie en milieu urbain plutôt qu’en milieu rural offre des expériences et des avantages différents pour les jeunes enfants. Ainsi, en région rurale, les enfants peuvent avoir plus facilement accès à des espaces verts, ce qui, comme nous le savons, est avantageux pour leur santé et leur développement. En revanche, les enfants peuvent avoir plus facilement accès aux programmes de garde d’enfants et aux services de santé en milieu urbain. Source : Graphique de l’ICSI créé à l’aide des données tirées de Statistique Canada, Recensement de la population de consulté le 18 juillet 2017.
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En résumé En 2011, familles au Canada comptaient des enfants âgés de 0 à 4 ans, soit 18,5 % de toutes les familles canadiennes. Cette proportion varie selon la province et le territoire, où plus de 26 % des familles du Nunavut et 22 % des familles de la Saskatchewan, de l’Alberta et des Territoires du Nord-Ouest ayant des enfants de moins de cinq ans. Source : Graphique de l’ICSI créé à l’aide des données tirées de Statistique Canada, Enquête nationale auprès des ménages de 2011, produit no XCB au catalogue de Statistique Canada. consulté le 19 mars 2017.
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En résumé Selon l’Enquête nationale auprès des ménages de 2011, plus de 60 % des familles canadiennes avec enfants de moins de 5 ans étaient des familles de couples mariés. Les couples en union libre représentaient 22 % de ces familles, alors que 15 % étaient des familles monoparentales, dont la majorité était dirigée par une femme. Ces proportions variaient selon les provinces et les territoires. Au Québec, près de la moitié (48 %) de toutes les familles avec de jeunes enfants étaient des familles de couples en union libre. Ce pourcentage était d’environ 12 % en Ontario1. La proportion de familles monoparentales ayant de jeunes enfants variait de 12,5 % au Québec à environ 24 % à Terre-Neuve-et-Labrador et en Nouvelle-Écosse et à 25 % au Nunavut1. 1Statistique Canada, Enquête nationale auprès des ménages de 2011, produit no XCB au catalogue de Statistique Canada, consulté le 19 mars 2017. Signification La plupart des enfants canadiens de moins de 5 ans vivent avec leurs deux parents, mais 15 % d’entre eux – soit plus de – vivent dans une famille monoparentale. Les parents seuls font face aux mêmes défis que les autres parents, mais ils disposent souvent de moins de ressources humaines et financières pour relever ces défis. Ainsi, ils peuvent avoir plus de difficultés à concilier leur horaire de travail et celui de la garde d’enfants. Ils sont plus susceptibles d’être isolés et moins susceptibles de trouver du temps pour eux-mêmes. Toutes ces réalités que vivent les familles monoparentales peuvent être modifiées par les politiques et les programmes qui offrent des services de garde d’enfants abordables et accessibles, les politiques en milieu de travail qui soutiennent le rôle parental et les politiques qui favorisent la sécurité d’emploi assortie d’un revenu adéquat. Source : Graphique de l’ICSI créé à l’aide des données tirées de Statistique Canada, Enquête nationale auprès des ménages de 2011, produit no XCB au catalogue de Statistique Canada. consulté le 19 mars 2017.
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En résumé En 2011, il y avait familles recomposées au Canada. Elles représentaient 12,6 % de toutes les familles comptant un couple ayant des enfants de 24 ans et moins. Au Québec, 16,1 % de toutes les familles comptant un couple étaient des familles recomposées, comme c’était le cas pour 15,8 % des familles comptant un couple au Yukon et 15,3 % dans les Territoires du Nord-Ouest. En Ontario, les familles recomposées ne comptent que pour 11 % de toutes les familles comptant un couple. Les familles recomposées – ou reconstituées – prennent aujourd’hui de nombreuses formes au Canada. Il y avait familles recomposées « simples » au Canada en 2011, soit 59 % de toutes les familles recomposées. En 2011, il y avait familles recomposées « complexes » au Canada, soit 41 % de toutes les familles recomposées. Remarques : Famille intacte – tous les enfants sont les enfants biologiques ou adoptés des deux conjoints mariés ou des deux partenaires en union libre. Famille recomposée simple – famille comptant un couple dont tous les enfants sont les enfants biologiques ou adoptés d’un seul conjoint marié ou d’un seul partenaire en union libre et dont la naissance ou l’adoption est survenue avant la relation actuelle. Famille recomposée complexe – peut être : une famille comptant un couple où au moins un enfant est issu des deux parents et au moins un enfant est issu d’un seul parent; une famille comptant un couple où il y a au moins un enfant de chaque parent, ou une famille comptant un couple où au moins un enfant est issu des deux parents et au moins un enfant est issu de chaque parent. Source: Source : Graphique de l’ICSI créé à l’aide des données tirées de Statistique Canada, Familles et ménages – Faits saillants en tableaux, Recensement de Produit no XWF au catalogue de Statistique Canada. consulté le 19 mars 2017.
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En résumé IEn 2011, enfants vivaient en famille d’accueil au Canada. Près de la moitié d’entre eux se trouvaient en Ontario et au Québec, soit 24 % dans chacune des deux provinces. Un autre 15 % vivaient en Colombie-Britannique et 12 %, en Alberta Source : Graphique de l’ICSI créé à l’aide des données tirées de Statistique Canada, 2012, Familles et ménages – Faits saillants en tableaux, Recensement de Produit no XWF au catalogue de Statistique Canada. consulté le 19 mars 2017.
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En résumé Sur les enfants vivant en famille d’accueil en 2011, près de 18 % avaient moins de 5 ans. Source : Graphique de l’ICSI créé à l’aide des données tirées de Statistique Canada, 2012, Familles et ménages – Faits saillants en tableaux, Recensement de Produit no XWF au catalogue de Statistique Canada. consulté le 19 mars 2017.
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En résumé Près du quart de tous les enfants vivant en famille d’accueil en Saskatchewan, en Alberta et au Nunavut ont moins de cinq ans. Au Québec, seulement 11 % des enfants vivant en famille d’accueil ont moins de 5 ans. Source : Graphique de l’ICSI créé à l’aide des données tirées de Statistique Canada, 2012, Familles et ménages – Faits saillants en tableaux, Recensement de Produit no XWF au catalogue de Statistique Canada. consulté le 19 mars 2017.
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En résumé En 2011, couples avaient des enfants de moins de 25 ans au Canada. La même année, le Canada comptait couples de même sexe ayant des enfants de moins de 25 ans : étaient des couples de femmes et étaient des couples d’hommes. Source: Graphique de l’ICSI créé à l’aide des données tirées de Statistique Canada – recensement 2011. Catalogue Number XCB 19 mars 2017.
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Ailleurs et Plus d’une résidence – à utiliser avec prudence
*Ailleurs et Plus d’une résidence – à utiliser avec prudence. Remarques : Cette catégorie comprend les parents ayant deux enfants ou plus qui ne vivent pas dans la même résidence principale. Englobe les parents ayant vécu une séparation ou un divorce au cours des 20 dernières années et qui ont un ou plusieurs enfants (âgés de 18 ans ou moins au moment de la tenue de l’enquête) qui ne vivent pas tous dans la même résidence principale. Les totaux comprennent les catégories « Ne sait pas » et « Refus » qui ne figurent pas dans le tableau. Les pourcentages peuvent ne pas totaliser 100 %. En résumé En 2011, il y avait près de 1,2 million ( ) d’enfants de moins de 19 ans dont les parents étaient divorcés, séparés et qui ne vivaient pas tous dans la même résidence principale. La majorité, soit 70 % de ces enfants et adolescents, vivait principalement avec la mère. Ils étaient 15 % à vivre surtout avec leur père et 9 % partageaient également leur temps entre la résidence des deux parents. Source: Source: Graphique de l’ICSI créé à l’aide des données tirées de Statistique Canada, Enquête sociale générale, 2011. consulté le 18 juillet 2017
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En résumé Entre 1999 et 2009, il y a eu au total adoptions internationales au Canada. Le nombre d’adoptions internationales a connu un sommet de adoptions en 2003, puis a chuté à adoptions en 2006, pour ensuite remonter à nouveau. Source : Graphique de l’ICSI créé à l’aide des données tirées de Statistique Canada, produit no X du catalogue de Statistique Canada. consulté le 19 mars 2017.
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En résumé En 2001, il y a eu adoptions nationales au Canada, tandis qu’en 2008, il y a eu adoptions internationales. Les adoptions internationales ont été plus nombreuses au Québec, en Ontario et en Colombie-Britannique. C’est en Ontario et au Québec que plus de la moitié de toutes les adoptions internationales ont eu lieu (59 % pour les deux provinces combinées), tandis que 16 % ont eu lieu en Colombie-Britannique. Source : Graphique de l’ICSI créé à l’aide des données tirées de Adoption Council of Canada (communication personnelle avec le Conseil d’adoption du Canada), Développement des ressources humaines Canada, Child and Family Services Statistical Report to le 18 mars 2017) et Citoyenneté et Immigration Canada conformément au site Web du Conseil d’adoption du Canada consulté le 18 mars 2017.
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Remarque: Les chiffres étant arrondis, il est possible que la somme n’égale pas 100.
En résumé Soixante-quatre pour cent des jeunes enfants de moins de cinq ans vivent dans un ménage dont la langue première parlée est l’anglais. Près de 20 % vivent dans un foyer où le français est la langue première, tandis que plus de 12 % vivent dans un foyer où la langue la plus souvent parlée n’est ni le français ni l’anglais. Au Québec, un peu moins de 9 % des jeunes enfants vivent dans un foyer où l’anglais est la langue première. Le français est la langue première dans 77 % des foyers, et une autre langue est la langue première dans près de 10 % des foyers. En Ontario et en Colombie-Britannique, 15 % des jeunes enfants vivent dans un foyer où une langue autre que le français ou l’anglais est la langue première – c’est le cas de 57 % des enfants du Nunavut. Signification La proportion relativement importante d’enfants canadiens qui parlent une autre langue que le français ou l’anglais à la maison reflète les tendances globales de l’immigration et met en évidence la diversité croissante de la population vivant au Canada. Répondre aux besoins des enfants d’origines linguistiques diverses constitue tout un défi pour tous les réseaux de soutien, surtout pour la prestation de services de garde et de programmes éducatifs de qualité durant la petite enfance. En effet, ces programmes peuvent avoir une incidence importante sur le bon développement des jeunes enfants. Source: Source : Source : Graphique de l’ICSI créé à l’aide des données tirées de Statistique Canada – Recensement de Produit no XCB du catalogue. consulté le 19 mars 2017.
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En résumé Selon une projection de croissance moyenne, on prévoit qu’environ 2,6 millions d’enfants de moins de 6 ans vivront au Canada en 2035, une hausse par rapport aux 2,4 millions d’enfants en 2017. Selon une projection de forte croissance, le nombre de jeunes enfants passera de 2,4 millions à 3,1 millions. Selon une projection de faible croissance, le nombre de jeunes enfants passera de 2,4 millions à 2,1 millions. Remarques 2016 est l’estimation réelle dans les trois scénarios. Le scénario de croissance faible repose sur les hypothèses suivantes : un indice synthétique de fécondité (Canada) qui atteint 1,53 enfant par femme en , puis demeure constant par la suite; une espérance de vie qui atteint 85,9 ans chez les hommes et 87,1 ans chez les femmes en (Canada); des migrations interprovinciales basées sur les tendances observées entre et ; un taux national d’immigration qui atteint 0,5 % en et demeure constant par la suite; un nombre annuel de résidents non permanents (Canada) qui atteint en 2014 et demeure constant par la suite; un taux national d’émigration net de 0,16 %. Le scénario de croissance moyenne et de tendances migratoires interprovinciales de à se fonde sur les hypothèses suivantes : un indice synthétique de fécondité (Canada) qui atteint 1,67 enfant par femme en puis demeure constant par la suite; une espérance de vie qui atteint 87,5 ans chez les hommes et 89,1 ans chez les femmes en (Canada); des migrations interprovinciales basées sur les tendances observées entre et ; un taux national d’immigration qui atteint 0,75 % en et demeure constant par la suite; un nombre annuel de résidents non permanents (Canada) qui atteint en 2021 et demeure constant par la suite; un taux national d’émigration net de 0,19 %. Le scénario de forte croissance repose sur les hypothèses suivantes : un indice synthétique de fécondité (Canada) qui atteint 1,88 enfant par femme en puis demeure constant par la suite; une espérance de vie qui atteint 89,9 ans chez les hommes et 91,9 ans chez les femmes en (Canada); des migrations interprovinciales basées sur les tendances observées entre et ; un taux national d’immigration qui atteint 0,9 % en et demeure constant par la suite; un nombre annuel de résidents non permanents (Canada) qui atteint en 2031 et demeure constant par la suite; un taux national d’émigration net de 0,21 %. Source : Graphique de l’ICSI créé à l’aide des données tirées de Statistique Canada, tableau CANSIM Population projetée, selon le scénario de projection, l’âge et le sexe, au 1er juillet, Canada, provinces et territoires, annuel (personnes x 1 000). consulté le 19 mars 2017.
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En résumé Selon un scénario de croissance moyenne, on prévoit que les enfants de moins de 6 ans représenteront 6,0 % de la population en 2035, par rapport à 6,5 % en 2016. Selon un scénario de forte croissance, on prévoit que les enfants de moins de 6 ans représenteront 6,7 % de la population en 2035, par rapport à 6,5 % en 2016. Selon un scénario de faible croissance, on prévoit que les enfants de moins de 6 ans représenteront 5,5 % de la population totale en 2035, par rapport à 6,5 % en 2016. Signification Malgré l’espérance de vie croissante et le nombre croissant de Canadiens âgés, les enfants de moins de 6 ans représenteront toujours une proportion importante de la population au cours des années à venir. Par conséquent, des politiques et des programmes qui appuient leur bien-être et leur bon développement continueront d’être nécessaires. Remarques Le scénario de croissance faible repose sur les hypothèses suivantes : un indice synthétique de fécondité (Canada) qui atteint 1,53 enfant par femme en , puis demeure constant par la suite; une espérance de vie qui atteint 85,9 ans chez les hommes et 87,1 ans chez les femmes en (Canada); des migrations interprovinciales basées sur les tendances observées entre et ; un taux national d’immigration qui atteint 0,5 % en et demeure constant par la suite; un nombre annuel de résidents non permanents (Canada) qui atteint en 2014 et demeure constant par la suite; un taux national d’émigration net de 0,16 %. Le scénario de croissance moyenne et de tendances migratoires interprovinciales de à repose sur les hypothèses suivantes : un indice synthétique de fécondité (Canada) qui atteint 1,67 enfant par femme en puis demeure constant par la suite; une espérance de vie qui atteint 87,5 ans chez les hommes et 89,1 ans chez les femmes en (Canada); des migrations interprovinciales basées sur les tendances observées entre et ; un taux national d’immigration qui atteint 0,75 % en et demeure constant par la suite; un nombre annuel de résidents non permanents (Canada) qui atteint en 2021 et demeure constant par la suite; un taux national d’émigration net de 0,19 %. Le scénario de forte croissance repose sur les hypothèses suivantes : un indice synthétique de fécondité (Canada) qui atteint 1,88 enfant par femme en puis demeure constant par la suite; une espérance de vie qui atteint 89,9 ans chez les hommes et 91,9 ans chez les femmes en (Canada); des migrations interprovinciales basées sur les tendances observées entre et ; un taux national d’immigration qui atteint 0,9 % en et demeure constant par la suite; un nombre annuel de résidents non permanents (Canada) qui atteint en 2031 et demeure constant par la suite; un taux national d’émigration net de 0,21 %. Source : Graphique de l’ICSI créé à l’aide des données tirées de Statistique Canada, tableau CANSIM Population projetée, selon le scénario de projection, l’âge et le sexe, au 1er juillet, Canada, provinces et territoires, annuel (personnes x 1 000). consulté le 19 mars 2017.
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En résumé En , l’espérance de vie à la naissance était de 81,7 ans pour les femmes et de 76,3 ans pour les hommes. En , l’espérance de vie à la naissance a augmenté de 2% pour passer à 83,3 ans pour les femmes et à 78,8 ans pour les hommes. Il s’agit d’une augmentation par rapport à une espérance de vie combinée (hommes et femmes) de 71 ans en Les personnes mieux nanties au Canada ont une espérance de vie plus longue que les pauvres, et la population autochtone a une espérance de vie inférieure à celle des non-Autochtones1. 1Conference Board du Canada. Life Expectancy. Remarques : L’espérance de vie est le nombre d’années que devrait vivre en principe une personne à compter de la naissance (pour l’espérance de vie à la naissance) ou de 65 ans (pour l’espérance de vie à 65 ans) si les taux de mortalité selon l’âge et le sexe pour la période d’observation donnée (comme l’année civile) demeuraient constants au cours de sa vie. L’espérance de vie est calculée selon la méthode de production des tables de mortalité abrégées de Greville d’après les taux annuels de mortalité, ainsi que les données de population et les taux de mortalité par tranche d’âge de cinq ans. Voir « Tables de mortalité, Canada, provinces et territoires, » (numéro XIF au catalogue) pour une description complète de la méthode de production des tables de mortalité abrégées. Source : Graphique de l’ICSI créé à l’aide des données tirées de Statistique Canada, Statistique de l’état civil du Canada, Bases de données sur les naissances et les décès et les estimations de la population. Tableau CANSIM (consulté le 19 mars 2017). Mise à jour du tableau CANSIM
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En résumé En , l’espérance de vie à la naissance varie d’une province ou d’un territoire à l’autre. En Colombie-Britannique, on peut s’attendre à ce que les femmes vivent jusqu’à 83,9 ans; à Terre-Neuve-et-Labrador, cet âge est de 81,2 ans et, dans les territoires, il est de 78,2 ans. Toujours en Colombie-Britannique, les hommes peuvent vivre jusqu’à 79,5 ans, tandis qu’au Manitoba et en Saskatchewan, ils vivent jusqu’à 77 ans et dans les territoires, jusqu’à 72,5 ans. Source : Graphique de l’ICSI créé à l’aide des données tirées de Statistique Canada, Statistique de l’état civil du Canada, Bases de données sur les naissances et les décès et les estimations de la population. Tableau CANSIM le 19 mars 2017). Mise à jour du tableau CANSIM
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Santé et développement de la petite enfance:
résultats consolidés à partir des données contextuelles et démographiques Santé et développement de la petite enfance : résultats consolidés à partir des données contextuelles et démographiques Un nombre important de bébés naissent au Canada chaque année, soit près de Ce nombre a été relativement stable au cours des 30 dernières années. L’indice synthétique de fécondité au Canada est d’environ 1,6 bébé par femme, mais il varie considérablement d’une province et d’un territoire à l’autre, passant d’un peu plus de 1,4 à Terre-Neuve-et-Labrador et en Colombie Britannique à plus de 3,0 au Nunavut. Ce taux de fécondité global est relativement stable depuis le milieu des années 1970, mais il représente moins de la moitié de ce qu’il était en Le taux de fécondité des femmes autochtones est également en baisse. Cependant, il demeure plus élevé que la moyenne canadienne (2,2). De plus en plus de femmes au Canada ne donnent naissance qu’après avoir atteint la trentaine ou la quarantaine. Elles le peuvent maintenant grâce aux méthodes de contraception accessibles et efficaces. La décision de retarder la procréation a une incidence sur l’évolution des stratégies d’éducation et d’emploi des femmes et des hommes. Il est certain que cette nouvelle répartition de l’âge maternel a de lourdes répercussions sur les familles et les communautés. Ainsi, il est plus probable que de nombreux adultes aient à prendre soin de leurs enfants et de leurs propres parents pendant les mêmes années. De plus, le retard de la procréation suscite des préoccupations pour l’infertilité. Le taux d’infécondité au Canada, selon la définition qu’on y donne, varie d’environ 12 % à 16 %. À l’autre extrémité du spectre de l’âge, il y a les mères adolescentes. Les naissances chez les adolescentes ne représentent qu’un très faible pourcentage de toutes les naissances, mais elles posent tout un défi pour les services sociaux et de santé. Les femmes qui ont des bébés à l’adolescence font face à des difficultés particulières pendant de nombreuses années en l’absence de programmes spécialisés. Plus de 2,3 millions d’enfants de moins de 6 ans vivent actuellement au Canada. Ils représentent près de 7 % de la population. Toutefois, cette proportion varie selon la province et le territoire : les territoires, la Saskatchewan, l’Alberta et le Manitoba abritent un plus grand nombre de jeunes enfants au sein de leur population. Il est difficile de dresser un bref profil des jeunes enfants au Canada. Certains des jeunes enfants canadiens parlent de nombreuses langues à la maison en plus des deux langues officielles du Canada, le français et l’anglais. Bien que la plupart (près des deux tiers) vivent dans un foyer où la langue première parlée est l’anglais et un cinquième vivent dans un foyer où le français est la langue première, plus de 12 % des jeunes enfants vivent dans un foyer où la langue la plus souvent parlée n’est ni l’anglais ni le français. Les jeunes enfants proviennent de divers milieux ethnoculturels. Certains sont nouveaux au Canada. Certains sont arrivés en tant que réfugiés. Vu l’évolution des tendances en matière d’immigration, les jeunes enfants qui appartiennent à une minorité visible représentent un groupe démographique croissant. Les jeunes enfants vivent dans des familles diverses. Près d’un cinquième de toutes les familles canadiennes ont de jeunes enfants. La plupart de ces familles sont composées de couples mariés ou vivant en union libre, mais 15 % ou près de familles ayant de jeunes enfants sont des familles monoparentales, la majorité d’entre elles (87 %) étant dirigée par une femme. En outre, de nombreux enfants de moins de 5 ans vivent : dans une famille recomposée; dans une famille où leurs parents sont divorcés ou séparés; avec des parents de même sexe, ou dans une famille d’accueil. Certains ont été adoptés, au pays ou à l’étranger. L’espérance de vie augmente au Canada. Entre 2007 et 2009, l’espérance de vie à la naissance était de 83,3 ans pour les femmes et de 78,8 ans pour les hommes. Il s’agit d’une augmentation par rapport à une espérance de vie combinée (hommes et femmes) de 71 ans en Les personnes mieux nanties au Canada ont une espérance de vie plus longue que les pauvres, et la population autochtone a une espérance de vie inférieure à celle de la population non autochtone. Malgré l’espérance de vie croissante et le nombre croissant de Canadiens âgés, les enfants de moins de 6 ans représenteront toujours une proportion importante de la population au cours des années à venir. Selon les projections de croissance, ils représenteront entre 5,5 % et 6,7 % de la population totale en Les politiques et les programmes qui soutiennent leur bien-être et leur bon développement seront donc toujours nécessaires.
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