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Publié parPerrin Paris Modifié depuis plus de 9 années
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L’histoire de l’immersion au Cap Breton Cara MacLean le 25 février, 2008
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Les conseils scolaires en Nouvelle-Écosse
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Partie A Les programmes offerts couramment
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Les programmes offerts couramment au Cap Breton Le français de base: 4 e à12 e Tous les écoles du conseil Tous les écoles du conseil Tous les élèves reçoivent une introduction à la langue française. Tous les élèves reçoivent une introduction à la langue française.
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Les programmes offerts couramment au Cap Breton Le français intensif: 6 e année Dans ce programme, de septembre à janvier, 60 à 80% de l’instruction est dans un environnement français, et de février à juin, seulement 10% de l’instruction est en français. Dans ce programme, de septembre à janvier, 60 à 80% de l’instruction est dans un environnement français, et de février à juin, seulement 10% de l’instruction est en français. Ce programme est offert à 4 écoles cette année, et on ajoute deux autres l’an prochain: Ce programme est offert à 4 écoles cette année, et on ajoute deux autres l’an prochain: Bras d’or Elementary (Bras D’or) Greenfield Elementary (New Waterford) Harbourside Elementary (Sydney) Riverside Elementary (Albert Bridge) L’emphase du programme est d’apprendre la langue, ce n’est pas d’utiliser la langue pour apprendre les autres sujets. L’emphase du programme est d’apprendre la langue, ce n’est pas d’utiliser la langue pour apprendre les autres sujets. Avant de voir ou écrire un nouveau mot, il faut bien être capable de le prononcer. Avant de voir ou écrire un nouveau mot, il faut bien être capable de le prononcer. Lorsque les élèves entrent au programme, ils sont testés pour découvrir leur niveau de français, et à la fin de l’année on ré-teste les enfants, les résultats sont surprenants. Ils ont découvert qu’en seulement 5 mois, les élèves ont augmenté de 5 à 7 niveaux sur les testes de placement – pour atteindre un niveau plus avancé que prévu. Lorsque les élèves entrent au programme, ils sont testés pour découvrir leur niveau de français, et à la fin de l’année on ré-teste les enfants, les résultats sont surprenants. Ils ont découvert qu’en seulement 5 mois, les élèves ont augmenté de 5 à 7 niveaux sur les testes de placement – pour atteindre un niveau plus avancé que prévu.
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Les programmes offerts couramment au Cap Breton Le français intégré: 7 e à 12 e 7 e à 9 e : Les élèves s’inscrivent aux arts langagiers et les sciences humaines en français. 7 e à 9 e : Les élèves s’inscrivent aux arts langagiers et les sciences humaines en français. 10 e à 12 e : Les élèves s’inscrivent aux arts langagiers 10, 11 et 12 en français, et trois autres sujets, tel que prescrit dans le PSP. 10 e à 12 e : Les élèves s’inscrivent aux arts langagiers 10, 11 et 12 en français, et trois autres sujets, tel que prescrit dans le PSP. Les écoles qui offrent ce programme sont: Les écoles qui offrent ce programme sont: Breton Education Centre (New Waterford) St. Michael’s Junior High (Glace Bay) Thompson Junior High (North Sydney) Glace Bay High School (Glace Bay) Sydney Academy (Sydney)
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Les programmes offerts couramment au Cap Breton L’immersion tardive: 7 e à 12 e 7 e à 9 e : 70 à 75% de l’instruction est en français. 7 e à 9 e : 70 à 75% de l’instruction est en français. 10 e à 12 e : Au moins 9 crédits sont en français. 10 e à 12 e : Au moins 9 crédits sont en français. Les écoles qui offrent ce programme sont: Les écoles qui offrent ce programme sont: Malcolm Munroe Memorial Junior High (Sydney River) Sydney Mines Junior High (Sydney Mines) Whitney Pier Memorial (Whitney Pier) Holy Angels High School (Sydney) 1 Memorial High School (Sydney Mines) Riverview Rural High School (Coxheath) 1. Holy Angels est la seule école exclusivement pour les filles dans le cadre publique en Nouvelle Écosse.
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Les écoles qui offrent l’immersion au Cap-Breton
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Les écoles - vu d’un peu plus proche
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Partie B L’origine et l’histoire de ces programmes
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Le premier programme d’immersion en N-É En 1976, à l’école Colby St-Joseph, 27 élèves ont commencé un programme d’immersion sous la direction de Doreen McKinley. Après deux années, il n’y avait plus d’argent fédéral, et le programme n’avait pas de nouveaux entrants. Les deux groupes qui ont commencé en 1976 et 1977 ont continué le programme à Sheriff Junior High et Sydney Academy pour obtenir leurs diplômes en études secondaires en 1989 et finir leur programme d’immersion. Arrivé à l’école secondaire, beaucoup d’élèves avaient quitté le programme pour diverses raisons, et le groupe qui a fini était très petit.
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Dix ans plus tard… En 1986, ils ont essayé de nouveau la programmation d’immersion au Cap Breton. 60 élèves ont commencé le programme d’immersion tardive à deux sites: École Malcolm Munroe Memorial et École Woodill Junior High
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Les raisons pour choisir l’immersion tardive Le programme d’immersion précoce était un échec. Arrivé à la 7 e année, les difficultés linguistiques sont déjà découvertes. Les parents supportaient l’idée de l’immersion tardive. La région est assez rurale, alors on pourrait offrir le programme à un plus grand nombre d’élèves avec le programme tardif dans les écoles Jr. High qui regroupent les élèves de plusieurs écoles élémentaires.
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Les premiers professeurs En 1986, il y avait un prof pour le programme d’immersion à chaque école, Mia MacIntyre à Malcolm Munroe, et Doreen McKinley à Woodill. En plus de l’enseignement de tous les sujets pour les élèves d’immersion, ces deux profs avaient aussi la tâche d’enseigner le français de base aux autres élèves de l’école. En mars de la premier année, ils ont dû embaucher un troisième prof à temps partiel (Vivian MacDonald) pour offrir du support aux deux autres professeurs. En 1987 et 1998, d’autres profs étaient embauchés: Joseph Enguehard, Lee Cantwell, Mlle Boudreau, Gordie et Janet Mac Innis Il n’y avait pas de ressources disponibles en français pour commencer, et les professeurs avait besoin de traduire tous les textes anglais. Les autres professeurs aux deux écoles ne supportaient pas le programme, et il y avait plusieurs commentaires négatifs adressés aux deux profs d’immersion.
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Les premiers élèves Les premiers 60 élèves étaient choisis par les professeurs de sixième année. Les recommandations étaient faites basées sur les forces académiques des élèves, leurs personnalités, leurs efforts, et leurs habiletés de travail. Aux années subséquentes, la commission a décidé d’ouvrir le programme à tous les élèves de la région, et les choix étaient fait par loterie. Les élèves qui venaient de l’extérieur de la région arrivaient à l’école chaque jour en taxi.
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Les premières années Les élèves avaient beaucoup du succès avec la langue française. Les professeurs embauchés parlaient français comme langue maternelle. Les activités et excursions principales étaient de visiter des régions où le français était la langue parlée Chéticamp (7 e année) Chéticamp (7 e année) l’Université Sainte-Anne (8 e année) l’Université Sainte-Anne (8 e année) les îles Saint Pierre et Miquelon (9 e année) les îles Saint Pierre et Miquelon (9 e année) le Québec (12 e année) le Québec (12 e année)
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Les personnes impliquées Mia MacIntyre et Doreen McKinley Deux professeurs qui demandaient le programme, et qui étaient les premiers enseignants. Deux professeurs qui demandaient le programme, et qui étaient les premiers enseignants. Joanne Kelly Un parent et membre du CPF qui contribuait à l’effort d’avoir le programme. Un parent et membre du CPF qui contribuait à l’effort d’avoir le programme. Dave Brennick Un membre du conseil scolaire qui venait d’arriver, et qui savait que la N-É était la seule province qui n’avait pas de programme d’immersion. Un membre du conseil scolaire qui venait d’arriver, et qui savait que la N-É était la seule province qui n’avait pas de programme d’immersion. Norma Boyd Un parent et membre élu du conseil qui soutenait l’idée du programme (Il y avait quelques autres membres du conseil qui soutenaient le programme aussi) Un parent et membre élu du conseil qui soutenait l’idée du programme (Il y avait quelques autres membres du conseil qui soutenaient le programme aussi)
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Le support pour le programme L’argent était disponible du gouvernement fédéral pour les deux premières années La Nouvelle Écosse était la seule province qui n’avait pas de programme d’immersion, alors c’était le temps de rejoindre les autres provinces. Les parents et le CPF supportaient l’idée d’un programme d’immersion tardive
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Les défis En même temps que les parents et CPF demandaient un programme d’immersion, les parents francophones demandaient un école francophone. Le premier programme d’immersion était un échec. Les écoles et les professeurs ne supportaient pas le programme. Les ressources Une fois que le programme était commencé, la commission scolaire n’a pas permis à ses professeurs d’aller au développement professionnel pour les professeurs d’immersion, alors il n’y avait pas de support pour les professeurs, et ils se sentaient très isolés. Le programme à Woodill n’avait pas assez du support, et a dû fermer en 1992, mais le programme de Whitney Pier à bientôt pris sa place, et les élèves de la ville Sydney pouvaient y assister.
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Le présent Lefusionnement des conseils scolarie n’a pas eu beaucoup d’impacte au Cap-Breton. Le compté de Victoria n’avait pas de programme d’immersion avant le fusionnement, et il n’y a pas de programme là maintenant. Il y des élèves de Middle River qui voyagent par taxi à Baddeck, et prennent ensuite un autobus à Sydney Mines pour aller à une école qui offre l’immersion – un voyage de plus d’une heure. Il y a plus de 800 élèves dans le programme maintenant. Même si la commission scolaire au Cap Breton perd entre 600 et 700 élèves annuellement, les nombres en immersion restent constants.
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Merci de votre attention Merci de votre attention
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