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Publié parLucienne Ménard Modifié depuis plus de 8 années
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Enquête sur l’Etude sur la valorisation du 5è quartier Recueil des avis des acteurs de la filière Abats Novembre 2015
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8 Freins et leviers pour une meilleure valorisation des abats Elevage : - Un déclassement des abats lié à des problèmes parasitaires - Pas d’information sur ces déclassements au niveau de l’abattage Règlementation : une demande forte pour l’autorisation de la vente des cervelles d’agneaux <12 mois Abattage : -Problématique de taille critique et de perception de l’importance économique du 5è quartier -Formation du personnel sur les outils Transformateurs : concurrence avec l’export qui fait grimper les prix Distribution : - Des problématiques d’offre - Une éducation et une reconquête du consommateur à maintenir
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9 Facteurs influençant la valorisation de la boyauderie -Taille critique suffisante pour assurer une logistique de collecte - La taille de l’installation est fonction de la pièce traitée - Maîtrise et connaissance des débouchés - Certains ne sont accessibles qu’à partir d’une certaine capacité de production - Fonction de la situation géographique (circuit de collecte, consommation régionale…) - Capacité de surgélation - Pourcentage des saisies (grande variabilité en fonction du site, de l’état sanitaire des animaux).
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10 Benchmarking : 3 pays = Pays Bas, Irlande et Allemagne -Au niveau des abats la situation est contrastée : - Les flux d’export vers la Chine, avec des produits comme les pieds, tendent à mettre en place un prix unique - Des exports français d’abats bovins moins élevés en valeur avec une ventilation différente d’autres pays (liée à une consommation indigène important en abats frais). - Globalement, l’exploitation des triperies/boyauderies semble plus externalisée dans d’autres pays. -En dehors de ces aspects commerciaux et techniques, la France est plus pénalisée économiquement: - Au niveau d’une règlementation stricte concernant l’utilisation de certains abats (cf cervelles d’agneaux 6-12 mois) - Par la non valorisation des coproduits d’origine animale au niveau de l’alimentation animale pour la filière française (avec des avis de la filière contrastés sur le sujet)
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11 Recommandations -Financer des campagnes de communication (Inciter à l’innovation R&D plats préparés, nouveaux moyens de communication…) -Mettre en place un système de bonus-malus selon la qualité des abats et coproduits; renforcer la cohérence des décisions de saisie; -Investir dans des outils de conservation spécialisés pour le 5è quartier.
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