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Publié parJuste Monin Modifié depuis plus de 9 années
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Le métabolisme des xénobiotiques chez les Poissons
Aurélie Samain Pauline Cazaban La truite arc-en-ciel Univ-ubs.fr©
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Introduction I Un métabolisme des xénobiotiques très proche de celui des Mammifères II Les spécificités du métabolisme des xénobiotiques chez les Poissons III Applications pratiques de l’étude des biotransformations chez les poissons
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I A) Un schéma globalement similaire
Organes effecteurs des biotransformations: Hépatopancréas Branchies Organe de l’olfaction Rein Tractus digestif
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I A) Un schéma globalement similaire
Phase I Des cytochromes P450 comme chez les Mammifères Phase II Activité GST Activité UDP-GT Sulfoconjugaison Facteurs de variations similaires Connaissances encore très limitées
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I B) Exemple de la détoxification de l’aflatoxine: comparaison truite/ rongeurs
Aflatoxine : métabolite d’Aspergillus Phase I Cytochromes P450 dans l’hépatopancréas Bioactivation de AFB1 en AFB1-8,9-époxyde Hydroxylations minoritaires Phase II Détoxication du AFB1-8,9-époxyde par une conjugaison au glutathion Glucurono et sulfoconjugaisons minoritaires
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I B) Exemple de la détoxification de l’aflatoxine : schéma récapitulatif
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II Les spécificités du métabolisme des xénobiotiques chez les Poissons
Des capacités de biotransformations inférieures à celles des Mammifères Activité des mono-oxygénases et température du milieu Activité des mono-oxygénases et cycle de reproduction
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II A )Des capacités de biotransformations inférieures à celles des Mammifères
Activité des CYP450 inférieure, rôle plus important du CYPA1 Activité GST inférieure
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Bioactivation et détoxication de l’AFB1
II A )Des capacités de biotransformations inférieures à celles des Mammifères Bioactivation et détoxication de l’AFB1
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IIA )Des capacités de biotransformations inférieures à celles des Mammifères
Des capacités de conjugaison au GSH faibles chez les Poissons Très variables: Poissons/autres, Poissons/Poissons
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II B) Activité des mono-oxygénases et température du milieu
Evolution saisonnière de l’activité enzymatique due aux variations de températures: Activité plus importante vers 4°C Un potentiel de détoxication qui reste constant au fil de l’année:
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II C) Activité des mono-oxygénases et cycle de reproduction
Variations saisonnières aussi liées au cycle de reproduction: Expression des CYP450 modulée par les hormones sexuelles Des différences mâle / femelle
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III Application pratique
La truite, modèle pour les études de toxicologie Application à l’évaluation de la bioaccumulation des xénobiotiques dans les écosystèmes aquatiques
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Application à l’évaluation de la bioaccumulation des xénobiotiques dans les écosystèmes aquatiques
Biotransformations chez les Poissons de plus en plus étudiées Objectif double: Connaître les conséquences des polluants sur le métabolisme des poissons. Mettre en évidence une pollution en observant une activité accrue des enzymes de biotransformation chez le poisson => biomarqueur
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Application à l’évaluation de la bioaccumulation des xénobiotiques dans les écosystèmes aquatiques
Utilisation de l’activité EROD comme biomarqueur d’exposition à des polluants Principe du dosage EROD :
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Application à l’évaluation de la bioaccumulation des xénobiotiques dans les écosystèmes aquatiques
Augmentation de l’activité EROD caractéristique (spécificité de substrat CYPA1): Pollution par les HAP Pollution par les PCB Dosage utilisé en biosurveillance Mise au point de nouveaux biomarqueurs Activités GST et UDP-GT
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Conclusion Manque de données
Études sur les biomarqueurs en augmentation
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Merci de votre attention
Poisson ayant abusé de son activité EROD
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