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Une idée forte que j’ai retenue

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Présentation au sujet: "Une idée forte que j’ai retenue"— Transcription de la présentation:

1 Une idée forte que j’ai retenue
Un questionnement En attendant que tout le monde arrive… Regrouper par caractéristiques…

2 Apprentissage de l’oral à l’école maternelle parcours de formation continue suite à la conférence de Pierre PEROZ à Colmar le 7 octobre 2015

3 Conférence de Pierre Péroz Mutualisation / Approfondissement :
Parcours de formation Temps 1 3h Temps 2 2h Temps 3 Temps 4 questionnaire 7/10/2015 Conférence de Pierre Péroz Les principes fondateurs de la pédagogie de l’écoute Présentiel : Identifier les principes qui régissent le modèle pédagogique énoncé Outiller les enseignants pour mettre en œuvre la démarche Appropriation Mettre en œuvre le DPED Observer les progrès compétences langagières Développer des pratiques pérennes Mutualisation / Approfondissement : Identifier les leviers de réussite Proposer un enseignement « équilibré » du langage

4 Temps 2 1ère partie : caractériser la démarche préconisée par Pierre PEROZ Différencier compétences langagières ou linguistiques Identifier les invariants de cette pratique pédagogique : Le système des jetons La variation des supports Le format des séances Les postures de l’enseignants 2ème partie : préparer la mise en œuvre en classe Les postures de l’enseignant observation d’une séance : se mettre en situation d’écoute outils pour démarrer la mise en œuvre Conclusion : les enjeux du langage

5 Caractérisation de la démarche préconisée par Pierre PEROZ
1ère partie Retour sur les idées et les questionnements formulés Caractérisation de la démarche préconisée par Pierre PEROZ

6 La démarche préconisée…
Il pratique le DPED Il met en œuvre un format de séance Il varie les supports 2 1 3 Les compétences langagières sont au service des compétences linguistiques Il apprend en parlant et en écoutant les autres ; les jetons Il allonge ses interventions pour aller vers le discours monogéré

7 Du côté du savoir… « parler » fait appel à deux compétences :
La compétence langagière : - compétence conversationnelle, - capacité à parler, - écouter les autres, - suivre le déroulement de la conversation. La compétence linguistique : - conjugaison, - syntaxe, - morphologie, - vocabulaire. Éfinir ensemble une culture commune de quoi on parle Apprendre à parler c’est développer ces deux compétences

8 Compétences langagières Reformuler pour se faire comprendre

9 Quels sont les objectifs langagiers visés ?
PARLER - 4 à 6 propositions enchaînées à la fin de la GS pour apprendre les catégories grammaticales dont l’élève aura besoin ensuite (reprises pronominales par exemple, qu’il faut entraîner) et du vocabulaire. - 6 à 12 propositions nécessaires pour être confronté à la mise en ordre de son discours et acquérir des compétences discursives. . PARLER DANS LE THEME focaliser son esprit sur un thème proposé par l’ adulte pendant 25 minutes. Cette compétence s’acquiert à l’école maternelle. CP : 45 minutes d’attention qui seront exigées par rapport à des objectifs de lecture qui peuvent être plus rébarbatifs PARLER LONGTEMPS

10 Compétences linguistiques S’exprimer dans un langage syntaxiquement correct et précis

11 Problématique de l’oral à l’école
Objectifs notionnels Objectifs langagiers Passer du dialogue pédagogique ordinaire (DPO) au dialogue pédagogique à évaluation différé (DPED) DPO , un rythme binaire : question (de l’enseignant), réponse de l’élève, évaluation de la réponse + question suivante, etc. QRQRQRQRQRQRQR DPED on pose une question et on écoute tous les élèves qui lèvent le doigt. on diffère l’évaluation et la nouvelle question.

12 Le DPED vs le DPO Cf alain diapo comparative

13 Le système des jetons au service du DPED

14 Comment mettre les élèves en projet d’écoute ?
La méthode des jetons Comment mettre les élèves en projet d’écoute ? Les règles suivantes (à expliciter aux élèves) : Chaque fois qu’on parle, on gagne un jeton Pour avoir la parole, on lève le doigt Quand on a fini de parler, je vous donne un jeton que vous posez sur le sol devant vous. Il ne faut pas jouer avec Attention, la maîtresse peut reprendre un jeton à celui qui coupe la parole ou bien à celui qui joue avec ses jetons

15 Quel gain pour les élèves ?
Clarté cognitive face à la tâche à accomplir en langage : les enjeux sont clairs car la participation de chacun est matérialisée L’enseignant régule mieux les échanges et l’enfant évalue sa capacité à participer PRISE DE CONSCIENCE DE SES PERFORMANCES = ATTITUDE METALINGUISTIQUE

16 Le format de séance Les principes de questionnement
Les 3 niveaux de questionnement

17 RETENIR LES 5 GRANDS PRINCIPES DE QUESTIONNEMENT :
1.Questionnement collectif : l’enseignant s’adresse à tous les élèves et ne rebondit pas sur une réponse entraînant un dialogue particulier avec un enfant. 2.Clarté cognitive : les élèves savent ce qu’ils doivent faire. Réfléchir aux questions pour trouver des réponses est un travail. 3.Répétition: l’enseignant n’a pas un stock de questions à poser (mitraillette) il répète plusieurs fois la même question. 4. Exhaustivité : le travail porte sur la notion de centration thématique «est ce qu’on a tout dit, peut - on se rappeler d’autre chose ? » 5. Non –réponse : l’enseignant ne donne pas les réponses, il relit le passage dans lequel «en écoutant bien on trouvera la réponse »

18 De quoi vous souvenez-vous ?, Qu’est-ce qu’on a oublié de dire ?
Le questionnement 1e partie : l’histoire De quoi vous souvenez-vous ?, Qu’est-ce qu’on a oublié de dire ? 2ème partie : les personnages Qui sont les personnages de cette histoire ? Que pensez-vous de ... les motivations, les pensées Que voulait-il ... a-t-il obtenu ce qu’il voulait ? 3ème partie : le sens Qu’auriez-vous fait à la place de... Que fera X maintenant ? Avez-vous aimé cette histoire? Des outils intellectuels qui leur permettront d’entrer dans la compréhension des histoires.

19 Le déroulement d’une séance
Cf Alain format de séance

20 LES ELEVES

21 Progressent…

22 Comment : étayage entre élèves
après la question, chaque E s’appuie sur les réponses précédentes pour y répondre. au maître de mesurer son rythme d’intervention pour favoriser l’étayage entre E. le maître n’a pas d’attente particulière, cela facilite les hypothèses des élèves. ses interventions sont neutres (« mh mh ») ou aidantes (« au…., qui peut l’aider ? ») Il n’y a pas de conversation privée avec un seul E. pour que l’étayage soit possible, il faut travailler en groupes hétérogènes. Cela permet de réintégrer les PP dans le circuit de la parole (avec les reprises autorisées de ce qui a déjà été dit). L’étayage entre E se fait par proximité de compétences.

23 Le système des jetons au service du DPED

24 Comment mettre les élèves en projet d’écoute ?
La méthode des jetons Comment mettre les élèves en projet d’écoute ? Les règles suivantes (à expliciter aux élèves) : Chaque fois qu’on parle, on gagne un jeton Pour avoir la parole, on lève le doigt Quand on a fini de parler, je vous donne un jeton que vous posez sur le sol devant vous. Il ne faut pas jouer avec Attention, la maîtresse peut reprendre un jeton à celui qui coupe la parole ou bien à celui qui joue avec ses jetons

25 Quel gain pour les élèves ?
Clarté cognitive face à la tâche à accomplir en langage : les enjeux sont clairs car la participation de chacun est matérialisée L’enseignant régule mieux les échanges et l’enfant évalue sa capacité à participer PRISE DE CONSCIENCE DE SES PERFORMANCES = ATTITUDE METALINGUISTIQUE

26 Proposer des bilans de langage :
1. INDUIRE UNE POSTURE REFLEXIVE SUR LE LANGAGE Lorsque les élèves sont familiarisés avec les jetons : A quoi servent les jetons ? À ce que tous les élèves parlent pendant la séance Que faut-il faire alors ? Respecter les règles et essayer de gagner au moins 5 jetons 2. INDUIRE UNE REFLEXION SUR LE SENS DES ACTIVITES Lorsque les mécanismes d’étayage entre élèves se mettent en place : Pourquoi faut-il parler pendant les séances de langage ? Comment faites-vous pour trouver des réponses ? 3. INDUIRE UNE REFLEXION SUR LA PARTICIPATION AUX ECHANGES Qui parle lors des séances de langage ? Comment peut-on aider ceux qui parlent le moins ?

27 2ème partie

28 La demande Mettre en œuvre avec un même groupe une succession de séances en respectant les contraintes du dispositif Procéder à une analyse de ce qui se passe - Mise en pratique être à l’écoute des élève La vidéo peut être un point d’appui

29 Les caractéristiques de la démarche :
Le format des séances Le régulation par les jetons La variation des activités narratives Les postures de l’enseignant Les réactions des élèves

30 Les enjeux « L’objectif est de permettre à chacun de pouvoir dire, exprimer un avis ou un besoin, questionner, annoncer une nouvelle. L’enfant apprend ainsi à entrer en communication avec autrui et à faire des efforts pour que les autres comprennent ce qu’il veut dire ». Parler, c’est établir principalement une relation médiatisée avec les choses, les actions et l’autre; c’est s’éloigner du plaisir de l’expérience intime immédiate et accepter de partager; tous les enfants n’y sont pas prêts en situation scolaire. Or, l’un des grands objectifs du cycle est de «communiquer avec les adultes et les autres enfants par le langage, en se faisant comprendre». Il faut donc établir et maintenir la communication entre l’enfant et les adultes de la classe ainsi que celle qui se réalise entre lui et les autres enfants. Ressources maternelle - Mobiliser le langage dans toutes ses dimensions Partie I - L’oral - Cadrage général

31 Langage au service de la réussite des élèves
Communiquer Langage objet social et culturel Mettre à distance Élaborer sa pensée Esprit critique et autonomie


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