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Publié parCésar Conte Modifié depuis plus de 10 années
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Les vertus thérapeutiques du MIEL Cliquer pour avancer
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Autrefois très utilisé dans un cadre médical empirique, le miel peut être considéré comme un « alicament » c’est-à-dire un aliment médicament, qui soigne dans le sens propre et figuré du terme.
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Un riche pouvoir sucrant
Le miel est avant tout un aliment naturel, riche en sucres simples directement assimilables, doué d’un pouvoir sucrant plus important que le sucre blanc (ou roux), tout en ayant un apport calorifique moindre. En effet, le pouvoir sucrant du fructose et du glucose, constituants principaux du miel est supérieur de l’ordre de 30% comparé à la valeur référence du saccharose de canne ou de betterave.
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Une action stimulante Cette richesse en fructose et glucose est responsable de son action stimulante musculaire reconnue par les sportifs et les gens fatigués. Les crampes musculaires sont soulagées par le miel. L’ostéoporose, l’anorexie, l’asthénie chronique des personnes âgées représentent des cas où le miel donne de très bons résultats. Son usage est bien accepté car les personnes âgées ont une appétence particulière pour les produits sucrés.
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Effet antibiotique Hippocrate (460 à 377 av. J.C.) utilisait le miel dans de nombreuses formules. A Larissa, sur son tombeau aurait vécu un essaim d’abeilles dont le miel guérissait les aphtes ! Il propose dans ses traités les infusions de miel dans les toux rebelles, les infections de la sphère ORL et différentes pathologies digestives ou infectieuses. L’efficacité réelle du miel contre les agents pathogènes réside dans sa concentration très élevée en sucres. Ceci entraîne par effet osmotique la déshydratation des agents pathogènes, donnant ainsi un pouvoir antibiotique bactéricide et bactériostatique propre au miel.
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Effet hématopoïétique
Le miel stimule la production d’hémoglobine. L’explication de ce phénomène tient à la présence de substances minérales comme le fer, le cuivre et le manganèse sous forme d’oligo-éléments. La quantité de matière minérale varie de traces à 0.20% pour les miels de nectar, jusqu’à 1% pour les miels de miellat.
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Une idée reçue Il n’y a aucune réalité dans l’assertion populaire maintes fois entendue « le miel fait grossir ». Il s’agit d’une contre-vérité démontrée et confirmée par les scientifiques.
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Conclusion De la naissance jusqu’au plus grand âge, de la femme enceinte au nourrisson, en passant par le sportif, la prise régulière de miel mono ou polyfloral ne présente que des avantages pour la santé.
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Texte extrait de la revue « Transition »
Musique : Le vol du bourdon (Rimsky Korsakov) Violon : Jascha Heifetz Montage : André Hernandez – Mai 2005
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