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World Health Organization
26 March 2017 Mesures post Cartographie des systèmes d’approvisionnement au Mali Dr Minkaïla Maïga
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World Health Organization
26 March 2017
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Liste des abréviations
AMPPF : Association Malienne pour la Protection et la Promotion de la Famille ARV : Anti-retroviraux BIOMALI : Fondation Mérieux au Mali CAG : Centrale d'Achat Génériques CLINTON : Fondation Clinton CSCOM : Centre de Santé Communautaire CS Ref : Centre de Santé de Référence DAF : Direction Administrative et Financière DIFLUCAN : Diflucanpartnership DNS : Direction Nationale de la Santé DPM : Direction de la Pharmacie et du Médicament DRC : Dépôt Répartiteur de Cercle DRS : Direction Régionale de la Santé DV : Dépôt de Vente ESTHER : Ensemble pour une Solidarité Thérapeutique Hospitalière En Réseau FNUAP : Fonds des Nations Unies pour la Population GAVI : Alliance Mondiale pour la Vaccination et l’Immunisation GDF : Global Drug Facility IO : Infections Opportunistes IPPF : International PlannedParenthoodFederation (Fédération Internationale de Planification Familiale). ITI . International Trachomatis Initiative JSI : John Snow Inc KFW : KreditanstaltFürWiederaifdau MECTIZAN : Donation Mectizan MSD : Merck Sharp and Dohme : Laboratoire pharmaceutique MII : Moustiquaires imprégnées OMS : Organisation Mondiale de la Santé PFIZER : laboratoire pharmaceutique PH : Pharmacie Hospitalière PNLT : Programme National de Lutte contre la Lèpre et la Tuberculose PPM : Pharmacie Populaire du Mali PSI : Population Services International FNUAP : Fonds des Nations Unies pour la Population SCI : Site : Site de dépistage VIH/SIDA TB : Antituberculeux UE : Union Européenne UNICEF : Fonds des Nations Unies pour l’Enfance UNITAID : Facilité Internationale pour l'achat de médicaments USAID : Agence de Développement International des Etats-Unis.
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Commentaires sur la carte (i)
Les deux premières lignes font le point sur les sources de financement. A l’époque il y’avait pas de concertation formelle entre ces partenaires. C’est cette partie qui est la plus complexe et le manque de concertation à l’époque était le principal problème (doublons avec des sur stockages suivis de pertes, informations non maitrisées par le MS, en même temps beaucoup de besoins non couverts.
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Commentaires sur la carte (ii)
Le niveau suivant est celui qui doit porter l’attention, car c’est le niveau des points d’importation dans le pays. C’est essentiellement constitué de : La PPM, la centrale d’achat (Le Ministère à travers sa DAF n’importe pas en fait, il achète auprès de la PPM) Les agences du SNU (OMS, UNICEF, UNFPA), se basant sur les accords de siège avec l’Etat. L’OMS est un véhicule pour les dons en nature de certaines Fondations. Ses propres procédures sont ouvertes n’excluant pas l’achat auprès de la centrale d’achat, mais il ya souvent des difficultés pour que la centrale puisse fournir les informations exigées. Quand à l’UNICEF et UNFPA, il est noté aussi leur système d’achats groupés. Les bilatéraux (USAID). Il importe pour les ONG américaines (PSI, JSI) et aussi pour l’Etat des produits remis à la PPM à Bamako. Ils avancent leur accord de siège, leurs procédures et l’existence d’un système d’achat groupés pour plusieurs pays Les ONG et Fondations (DGF, Clinton, PFIZER, Mérieux, ESTHER, IPPF, MSD). Elles ont des accords avec l’Etat pour des dons en nature.
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Commentaires sur la carte (iii)
A partir du 1er point de stockage, on note que tous les produits intègrent déjà le schéma national. Certains achats de l’Etat et les dons en nature reçus sont gérés au niveau central par les services centraux dont la DPM et la DNS, qui les envoient aux directions régionales de la santé pour les intégrer dans le système à partir des districts sanitaires.
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Problèmes majeurs/rappel recommandations essentielles
La nécessité de la coordination de la politique d’approvisionnement : absence de plan d’approvisionnement concerté. Rôle insuffisant de la centrale d’achat dans l’approvisionnement des produits des programmes de santé. Système de financement inadéquat/paiement centrale d’achat par le Trésor public. Faible informatisation et absence de procédures écrites/faiblesse systémique assurance qualité.
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Mesures en place (1) Mise en place d’un comité du Médicament lié au comité national de pilotage du Programme de Développement Sanitaire. Présidée par le DPM, en charge de la mise en œuvre des programmes de médicaments. Coordonne au niveau national mise en œuvre PPN mais particulièrement l’accès. Composé des services de l’Etat et des PTF y comprises les ONG.
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Mesures en place (2) Intégration de toutes les acquisitions dans un schéma unique Un schéma unique existe de la PPM au Centres de dispensation depuis 1996. Conciliation des procédures des PTF: pour ceux qui ne peuvent passer par la PPM, après achat (ou dons en nature), intégration soit à partir du niveau central, intermédiaire, ou niveau district sanitaire. Les achats sont toutefois quantifiés dans les plans d’approvisionnements concertés.
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Mesures en place (3) Adoption de plans d’approvisionnements
Au niveau de la Centrale d’achat (annuel et pluriannuel) sous l’égide du DG PPM. Pour les principaux programmes de santé (Paludisme, VIH/SIDA, PF/PSR), avec des comités de quantification présidés par le DPM (et comprenant les partenaires) et des comités d’experts pour la mise à jour des directives thérapeutiques.
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Mesures en place (4) Financement
L’Etat a mis en place des lignes budgétaires pour acheter les besoins (ou gap) non couverts par les PTF (TB, Cancer, SR/PF, VIH/TUB, Palu…); la contrainte majeure demeure le décaissement par le trésor, avec une mise en difficulté de la PPM. Les budgets des PTF sont validés lors des sessions de quantifications . Certains PTF sont plus flexibles comme UNFPA pour élargir leur contribution pour couvrir les besoins non couverts par autres PTF.
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Mesures en place (5) Procédures/assurance qualité et logiciel de gestion La PPM a bénéficié d’une série d’appuis dans le cadre du GFATM, PSPSR à travers UNFPA et l’USIAD. Les BPD ne sont plus une plainte. Sa difficulté reste la crise de trésorerie créée par la politique de gratuité qui a fait balancer plusieurs règlements sur le trésor public qui est largement en retard de décaissement. Pour le reste du circuit, un logiciel existe déjà pour les contraceptifs, il y en a en consolidation pour la dispensation/évaluation besoins des ARV, en cours d’expérimentation pour le reste des ME au niveau de la DPM.
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MERCI
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