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Publié parDamien Chrétien Modifié depuis plus de 9 années
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Le modèle de Black & Litterman Equilibre et croyances
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Les motivations du modèle de Black- Litterman La performance limitée des exercices d’optimisation. In 1989 Robert Litterman posa une question to Fischer Black: o “Our asset allocation optimizer is extremely sensitive to its inputs. What can we do?”
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Black & Litterman (1992) Black and Litterman (1992) “Global Portfolio Optimization” use the same formula to combine a prior, “Equilibrium” with an investor’s “Views”
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Le modèle de B&L L’objectif : un cadre permettant de mixer les informations issues des données et les opinions, Notamment pour gérer les erreurs d’estimation
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B & L : un a priori L’ « information » additionnelle de Black & Litterman : l’a priori que l’économie doit graviter autour du CAPM, Donc les rendements des titres doivent être liées à ceux du CAPM
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B&L Comment calculer les rendemnts du CAPM? Quelles views?
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Les rendements du CAPM Les rendements implicites Sharpe (1974) « Imputing expected security returns from portfolio composition », Journal of Financial & Quantitative Analysis, June, pp. 463- 72
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Deux approches pour déterminer le rendement implicite le CAPM le rendement implicite = le rendement théorique défini notamment par le béta l’optimisation inverse (Sharpe (1974))
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L’optimisation inverse Les conditions marginales (avec actif sans risque) Où est le portefeuille de marché
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L’optimisation inverse (suite) Le coefficient d’aversion au risque
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Le portefeuille de marché
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Mixer diverses informations Les fondements statistiques
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Les fondations statistiques La réponse statistique : Theil and Goldberger (1961) “On Pure and Mixed Statistical Estimation in Econometrics.” Combiner une information a priori avec un échantillon. “mixed estimation”
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Les fondations statistiques
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Les fondations statistiques
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Les fondations statistiques Exemples de seconde source d’information : La théorie économique Pour Fischer Black, le CAPM décrivait l’état autour duquel devait graviter l’économie réelle.
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Les fondations statistiques Exemples de seconde source d’information (suite) : Des opinions informées (views) Sur les niveaux des rendements Sur les différences des rendements.
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Les fondations statistiques
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Les fondations statistiques
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Les fondations statistiques
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Les fondations statistiques Pour le système :
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Les fondations statistiques Pour le système :
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Les fondations statistiques Pour le système :
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Le modèle de B & L
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Les fondations statistiques Exemples de seconde source d’information : La théorie économique Pour Fischer Black, le CAPM décrivait l’état autour duquel devait graviter l’économie réelle.
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B & L : un a priori L’ « information » additionnelle de Black & Litterman : l’a priori que l’économie doit graviter autour du CAPM, Donc les rendements des titres doivent être liées à ceux du CAPM
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B & L : un outil L’estimation mixte Theil and Goldberger (1961) “On Pure and Mixed Statistical Estimation in Econometrics.” Combiner une information a priori avec un échantillon. “mixed estimation”
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La formule de B&L La détermination du rendement espéré: un scalaire mesurant le poids accordé au rendement d’équilibre P la matrice des opinions (KxJ) définissant les actifs impliqués dans chaque opinion la matrice de covariance des erreurs dans les opinions Q le vecteur des opinions (Kx1)
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La formule de B&L
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Les fondations statistiques Exemples de seconde source d’information (suite) : Des opinions informées (views) Sur les niveaux des rendements Sur les différences des rendements.
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Le mécanisme de B&L Évaluation des « rendements du marché » par l’optimisation inverse Prise en compte des opinions : opinion absolue : « l’actif A aura un rendement de x% » opinion relative : « l’actif A sur- performera l’actif B par x points de % »
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Le mécanisme de B&L La nature des opinions Des intuitions d’investisseurs Des données empiriques (valeurs des rendements moyens récents) Des prévisions économétriques des rendements
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Exemples de views Un univers de 3 titres 1, 2, 3 2 opinions d’analystes financiers : Le rendement moyen du titre 1 est de 5% Celui du titre 3 de -2% Comment entrer ces opinions dans un modèle économétrique?
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Exemples de views
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Exemples de views
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Exemples de views Dont la matrice P décrit les portefeuilles associées aux views Si l’on a N views et J titres alors P sera une matrice (N,J) Dans l’exemple, P sera alors
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Exemples de views L’équation sera donc :
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Exemples de views Un exemple de views relatives 2 opinions d’analystes financiers : Le rendement moyen du titre 2 dépassera celui du titre 3 de 2% Le rendement des valeurs bancaires (par exemple le titre 1) sera inférieur de 2% à celui des valeurs technologiques (les titres 2 et 3 dans notre univers).
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Exemples de views
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Exemples de views L’équation sera donc :
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Black & Litterman (1992) Black and Litterman (1992) “Global Portfolio Optimization” use the same formula to combine a prior, “Equilibrium” with an investor’s “Views”
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Quelles views ? Par exemple : les rendements historiques (bruités) La contribution de B & L : « ancrer » les données observées à la théorie pour filtrer le bruit.
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Un autre exemple (Idzorek)
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Un exemple 3 opinions : Intern’ Developped Equity va avoir un rendement excédentaire de 5.25% (confiance = 25%) Intern’ Bonds vont sur-performer les US Bonds par 25 pts (confiance = 50%) US Large Growth et US Small Growth vont sur-performer US Large Value et US Small par 2% (confiance = 65%)
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Mise en oeuvre
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La matrice de covariance des erreurs des opinions
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La matrice de « participation » Modélisation uniforme (Satchell & Scowcroft)
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Idzorek
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et ? La solution de He & Litterman (1999) Numériquement :
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Variances des « individual portfolio view »
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Un exemple de mise en oeuvre A partir d’un échantillon initial Resampling des données pour créer des échantillons artificiels Et comparaison des résultats obtenus en appliquant Markowitz, Black & Litterman, ou en sélectionnant le portefeuille equipondéré.
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nompériodicitédébutfinobserv. capitalisati on US LARGE CAP VALUEmensuelledéc-92sept-0717721,74% US MID CAP VALUEmensuelledéc-92sept-071773,02% US SMALL CAP VALUEmensuelledéc-92sept-071771,61% US LARGE CAP GROWTHmensuelledéc-92sept-0717718,01% US MID CAP GROWTHmensuelledéc-92sept-071771,61% US SMALL CAP GROWTHmensuelledéc-92sept-071771,85% EM ASIAmensuelledéc-92sept-071773,19% EM EUROPEmensuelledéc-92sept-071771,61% EM LATIN AMERICAmensuelledéc-92sept-071772,12% EMUmensuelledéc-92sept-0717719,25% JAPANmensuelledéc-92sept-0717715,62% UNITED KINGDOMmensuelledéc-92sept-0717710,36%
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Markowitz Eu ratio de SharpeErvolatilitéVAR 5%TE equipondéré5,47%0,5611,51%15,55%-14,06%2,53% marché5,76%0,5610,29%13,47%-11,86%2,43% optimal9,78%0,8614,30%13,45%-7,83% moyenne3,10%0,5512,23%18,40%-18,03%3,58% écart-type5,28%0,202,80%5,18%8,37%1,84% 5,00%-6,84%0,176,67%12,75%-32,53%0,47% 25,00%-1,22%0,4211,26%13,61%-25,17%1,98% 50,00%4,65%0,5712,73%17,23%-16,16%3,61% 75,00%7,60%0,7014,21%22,10%-10,38%4,96% 95,00%9,65%0,8516,25%29,50%-7,90%6,65%
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Back & Litterman Eu ratio de SharpeErvolatilitéVAR 5% equipondéré5,47%0,5611,51%15,55%-14,06% marché5,76%0,5610,29%13,47%-11,86% optimal9,78%0,8614,30%13,45%-7,83% moyenne7,30%0,6711,59%13,10%-9,96% écart-type0,25%0,020,22%0,28%0,45% 5,00%6,95%0,6511,16%12,58%-10,48% 25,00%7,22%0,6711,54%13,01%-10,17% 50,00%7,30%0,6711,64%13,16%-10,02% 75,00%7,40%0,6811,70%13,26%-9,80% 95,00%7,60%0,7011,80%13,39%-9,23%
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Au-delà du problème d’erreurs d’estimation, La richesse de B & L : sa capacité à intéger n’importe quel type de views.
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Les fondements de B&L La statistique bayésienne A priori sur les paramètres + vraissemblances C. Robert La décision bayésienne Les modèles bayésiens de choix de portefeuille Scherer & McDouglas
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