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Titre du diaporama Quelle viande bovine consomment les Français ? Quels sont les marchés ? DIJON – 12 février 2015.

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1 Titre du diaporama Quelle viande bovine consomment les Français ? Quels sont les marchés ? DIJON – 12 février 2015

2 LES POINTS CLÉS DU MARCHÉ

3 Titre du diaporama La consommation des viandes en France

4 Répartition des Viandes de boucherie en Restauration Commerciale/Collective 115 627 T 71 532T 287 274 T 19 608 T 20 514T 31 361T 5 494 T 23 138T Source CREDOC 2008 575 000T Bœuf haché = 60% total bœuf

5 Répartition de la viande de bœuf en Restauration Commerciale/Collective

6 PdM KantarWorld Panel année 2014 CONSOMMATION FRANÇAISE AU FOYER : VIANDE & VOLAILLE FRAICHES Pénétration Espèces hors élaborés Elaborés viande : haché + saucisses + autres élaborés

7 LES ACHATS DES MÉNAGES Les volumes se font avec la clientèle traditionnelle : 60 % des viandes sont achetées par les + de 50 ans. % des achatsMénages PRA > 50 ans Viandes de boucherie59% Bœuf56% Porc57% Veau69% Agneau75% Cheval75% viande hachée fraîche44% viande hachée surgelée27%

8 LES POINTS CLÉS DE LA CONSOMMATION DE VIANDE

9 LA VIANDE N’EST PLUS INDISPENSABLE La viande n’est plus un marqueur social Plus de pénurie, au contraire, sentiment de trop plein Populations + jeunes nées avec une plus grande diversité alimentaire  Viande = 40kg/an/ménage en 2005, 34 en 2013  Un acte d’achat en moins/an

10  La distance homme/animal décroit  Impact négatif sur l’environnement  Cacophonie nutritionnelle APPARITION DE DISCOURS NÉGATIFS

11 L’ÈRE DU PRÊT À MANGER Evolution des modes de vie = transfert de la production alimentaire du domicile vers l’industrie et le commerce. Le repas social reste « traditionnel ». Retour en grâce de la cuisine, une valorisation du cuisinier qui travaille à la vue des convives. Mais le repas en semaine est fonctionnel.  Stagnation du temps consacré à l’alimentation  Demande croissante de produits tout prêts

12 DIVERSITÉ DES ATTENTES Fin du rôti du dimanche, du pot-au-feu du lundi, bœuf mironton le mardi et hachis Parmentier le mercredi De « vrais » produits pour les vieux De « bons » produits pour les riches Du bio et de la santé pour les 35/45 ans Du bien élevé pour les sensibles au BEA De la world food pour les mondialisés Du pas cher mais pratique pour les jeunes ménages Des produits « debout, assis, couchés » pour les jeunes

13 L’ACHAT MALIN, LE PRIX JUSTE Remise en cause du prix Perte de fidélité à la marque, au point de vente Attente de l’opportunité  Toutes les tendances vues précédemment sont vraies, MAIS le prix reste essentiel

14 Attention plus soutenue que leurs ainés à la RSE et sont adeptes de l’achat malin L’alimentation reste un peu plus un plaisir qu’une nécessité Fréquence beaucoup plus importante de plateau-repas à domicile et de fast-food à l’extérieur Praticité et à la rapidité de mise en œuvre des produits sont primordiaux  Au final, les jeunes générations n’ont pas une image négative de la viande, mais ils en consomment un peu moins, et surtout, de façon très différente. FOCUS SUR LES CONSOMMATEURS – DE 35 ANS

15 LES ACHATS DES MÉNAGES Au final, si l’on veut simplifier les choses, on peut dire que l’on se trouve face à deux populations : Une population plus jeune pour qui : la viande n’est plus indispensable, qui la connaît mal et est en attente de produits d’emploi aisé. Une population traditionnelle pour qui la viande : reste une conquête sociale, un aliment indispensable, qui connait la viande, est capable de nommer les morceaux et de cuisiner les plats.

16 Titre du diaporama Et demain ? 7 juin 2012

17 Cette baisse de consommation va-t-elle durer ? Oui, à court terme, tant que le pouvoir d’achat n’a pas repris UNE BAISSE DURABLE ? Cela aura-t-il des conséquences ? Difficile à dire, mais en ce moment, le consommateur découvre qu’il peut consommer moins de viande… alors qu’au cours des crises précédentes, il y avait des transferts.

18 Oui Le grand large L’intermédiation La communication Y-A-T-IL DES CHOSES À FAIRE?

19 La viande a des déficits liés : à l’image que le consommateur se forme du produit au comportement d’achat et de consommation Mais également des atouts reconnus : Plaisir de dégustation Convivialité Valeur nutritionnelle Valeurs culturelles Y-A-T-IL DES CHOSES À FAIRE?

20 Toute solution améliorant l’appréhension du produit par le consommateur doit être recherchée : Vente assistée Offre adaptée : segmentation du rayon et élaboration des produits, adéquation à la restauration Vie du rayon pour qu’il soit animé, vivant, chaleureux, inspirant… REINVENTER L’INTERMEDIATION

21 LA COMMUNICATION 1/ Rétablir nos vérités 2/ Valoriser le produit

22 LA COMMUNICATION Raconter une histoire sur les lieux de vente et de consommation : race, territoire, mode d’élevage…

23 Merci 23


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