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Réussir l’épreuve écrite de SVT

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Présentation au sujet: "Réussir l’épreuve écrite de SVT"— Transcription de la présentation:

1 Réussir l’épreuve écrite de SVT
Méthodologie et points clés du programme

2 L'épreuve écrite obligatoire de SVT au baccalauréat
Les points Clés du Programme : partie 1 A Génétique et évolution Présentation de l'épreuve Les points Clés du Programme : partie 1 B le domaine continental et sa dynamique Points clés et évaluation Partie I Les points Clés du Programme : partie 2 A Géothermie et propriétés thermique de la Terre Points clés et évaluation Partie II exercice 1 Les points Clés du Programme : partie 2 B La plante domestiquée Points clés et évaluation Partie II exercice 2 Cliquez sur l'un des onglets Pour accéder à la page Ou cliquez pour passer à la diapo suivante Les points Clés du Programme : partie 3 A le maintien de l'intégrité de l'organisme Les points Clés du Programme : partie 3 B Neurone et fibre musculaire

3 L'épreuve écrite obligatoire de SVT au baccalauréat
Elle porte sur 3 types d'exercices : La partie I : sur 8 points elle évalue la maîtrise des connaissances  Soit sous forme de synthèse soit de synthèse + QCM , soit seulement de QCM S'il s'agit d'une synthèse ce peut être avec ou sans documents à exploiter La partie II : Exercice 1 : sur 3 points Elle évalue la capacité à raisonner pour répondre à un problème scientifique en exploitant des documents. La partie II : Exercice 2 : sur 5 points Elle évalue la capacité à pratiquer une démarche scientifique pour répondre à un problème en croisant ses connaissances et les arguments tirés de l’exploitation de documents. RETOUR SOMMAIRE

4 Les points clefs de la partie I:
S'il s'agit d'une synthèse: Bien lire l'introduction du sujet et la question: identifiez les mots clefs qui vont vous guider le choix des connaissances à développer qui peuvent être dans des chapitres ou des parties différentes de votre cours de SVT. Introduire en 3 temps: présenter le sujet Formuler le problème Présenter les différentes parties (3 ou 4 maxi) Rédiger vos parties en laissant un espace entre chaque avec une idée par partie S'il y a un ou des documents essayez de les exploiter de manière rigoureuse (donner des valeurs chiffrées...) Conclure en répondant à la question RETOUR SOMMAIRE

5 L'évaluation de la partie I
Deux barèmes sont envisageables pour la synthèse: Dans tous les cas on recherche: Des connaissances Qui soient bien mises en relation et bien articulées (des parties différentes avec chacune une idée qui complète logiquement la partie précédente) Une bonne qualité de redaction (introduction, conclusion, expression, orthographe, schémas propres, annotés et titrés) sur 5 points s'il y a aussi un QCM (alors sur 3 points) Sur 8 points s'il n'y a qu'une synthèse RETOUR SOMMAIRE

6 Les points clés de la partie II: Exercice 1:
Ce peut être une question dont il faut trouver la réponse en exploitant les documents Ou ce peut être un QCM (dans ce cas une seule des 4 réponses proposées est exacte) On cherche à évaluer plusieurs capacités : la capacité de comparer des résultats des documents, d'extraire et organiser des informations La capacité à argumenter et à relier des informations, RETOUR SOMMAIRE

7 Les points clefs de la partie II: Exercice 2
Proche de l'exercice de la partie I, on évalue ici l'argumentation : lisez bien l'introduction du sujet et la question: Introduisez en 3 temps (présentation sujet/ problème/ présentation plan) Rédigez vos parties en utilisant les documents comme argument: à chaque fois citez le document que vous utilisez Tout n'est pas à décrire dans le document : seulement ce qui apporte une réponse au problème soyez précis: donnez des évolutions, des valeurs chiffrées s'il y en a (tableau graphique) Soignez la logique de l'argumentation(on observe que..., donc..., car..., or on sait que...) Rédigez vos parties en y incluant vos connaissances pour compléter les arguments apportés par les documents. Concluez en donnant une réponse claire à la problématique RETOUR SOMMAIRE

8 L'évaluation de la partie II exercice 2
Démarche cohérente qui permet de répondre à la problématique Démarche maladroite et réponse partielle à la problématique Aucune démarche ou démarche incohérente Les éléments scientifiques issus des documents et des connaissances sont suffisants et bien mis en relation. Le propos est étayé par un (des) schéma(s) bien choisi(s) scientifiquement rigoureux et bien construits. Les éléments scientifiques issus des documents et des connaissances, sont bien choisis et bien mis en relation mais incomplets, et le propos est étayé par un (des) schéma(s) bien choisi(s) scientifiquement rigoureux et bien construits. ou Les éléments scientifiques issus des documents et des connaissances, sont bien choisis, bien mis en relation et complets mais accompagnés de schéma(s) de médiocre qualité Des éléments scientifiques issus des documents et des connaissances bien choisis mais incomplets et insuffisamment mis en relation. schéma(s) bien choisi(s) scientifiquement rigoureux et bien construits. Des éléments scientifiques issus des documents et des connaissances bien choisis mais incomplets et insuffisamment mis en relation. schéma(s) de qualité médiocre Des éléments scientifiques pertinents issus des documents et/ou des connaissances sans mise en relation. Présence d’un ou de plusieurs schémas de qualité médiocre 5 points 4 points 3 points 2 points 1 point L'évaluation se fait de manière globale selon ce barème: Elle prend en compte: La bonne exploitation des documents pour trouver des éléments Les connaissances La mise en relation dans une argumentation qui réponde à la question RETOUR SOMMAIRE

9 Les points clés du programme: Partie 1 A Génétique et évolution
Le brassage génétique et sa contribution à la diversité génétique : La meïose permet à partir d'une cellule diploïde d'obtenir quatre cellules haploïdes : au cours de cette division les chromosomes subissent un brassage interchromosomique lors de la 1ère division et un brassage intrachromosomique (crossing-over =échanges de fragments de chromosome) La fécondation aléatoire aboutie à une diversité importante de zygotes (seule une petite partie de ceux-ci est viable). Diversification génétique et diversification des êtres vivants la diversité génétique du vivant  ne peut s'expliquer seulement par la meïose et fécondation : D'autres mécanismes existent : hybridation , polyploïdisation, transfert des gènes viraux... Les gènes du développement peuvent s'activer avec une plus ou moins grande intensité ou avec une chronologie différente, conduisant à une forme très différente sans pour autant qu'il y ait une grande différence génétique au départ. Même sans modification génétique, le vivant peut être modifié : symbiose/ Comportements nouveaux. RETOUR SOMMAIRE

10 Les points clés du programme: Partie 1 A Génétique et évolution
De la diversification des êtres vivants à l'évolution de la biodiversité: La sélection naturelle (l'environnement favorise certains individus qui se reproduisent mieux) et la dérive génétique (les individus se reproduisant plus sont déterminés de manière aléatoire) transforment les populations au cours du temps : c'est l'évolution. Ces mécanismes peuvent donc entraîner l'apparition de nouvelles espèces. Même s'il est difficile de définir cette notion, on considère qu'une espèce est une population d'individus isolée génétiquement (ne peut se reproduire avec d'autres). Elle n'existe que pendant un laps de temps fini. Un regard sur l'évolution de l'Homme L'Homme et le chimpanzé montrent une très forte proximité génétique (leur différence s'explique en grande partie des chronologies différentes d'expression des gènes …). Les ancêtres des primates actuels sont anciens (-60 Ma) et très différents de leurs descendants Les fossiles du genre « Homo » sont caractérisés par une face réduite, un dimorphisme sexuel peu marqué sur le squelette, un style de bipédie avec trou occipital avancé et aptitude à la course à pied, une mandibule parabolique, etc... Ils partagent aussi (mais avec d'autres primates ) la fabrications d'outils variés et des pratiques culturelles. Il est difficile dans établir un arbre phylogénétique . RETOUR SOMMAIRE

11 Les points clés du programme: Partie 1 A Génétique et évolution
Les relations entre organisation et mode de vie, résultat de l'évolution : l'exemple de la vie fixée chez les plantes : Les plantes sont adaptées à une vie fixée, à la fois en contact avec l'air et le sol : Elles disposent de grandes surfaces d'échanges avec l'air (feuilles : pour capter la lumière pour échanger des gaz : CO2 et O2 ) et avec le sol (racines pour l'eau et les ions qu'elle contient). Entre les deux il existe un système de transport (système conducteur des différentes sèves ) Elles possèdent des structures et des mécanismes de défense (contre les agressions du milieu, les prédateurs, les variations saisonnières) La fleur est un élément clé de sa reproduction : Son organisation et sa mise en place est contrôlée par des gènes du développement Elle permet la rencontre des gamètes et se transformera, après fécondation en fruit contenant les graines. Souvent cette rencontre est permise par des pollinisateurs qui ont co-évolué avec la plante. RETOUR SOMMAIRE

12 Les points clés du programme: Partie 1 B le domaine continental et sa dynamique
La caractérisation du domaine continental : lithosphère continentale, reliefs et épaisseur crustale 2 lithosphères :On distingue 2 lithosphères différentes (lithosphère= croûte+ manteau lithosphèrique) , l'une, continentale, dont la croûte est constituée de granite , elle est assez épaisse et plutôt âgée (jusqu'à 4 Ga) l'autre, océanique, dont la croûte est constituée de basalte (plus dense), elle est plus fine et plus « jeunes » : 200 Ma . La lithosphère étant en équilibre sur l'asthénosphère (=isostasie) cela explique deux altitudes différentes des reliefs (océanique=relief bas, continental=assez élevé). Les montagnes :Le relief des montagnes est dû à un raccourcissement important de la lithosphère (convergence) qui entraîne un épaississement de la croûte par empilement. Donc une montagne possède à sa base une forte racine crustale. Les témoins de ces événements sont nombreux : indices tectoniques (plis,failles,nappes) Indices pétrographiques (métamorphisme=transformation des minéraux s'effectuant à l'état solide, traces de fusion partielle comme du volcanisme). La convergence lithosphérique : contexte de la formation des chaînes de montagnes Dans les montagnes, des vestiges d'océans (ophiolites=ancienne lithosphère océanique), de côtes (marges passives) sont le témoin de la fermeture d'un ancien océan qui a précédé la collision entre deux lithosphères continentales. Des nappes (partie importante de croûtes arrachées) s'empilent alors que la lithosphère continentale est entraînée en subduction RETOUR SOMMAIRE

13 Les points clés du programme: Partie 1 B le domaine continental et sa dynamique
Les roches entraînées en profondeur subissent alors des transformations à l'état solide (= métamorphisme de haute pression et haute température). Le moteur de la subduction est l'augmentation importante de la densité de la lithosphère qui en vieillissant s'est épaissie et refroidie (éloignement de la dorsale) et plonge alors dans l'asthénosphère. Le magmatisme en zone de subduction : une production de nouveaux matériaux continentaux Lors de la subduction, les roches en se métamorphisant libèrent de l'eau, ce qui permet la fusion partielle de la péridotite. Ce magma visqueux est à l'origine d'un volcanisme explosif quand il arrive en surface et de la formation de roches grenues (granitoïdes) quand il cristallise en profondeur. Donc, cela forme de nouvelles roches «continentales» . La disparition des reliefs Certains phénomènes tectoniques (effondrements avec failles normales) ainsi que l'altération des roches et l'érosion font petit à petit disparaître les reliefs. Les éléments libérés (solides ou dissous) sont alors transportés (souvent par l'eau) et sédimentent plus loin en formant des roches sédimentaires. On a donc un recyclage de la coûte continentale. Ceci explique l'observation à l'affleurement de roches formées en profondeur dans des chaînes de montagne plus anciennes (l'isostasie permettent leur remontée). RETOUR SOMMAIRE

14 Les points clés du programme: Partie 2-B La plante domestiquée
Les points clés du programme: Partie 2 A:Géothermie et propriétés thermiques de la Terre La Terre est une machine thermique : elle produit de l'énergie principalement grâce à la désintégration radioactive des roches . Donc plus on s'enfonce en profondeur plus la température augmente=gradient géothermique. Cette chaleur est transférée vers la surface par convection (le plus efficace) et la conduction. En surface on parle de flux géothermique(très important aux dorsales=magmatisme et production de lithosphère, il est très faible dans les zones de subduction=vieille lithosphère froide ). L'Homme peut utiliser une infime partie de cette énergie inégalement répartie. Les points clés du programme: Partie 2-B La plante domestiquée L'Homme sélectionne depuis longtemps des plantes qui sont devenues avec le temps très différentes de leurs ancêtres naturels. Au sein d'une même espèce il renforce souvent cette biodiversité en créant différentes variétés. Pour cela il peut utiliser des techniques de croisement (hybridation,...) ou agir directement sur le génome des plantes par génie génétique. RETOUR SOMMAIRE

15 Les points clés du programme: Partie 3 A : Le maintien de l'intégrité de l'organisme : quelques aspects de la réaction immunitaire L'immunité innée :Génétiquement héritée ( dès la naissance), est très conservée au cours de l'évolution. Mécanisme essentiel de la réaction innée la réaction inflammatoire est basée sur une réponse stéréotypée en cas d'infection ou de lésion (rougeur, chaleur, gonflement, douleur) . Elle est basée sur l'action de différentes cellules ( macrophages, monocytes, granulocytes, phagocytose, mastocytes) communiquant entre elles grâce à des médiateurs chimiques de l'inflammation. Sur lesquels portent l'action des médicaments anti-inflammatoires. La réaction innée prépare et participe aussi à la suite de la réaction immunitaire. L'immunité adaptative (propre aux seuls vertébrés) cible plus spécifiquement des molécules ou des parties de molécules. Les cellules de l'immunité adaptative ne peuvent devenir effectrice qu'après les phénomènes de sélection (= rencontre et reconnaissance de l'antigène présenté par une cellule présentatrice d'antigène), d'amplification(=multiplication) différenciation clonale (transformation des cellules en cellules effectrices). Parmi ces cellules il existe les plasmocytes (différenciation à partir des L.B) qui produisent des immunoglobulines dont les extrémités des 2 bras courts permettent la fixation d'antigène par complémentarité de forme. Les lymphocytes T cytotoxiques détruisent les cellules infectées par contact. Elles communiquent entre elles par des médiateurs (interleukine,...) RETOUR SOMMAIRE

16 Les points clés du programme: Partie 3 A : Le maintien de l'intégrité de l'organisme : quelques aspects de la réaction immunitaire Des mécanismes génétiques aléatoires et complexes permettent de produire une très grande variété de cellules répondant chacune à une molécule différente. Un mécanisme de répression des cellules autoréactives est donc nécessaires pour éviter les réactions auto-immunes . Le phénotype immunitaire au cours de la vie Lorsqu'un antigène a entraîné une réaction, des cellules mémoires de l'immunité adaptative (L.B, L.T.,..) à longue durée de vie sont mises en place. Elles permettent une réaction plus rapide et plus importante la seconde fois. Les vaccins jouent sur ce principe :ils contiennent des antigènes non pathogènes et un adjuvant (qui déclenche la réaction immunitaire innée indispensable à l'installation de la réaction adaptative). Donc le phénotype immunitaire ne cesse d'évoluer au long de la vie (de nouvelles cellules mémoires apparaissent soit pas rencontre fortuite avec un antigène, soit par vaccination / de nouveaux lymphocytes naïfs sont produits aléatoirement en continue) RETOUR SOMMAIRE

17 Les points clés du programme: Partie 3-B Neurone et fibre musculaire : la communication nerveuse
Le réflexe myotatique met en jeu différents éléments : un stimulus (tension d'un muscle) est capté par un récepteur (fuseaux neuromusculaires) qui envoie un message nerveux (codage électrique en fréquence) par une fibre nerveuse dont l’extrémité est située dans un centre nerveux (moelle épinière) et fait synapse (avec les dendrites d'un motoneurone. Le signal est alors converti en message chimique (dans le bouton synaptique, les neuromédiateurs -dont la concentration varie en fonction de l'intensité du message- sont libérés par exocytose dans la fente synaptique et se fixent sur des récepteurs post-synaptiques ce qui peut engendrer de nouveaux potentiels d'actions dans le motoneurone) . Le nouveau message est transmis par l'axone jusqu’à la synapse neuro-musculaire ou le neuromédiateur (l'acetylcholine) entraîne la contraction du muscle). De la volonté au mouvement : Des aires motrices spécialisées du cortex commandent les mouvements volontaires. Leurs messages moteurs transitent par des faisceaux de neurones dans la moelle épinière jusqu'aux motoneurones qui intègrent les différents messages pour engendrer un message adapté, unique, pour le muscle. Motricité et plasticité cérébrale :après la perte de fonction accidentelle d'une petite partie du cortex moteur, le cerveau possède des capacités de récupération . De plus chaque individu présente des cartes motrices différentes : différences qui s'acquièrent au cours du développement, de l'apprentissage des gestes et de l'entraînement. Cette plasticité ainsi que le nombre de neurones diminuent avec l'âge. RETOUR SOMMAIRE


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