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Octobre 2007Drs S.LOTTON & R.THIRION Séminaire Démences -DINAN 1.

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1 Octobre 2007Drs S.LOTTON & R.THIRION Séminaire Démences -DINAN 1

2 Octobre 2007Drs S.LOTTON & R.THIRION Séminaire Démences -DINAN 2 Nutrition et Maladie d ’Alzheimer

3 Octobre 2007Drs S.LOTTON & R.THIRION Séminaire Démences -DINAN 3 La perte de poids est l’une des principales manifestations de la MA Elle peut s’associer à une malnutrition protéino- énergétique à l’origine de complications sévères (altérations du système immunitaire, atrophie musculaire, perte d’autonomie..), avec aggravation de l’état de santé qui influence la qualité de vie du patient et de l’aidant Les mécanismes sont encore mal élucidés (perturbations neuroendocriniennes, majoration des dépenses énergétiques…)

4 Octobre 2007Drs S.LOTTON & R.THIRION Séminaire Démences -DINAN 4 Dans les années 80 des études anglo-saxonnes ( patients déments sévères, hospitalisés) La baisse annuelle du poids: - 0,35 kg/an chez des sujets déments - 0,05 kg/an chez les sujets témoins (White et al) - il existe une corrélation étroite entre perte de poids, durée d’évolution et état cognitif (Berlinger et al.)

5 Octobre 2007Drs S.LOTTON & R.THIRION Séminaire Démences -DINAN 5 la perte de poids peut affecter les patients dès les premiers stades de la maladie affecte 30 à 40 % des patients atteints de formes légères à modérément sévères ( à domicile ou en institution) 45% des patients présentent une perte de poids ≥ 4% au cours d’une année de suivi (cohorte ELSA 1994) 20% dans la cohorte REAL.FR 2000

6 Octobre 2007Drs S.LOTTON & R.THIRION Séminaire Démences -DINAN 6 Une perte de poids ≥ 4% représente un risque accru de mortalité (Wallace et al 1995) La perte de poids pourrait précéder le diagnostic et être une manifestation de la maladie elle mène (Barret-Connord et al 1996) Un IMC bas serait un signe précoce d’émergence de la maladie (plutôt qu’un facteur de risque de démence) (Barret-Connord et al 1996)

7 Octobre 2007Drs S.LOTTON & R.THIRION Séminaire Démences -DINAN 7 Étude REAL.FR (résultats préliminaires) groupe Patients dénutris (MNA ≤ 17) score NPI significativement plus élevé score MMSE significativement plus bas fardeau familial plus lourd ( Zarit) Versus groupe patients non dénutris

8 Octobre 2007Drs S.LOTTON & R.THIRION Séminaire Démences -DINAN 8 Les troubles du comportement alimentaire de nature apraxique ou de réflexes d’opposition ou de défense, peuvent entraîner une baisse des apports Les traitements médicamenteux, l’altération du goût et de l’odorat, un mauvais état bucco-dentaire peuvent être la cause d’un refus alimentaire L’anorexie peut être le fait de pathologies intercurrentes (infections, douleur,..) et de la dépression Cependant la perte de poids survient généralement alors que les apports énergétiques sont satisfaisants

9 Octobre 2007Drs S.LOTTON & R.THIRION Séminaire Démences -DINAN 9 Facteurs étiologiques: l’atrophie du cortex temporal interne Observé dès les premiers stades de la maladie et s’aggravant avec son évolution La perte de poids pourrait en être la conséquence directe Certaines perturbations, comme l’augmentation du cortisol, du Tumor Necrosis Factor (TNF) ou la diminution des œstrogènes pourraient à leur tour majorer l’atrophie du cortex temporal interne et aggraver la maladie

10 Octobre 2007Drs S.LOTTON & R.THIRION Séminaire Démences -DINAN 10 Facteurs étiologiques Les troubles du comportement alimentaire Sont dominés par l’anorexie Avec l’évolution de la maladie, le comportement alimentaire est profondément modifié (refus de s’alimenter, attitudes d’opposition, réflexes de défense..) Des troubles de nature apraxique viennent compliquer la prise alimentaire Corrélés au déclin des fonctions cognitives, à la sévérité de la démence et à l’altération des capacités fonctionnelles Parallèlement à l’évolution de la démence : –comportements sélectifs –puis de résistance –puis dysphagie oro-pharyngienne ou pharyngo-oesophagienne Dyspraxie : tout au long de l’évolution Dysphagie persistante = facteur prédictif de décès imminent


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