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Repères issus du Bilan travail de l’ Institut de l’Elevage / INRA

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Présentation au sujet: "Repères issus du Bilan travail de l’ Institut de l’Elevage / INRA"— Transcription de la présentation:

1 Repères issus du Bilan travail de l’ Institut de l’Elevage / INRA
Qu’est-ce que le Bilan Travail repères.

2 Objectifs Objectifs et méthode méthodologiques Choix
AIDER LES ELEVEURS A MIEUX SITUER LA QUESTION DE L'EMPLOI DE LEUR TEMPS AVEC : UN ENTRETIEN ANNUEL produire des repères pour les aider à se positionner Objectifs méthodologiques Choix APPROCHE GLOBALE DU TRAVAIL QUANTITICATION PAR FAMILLES D'ACTIVITES ET NON PAR TRAVAUX ELEMENTAIRES QUANTIFICATION DES TACHES DIRECTEMENT LIEES A LA PRODUCTION LES ECHELLES DE QUANTIFICATION NE SONT PAS FINES

3 DEUX NIVEAUX D'APPROCHES
L'EXPLOITATION : Temps de travail d'astreinte et de saison nécessaire à son fonctionnement LA CELLULE DE BASE : temps qu'elle consacre au travail d'astreinte, de saison et au travail rendu, compte-tenu des apports extérieurs en main-d'oeuvre

4 LE TRAVAIL D'ASTREINTE (TA)
TRAVAIL A REALISER QUASI QUOTIDIENNEMENT PEU DIFFERABLE ET PEU CONCENTRABLE : il correspond le plus souvent aux soins journaliers aux troupeaux Le contenu et la durée quotidienne du travail d'astreinte varient en fonction des périodes : mode d'alimentation, stade physiologique des animaux. UNITE DE QUANTIFICATION : HEURE/JOUR PRECISION : DEMI-HEURE PRESENTATION : PLANNING ANNUEL PERIODE : 15 JOURS MINIMUM

5 LE TRAVAIL DE SAISON (TS)
CE SONT : LES TRAVAUX CONSACRES AUX CULTURES (de l'implantation à la récolte) LES TRAVAUX CONSACRES A LA SURFACE FOURRAGERE LES TRAVAUX PERIODIQUES CONSACRES AUX TROUPEAUX (prophylaxie, tonte...) UNITE DE QUANTIFICATION : JOURNEE PRECISION : DEMI-JOURNEE/MOIS PRESENTATION : PLANNING MENSUEL PERIODE : 15 JOURS MINIMUM

6 LE TRAVAIL RENDU (TR) C'EST LE TRAVAIL EFFECTUE CHEZ LES AGRICULTEURS VOISINS EN CONTREPARTIE DE TRAVAUX REALISES SUR L'EXPLOITATION COMME POUR LE TRAVAIL DE SAISON : UNITE DE QUANTIFICATION : JOURNEE PRECISION : DEMI-JOURNEE/MOIS

7 CHAQUE PERSONNE DE LA CELLULE DE BASE COMPTE POUR 1, SANS PONDERATION
LA MAIN D'OEUVRE 2 GROUPES DE TRAVAILLEURS : LA CELLULE DE BASE : C'EST L'ENSEMBLE DES TRAVAILLEURS PERMANENTS SAUF : Les retraités Les personnes ayant une activité extérieure à temps plein Les personnes déclarant n'intervenir que sous forme de coups de main CHAQUE PERSONNE DE LA CELLULE DE BASE COMPTE POUR 1, SANS PONDERATION LES TRAVAILLEURS HORS-CELLULE DE BASE Les bénévoles L'entraide Le salariat agricole temporaire et l'entreprise

8 LE TEMPS DISPONIBLE CALCULE (TDC)
LE TEMPS DISPONIBLE CALCULE CONCERNE LA CELLULE DE BASE C'EST LE TEMPS QUI RESTE A LA CELLULE DE BASE : UNE FOIS SON TRAVAIL D'ASTREINTE, SON TRAVAIL DE SAISON ET SON TRAVAIL RENDU ACCOMPLIS POUR LES TACHES : difficilement mesurables, exceptionnelles non agricoles et du domaine privé 8 heures TRAVAIL DE SAISON ET RENDU TEMPS DISPONIBLE CALCULE Dimanches Nombre d'heures TRAVAIL D'ASTREINTE Nombre de jours de la période

9 La méthode Bilan Travail n’est pas l’outil pour aborder
EN RESUME ….. La méthode Bilan Travail n’est pas l’outil pour aborder LES PROBLEMES D'ERGONOMIE LES PROBLEMES DE PENIBILITE LA QUALITE DE VIE ….. mais cela peut être un bon préalable à d’autres approches du travail

10 EN RESUME …..et en conclusion
Le Bilan Travail de l’IE est un outil de zootechnicien et d’agronome Campagne Période Journée X Echelle de temps Analyse et évaluation des systèmes d’élevage Gestion des périodes de pointes Conséquences sur la santé La bonne allocation de la main d’œuvre Relations au sein du collectif Condition de travailleur Travail et capital Rémunération du travail Durée Objectifs Travaux Travailleurs Temporalité Equipements Activité physique, cognitive, psychique Une ressource Des valeurs des fonctions Un facteur production Objet de l’étude Zootechnie Agronomie Ergonomie Gestion Sociologie Economie Discipline La contribution des différentes disciplines à l’approche du travail Dedieu et Servière, 2001

11 Repères par rapport au Travail d’Astreinte (TA) diap 1: données moyennes et ratios
46 heures par UGB et par an,  (51 dans étude de 1997) cela représente ·  7,4 heures de TA par jour (8,3 ds étude BT Sud-Ouest 1997) ·  2 personnes dans la cellule de base (CB) (1,8 ds échantillon 1997) ·  3,2 heures par personne de la CB (4,1 ds étude BT Sud-Ouest 1997) ·  1 heure de bénévolat (idem = (345 h/an en moyenne ds étude 1997) présents dans 40 % des exploitations, les bénévoles réalisent en moyenne 20 % du TA (peut aller jusqu’à 60 %) (en 1997, il était présent dans 52 % des exploitations, pour 28 % du TA ) synthèse Sud Aquitaine / EDE 40 sur BT financés par CRAA / Docup 2001

12 Repères par rapport au Travail d’Astreinte (TA) diap 2: répartition par Tâches
étude service références Aveyron LEPA La Roque / 1996

13 Repères par rapport au Travail d’Astreinte (TA) diap 3: facteurs de variation
la dimension du troupeau  les repères doivent la prendre en compte synthèse régionale BT 1996 synthèse Sud Aquitaine / EDE 40 sur BT financés par CRAA / Docup ou synthèse régionale BT 1997

14 Repères par rapport au Travail d’Astreinte (TA) diap 4: facteurs de variation
quand la dimension du troupeau augmente, le nombre de PCB n’augmente pas dans les mêmes proportions, le Nbd’UGB par PCB s’accroît, et le temps consacré à chaque UGB diminue synthèse régionale BT 1997

15 Repères par rapport au Travail d’Astreinte (TA) diap 5: facteurs de variation
synthèse régionale BT 1997

16 Repères par rapport au Travail d’Astreinte (TA) diap 6: facteurs de variation
étude service références Aveyron LEPA La Roque / 1996

17 Repères par rapport au Travail de Saison (TS) diap 1: données moyennes et ratios)
en moyenne  1,8 jour par ha et par an (1,7 ds étude 1997) de l’ordre de 108 jrs par an pour 60 ha de SAU varie de 1 à 3,6 jours en fonction des situations (parcellaire, équipement, organisation,…) le travail de saison est réalisé à 25 % par des tiers (bénévoles, entraide, CUMA ou entreprise…) (16 % dans étude sur BT de 1997)   1,8 jours par ha Pour 60 ha de SAU, le TS s’élève à 108 jours par an, soit 1,8 jour par ha, avec des variations de 1 à 3,6 jours en fonction des situations (parcellaire, équipement, organisation,…). Au delà de 60 ha de SAU, l’efficacité du travail est améliorée et plus homogène (1,2 jour/ha). Le travail de saison est réalisé à 25% du temps par des tiers (bénévoles, entraide, CUMA ou entreprise). Les chantiers les plus performants (moins de 1 jour/ha) sont réalisés par des exploitations utilisant de 30 à 50 % de main d’œuvre extérieure (entraide et entreprise). synthèse Sud Aquitaine / EDE 40 sur BT financés par CRAA / Docup 2001

18 Repères par rapport au Travail de Saison (TS) diap 2: facteurs de variation
la dimension SAU: la baisse du temps consacré à chaque ha en fonction de la dimension n’est nette que dans les exploitations ayant au moins deux personnes dans la cellule de base (les autres (1 PCB) externalisent plus volontiers même quand ils sont avec de faibles dimensions) synthèse régionale BT 1997

19 Repères par rapport au Travail de Saison (TS) diap 3: facteurs de NON variation
1 ha de grandes cultures ou un ha de SFP, c’est quasiment la même chose en termes de travail, il n’y a donc pas de lien entre le % de SFP et le travail par ha de SAU moyenne synthèse régionale BT 1997

20 Repères par rapport au Travail de Saison (TS) diap 4: facteurs de NON variation
1 ha de prairie, ou un ha de maïs c’est presque la même chose en termes de travail Total (sauf // répartition et // pointes), il y a donc un lien faible entre le % de maïs dans la SFP et le travail par ha de SFP synthèse régionale BT 1997

21 Repères par rapport au Travail de Saison (TS) diap 5: facteurs de NON variation
1 ha de prairie, ou un ha de maïs c’est presque la même chose en termes de travail total, sauf qu’apparemment, quand il y a beaucoup de maïs une proportion plus grande du travail est systématiquement déléguée synthèse régionale BT 1997

22 Repères par rapport au Travail de Saison (TS) diap 6: moyennes pour une diagnostic
synthèse Sud Aquitaine / EDE 40 sur BT financés par CRAA / Docup et synthèse régionale BT 1997

23 Repères par rapport au Temps Disponible Calculé (TDC): Diap 1, la variabilité
La moyenne régionale est de 1235 heures par personne de la CB avec peu de différences selon le type de systèmes, mais beaucoup à l’intérieur de chaque type ( varie du simple au triple). Le minimum de TDC nécessaire se situe aux environs de 900h, 19% des exploitations enquêtées n’atteignent pas ce seuil. Le TDC doit permettre d’assurer le fonctionnement de l’exploitation (entretien, comptabilité, réunions…) et de disposer de temps libre. La moyenne régionale est de 1235 heures par personne de la CB et varie de 435 à 2076 heures. Le minimum de TDC nécessaire semble se situer aux environs de 900h, 19% des exploitations enquêtées n’atteignent pas ce seuil. Globalement, le TDC semble donc suffisant mais il n’empêche pas les agriculteurs de se sentir surchargés notamment par le travail administratif. A noter que ce TDC est peu variable si on regarde les moyennes par type de système (comme si les systèmes adaptaient leurs activités à la main d’œuvre disponible. Cependant, la variabilité intra système reste très forte.  synthèse Sud Aquitaine / EDE 40 sur BT financés par CRAA / Docup 2001

24 Repères par rapport au Temps Disponible Calculé (TDC): Diap 2, la saisonnalité
Pour ces BT réalisés en 1996 principalement en zone Sud Aquitaine et côteaux secs, les différences entre saison sont peu marquées (déficit au Printemps), mais les taches du TS de Printemps sont les moins différables synthèse régionale BT 1997

25 Repères par rapport au Temps Disponible Calculé (TDC): TDC et Bénévolat
Les bénévoles sont présents dans 40% des exploitations,   Dans 20% des cas: TA bénévole > ou = à TDC. Les bénévoles, présents dans 40% des exploitations, réalisent 1 heure de travail par jour en moyenne.  Si pour une raison quelconque, ceux-ci disparaissaient, le TDC serait inférieur à 900 heures dans 60% des exploitations faisant appel à cette main d’œuvre.  Dans 20% de ces élevages, le TA des bénévoles est même équivalent ou supérieur au TDC.  Sans bénévolat, ces exploitations ne fonctionneraient plus, dans le même schéma d’organisation synthèse Sud Aquitaine / EDE 40 sur BT financés par CRAA / Docup 2001

26 Repères par rapport au Travail Rendu
synthèse régionale BT 1997 Par Exploitation, le travail rendu représente en moyenne 10 jours par an, alors que le travail de saison fait par des personnes hors cellule de base est de 25 jours en moyenne seules 9 % des exploitations ne rendent pas du travail à d’autres exploitations 12 % rendent plus qu’ils ne reçoivent, tous les autres sont « déficitaires »

27 Autres repères Agreste (RGA) BDD Optilait (OCL)
étude prospective Midi-Pyrénées (enquête sur échantillon représentatif) les premières réunions PAQVEL (positionnement éleveurs sur solutions proposées)

28 AGRESTE: Résultats du RGA en Aquitaine: Toujours moins d’actifs non salariés

29 BDR OPTILAIT: l’évolution des structures est relativement rapide et linéaire: rien ne montre que la tendance va fléchir A partir de données OPTILAIT (échantillon constant de 1600 élevages) Evolution sur ces 10 dernières années des tailles de cheptel et de la SAU moyenne d’exploitations laitières de 2 régions de la zone OPTILAIT

30 BDR OPTILAIT + repères travail: Conséquences
+ 1 ha / an, c’est au moins + 1,5 jrs de TS par an soit + 15 jours en 10 ans en Sud Aquitaine. en Côteaux secs, compter + 25 jours + 1 UGB/an, c’est au moins + 30 h de TA par an, soit h en 10 ans en Sud Aquitaine. en Côteaux secs, compter heures soit au total de 400 à 600 h de travail en plus (sur 10 ans) quand rien n’est fait pour améliorer la productivité du travail .. dans un contexte où se réduit la force de travail familiale . S’adapter est vital

31 solutions de réduction ou d’aménagement du travail évoquées au cours des réunions de sensibilisation PAQVEL dans les P.A.

32 Echantillon représentatif de 85 exploitations enquêtées en 1999
Une des conclusions de l’étude élevage 2005 Midi-Pyrénées * 25 % d’Expl avec gros déficit MO * Beaucoup d’Expl avec 1 PCB seulement Le travail dans les exploitations BOVIN LAIT de Midi-Pyrénées Echantillon représentatif de 85 exploitations enquêtées en 1999

33 valorisation de l’enquête réalisée auprés des éleveurs du réseau de fermes de références de la filière

34 pour 120 Producteurs de lait du Sud-Ouest Avenir de la main d’Oeuvre…
rester stable 58% augmenter 9% diminuer 33% Dans les années à venir, la main d’œuvre de l’exploitation va probablement … Là où la main d’œuvre va augmenter, il n’est pas dit qu’il y aura moins de travail: ceci peut correspondre à une augmentation des surfaces et des activités… Un tiers des éleveurs déclare que la main-d’œuvre va diminuer : c’est considérable !

35 Pour 120 Producteurs de lait du Sud-Ouest ressenti général par rapport au TA
Finalement, la pénibilité n’est pas ce qui est mis en avant, peut-être parce que dans la filière lait beaucoup d’efforts ont déjà été consacrés à la réduction des tâches pénibles. dans le Sud-Ouest 30 % des éleveurs considèrent qu’ils passent trop de temps sur le travail quotidien (TA pour l’essentiel), c’est 23 % dans l’ échantillon national

36 pour l’ensemble des éleveurs de l’échantillon national (dont les 120 Producteurs de lait du Sud-Ouest) Tâches jugées les plus pénibles Les travaux jugés les plus pénibles sont ceux qui ont trait à la gestion des déjections animales. Viennent ensuite les activités traite, vêlages et manipulation des animaux. Ce n'est pas l'alimentation qui est vécue comme la tâche la plus pénible.

37 pour l’ensemble des éleveurs de l’échantillon national (dont les 120 Producteurs de lait du Sud-Ouest) A-t’on moins de pénibilité quand la santé économique est meilleure ? groupe « certaines taches sont trop pénibles » (9%) en moyenne sur l’échantillon E.B.E. par UMO Familiale (€) 27400 38700 ( F) Annuités des Emprunts à Long et Moyen Terme 13500 18000 Il est clair que les difficultés à financer des investissements peuvent être un frein à la réduction de la pénibilité

38 pour 120 Producteurs de lait du Sud-Ouest appréciation par rapport aux pointes de travail
Au niveau national, par rapport aux mêmes questions, les réponses sont respectivement 9%, 55% et 36 % : il semble que les éleveurs du Sud-Ouest aient davantage de problèmes pour le passage des périodes de pointe de travail. Dans 2 exploitations sur 3, les pointes de travail de saison constituent une période vécue douloureusement. Dans 14 % des cas, il y a même clairement le sentiment que le troupeau peut en subir les conséquences

39 pour l’ensemble des éleveurs de l’échantillon national (dont les 120 Producteurs de lait du Sud-Ouest) Est-ce que les éleveurs qui ressentent le plus de problèmes de travail sur l’atelier lait sont ceux qui gèrent le plus difficilement les pointes de travail ? Dans notre échantillon, 84% des éleveurs ayant un problème dans le travail d'astreinte, déclarent un problème de gestion de pointes de travail contre seulement 55% des éleveurs qui s'en sortent dans le travail d'astreinte.

40 Prendre plus de vacances : 43 % Se libérer au quotidien : 20 %
pour 120 Producteurs de lait du Sud-Ouest Attentes vis à vis du temps libre Se libérer plus souvent les week-ends : 49 % (53 % dans échantillon national) Prendre plus de vacances : 43 % (37 % dans échantillon national) Se libérer au quotidien : 20 % (31 % dans échantillon national) Se libérer de tout : 7 % Sans réponses : 9 % par rapport aux autres les éleveurs de l’échantillon sud-ouest sont plus demandeurs sur les vacances et moins sur la charge de travail au quotidien beaucoup d’éleveurs avaient coché plusieurs réponses à la fois Associé ou non au désir de libérer aussi du temps au quotidien ou pour les vacances, le souhait de libérer des Week End est partagé par un éleveur sur deux. Le désir de libérer du temps au quotidien n’arrive qu’en troisième position (un quart des éleveurs quand même)

41 pour l’ensemble des éleveurs de l’échantillon national (dont les 120 Producteurs de lait du Sud-Ouest) Les exploitants en société parviennent-ils à se libérer davantage de week-end que les autres ? Dans l'échantillon, on ne se libère pas davantage le week-end dans les GAEC successoraux que dans les exploitations individuelles. Par contre, la tendance s'inverse dans les autres formules sociétaires.

42 pour 120 Producteurs de lait du Sud-Ouest Situation par rapport au temps libre
Nb Dimanches libérés / an Nb Semaines libérées / an 67% 45% un à 5 12% 1 31% 6 à 10 6% 2 17% 11 à 20 5% 3 5% plus de 20 11% 4 3% Nb W-E libérés / an la situation explique les attentes (exprimées ds tab précédent) 72% On peut faire un commentaire alarmiste et misérabiliste de ces tableaux, on peut aussi en faire un commentaire plus optimiste: 22 % des éleveurs peuvent prendre plus de 5 Dimanches par an 25 % prennent au moins deux semaines de vacances etc… en tous cas, il ne faudra pas manquer de faire aussi s’exprimer ceux qui ont trouvé des solutions pour se libérer (et qui ne sont pas si rares……) un à 5 15% 6 à 10 3% 11 à 20 5% plus de 20 5%

43 pour l’ensemble des éleveurs de l’échantillon national (dont les 120 Producteurs de lait du Sud-Ouest) Solutions envisagées Les solutions pour diminuer le temps de travail vont préférentiellement vers la recomposition de la main d’œuvre et l’amélioration des bâtiments et de la salle de traite. Afin de diminuer la pénibilité, les exploitants choisissent plutôt des solutions en terme de mécanisation ou d’amélioration des bâtiments

44 pour l’ensemble des éleveurs de l’échantillon national (dont les 120 Producteurs de lait du Sud-Ouest) le « moral » et le ressenti par rapport au travail d’astreinte NB: Les 78 exploitants qui déclarent renoncer à se réinstaller dans les mêmes conditions ont des annuités moyennes de € alors que la moyenne de l'échantillon est de € (valeur test de – 2.55).


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