Créée en 2005, la SCEE vise les objectifs suivants : Promouvoir l’étude de l’écologie et de l’évolution au Canada. Éveiller la conscience publique à l’importance.

Présentation au sujet: "Créée en 2005, la SCEE vise les objectifs suivants : Promouvoir l’étude de l’écologie et de l’évolution au Canada. Éveiller la conscience publique à l’importance."— Transcription de la présentation:

1 Créée en 2005, la SCEE vise les objectifs suivants : Promouvoir l’étude de l’écologie et de l’évolution au Canada. Éveiller la conscience publique à l’importance de l’écologie et de l’évolution pour la société canadienne. Faciliter la communication entre les membres de la Société et les décideurs des secteurs public, privé et non gouvernemental. Assurer la liaison avec les organismes fédéraux et provinciaux de financement afin de promouvoir la recherche en écologie et en évolution au Canada. La SCEE a été dûment enregistrée en tant qu’organisation canadienne à but non lucratif en 2006 et elle a pris rapidement son essor puisqu’elle est passée de 300 à plus de 700 membres. Canadian Society for Ecology and Evolution/ Société canadienne d’écologie et d’évolution

2 Faciliter la communication Assemblée générale annuelle Bulletins Site Web (http://csee-scee.ca)http://csee-scee.ca Éveil de la conscience publique Conférence ouverte au public à l’assemblée annuelle Textes d’opinion, communiqués de presse, déclarations au Parlement Appui financier pour les activités de relations publiques Formation et soutien des étudiants De nombreux étudiants assistent aux réunions – excellents taux de participation Bourses de voyage Prix de début de carrière et pour présentation à l’oral et par affiches Affichage de postes Ateliers (axés sur les compétences et le perfectionnement professionnel) Mentorat et réseautage pour les femmes Symposium annuel s’adressant aux femmes qui se lancent dans le domaine de l’écologie et de l’évolution (SWEEET – Symposium for Women Entering Ecology and Evolution Today)

3 La Société passe avant la revue [Traduction ] « Les frais d’adhésion qui vous sont demandés couvriront le coût de la mise sur pied de la Société, de la tenue des réunions, de l’appui à des ateliers ciblés ainsi que de la publication des énoncés de politique et d’autres documents pour faire mieux connaître notre travail. »

4 La Societé passe avant la revue [Traduction ] « Les frais d’adhésion qui vous sont demandés couvriront le coût de la mise sur pied de la Société, de la tenue des réunions, de l’appui à des ateliers ciblés ainsi que de la publication des énoncés de politique et d’autres documents pour faire mieux connaître notre travail. » Quelle est la principale raison pour laquelle vous avez adhéré à la SCEE?

5 Autres activités ou avantages Rencontrer des collègues de différentes régions du pays et me mettre en réseau avec eux. Me renseigner sur des questions relatives à la biodiversité propres au Canada. Représenter la Société au sein de conseils pertinents (p. ex. Conseil canadien de protection des animaux) et participer à des activités conjointes, notamment le Partenariat en faveur des sciences et de la technologie, http://www.pagse.org)http://www.pagse.org Mettre en place des institutions jumelles, telles que le Canadian Institute for Ecology and Evolution, vouées à des programmes thématiques et à des groupes de travail. Se faire entendre auprès du CRSNG – Cela nous a permis de structurer le nouveau système de conférence pour les décisions de financement et d’exprimer notre point de vue sur différentes questions, depuis les bourses octroyées aux étudiants de premier cycle jusqu’aux écueils du CV commun canadien.

6 À votre avis la SCEE devrait-elle participer à la défense des intérêts et aux efforts pour influencer la prise de décisions d’ordre politique?

7 Le SWEEET vise les objectifs suivants Accroître la prise de conscience concernant les défis auxquels se heurtent les femmes au sein de l’effectif scientifique moderne et participer à un large dialogue sur le sujet. Faciliter le réseautage des étudiantes ou des scientifiques en début de carrière avec leurs homologues déjà établis au sein des universités, du gouvernement et de l’industrie. Communiquer des stratégies individuelles et institutionnelles pour accroître la représentation, le maintien à l’effectif et le succès professionnel des femmes scientifiques.