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Animation classes Passerelles 15 décembre 2015

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Présentation au sujet: "Animation classes Passerelles 15 décembre 2015"— Transcription de la présentation:

1 Animation classes Passerelles 15 décembre 2015

2 Programmes Points saillants
« La loi de refondation de l’École crée un cycle unique pour l’école maternelle. première étape pour garantir la réussite de tous les élèves au sein d’une école juste pour tous et exigeante pour chacun.  Priorité de l’école maternelle dans la loi de Refondation. Cycle unique.

3 « L’école maternelle est une école bienveillante.
Sa mission principale est de donner envie aux enfants d’aller à l’école pour apprendre, affirmer et épanouir leur personnalité. Une école qui pratique l’évaluation positive. Post it. Pour moi la bienveillance en passerelle, c’est… Observations des E en situation(.Lisibilité des apprentissages. Ce qu’on va apprendre, ce qu’on a appris. Place de l’erreur. Cahier de progrès, de réussites. Travailler l’estime de soi.

4 Elle s’appuie sur un principe fondamental : tous les enfants sont capables d'apprendre et de progresser… École qui s’adapte aux besoins des élèves en situation de handicap. (Prévenir, dépister les handicaps, compenser les inégalités) L’école maternelle l’engage à avoir confiance dans son propre pouvoir d’agir et de penser, dans sa capacité à apprendre et réussir sa scolarité et au-delà. » Principe d’éducabilité. Prise en compte du développement global de l’enfant : approche équilibrée (V Bouysse) Mixe : l’école du «  laisser grandir » et des attentions didactiques, des attentes d’apprentissage; AGIR : Place aux essais, tâtonnements, recherche. REUSSIR COMPRENDRE enseignement explicite Conditions de la réussite explicitées, critères de réussite de l’atelier «  Tu auras réussi qd, fini qd… » Des consignes plus adaptées. Prise de conscience des stratégies E

5 Projet passerelle et focales dans les documents d’accompagnement.

6 1) L’organisation de la rentrée et le travail de la séparation
1) L’organisation de la rentrée et le travail de la séparation. Dans les programmes : « Une école qui s’adapte aux jeunes enfants  » Une école qui accueille les enfants et leurs parents Une école qui accompagne les transitions vécues par les enfants

7 Témoignage de l’équipe passerelle
de la maternelle Lavoisier : → l’adaptation → la rentrée échelonnée. Rassurer les parents, accueillir les enfants.

8 Témoignage de l’équipe passerelle
de la maternelle Voltaire : → les ateliers d’adaptation Qualifier l’accueil des jeunes enfants.

9 Témoignage de l’équipe passerelle
de la maternelle Triolet : → Adaptation pour les enfants rentrés en novembre. Assurer la même qualité d’accueil aux enfants arrivant en novembre.

10 ● Vidéo Françoise Dolto et Georges Juttner (psychanaliste)
La séparation entre la mère et l’enfant. ● Interview Viviane Bouysse Inspectrice générale. Créer l’alliance. DOLTO JUTTNER : Enfant a une vis sociale tout de suite. Sujet social en devenir. Souffrance de la séparation. Mettre des mots sur ce qu’il souffre. Témoigner, accompagner, rejoindre la personne là où elle souffre( compassion . Là où son identité est nouée, dénouée). Pas de zone d’ombre. Accepter qq1 qui souffre= humanité . BOUYSSE Rassurer les parents. Fidéliser =convaincre que l’école, c’est tous les jours. Comprendre ce qu’on veut faire. Les convaincre qu’ils peuvent faire progresser leur enfant. Que fait-on qd (album, collation, change…)Qu’il y ait du langage échangé avec l’enfant même dans un autre langage. .Une alliance. .Chaleureux et formel. Créer l’alliance. Ateliers parents ciblés / problématiques

11 Dans les documents d’accompagnement
Dossier « Une rentrée réussie » Première rencontre, l’inscription parent et enfant. - Temps de rencontre découverte de la classe en juin. Livret d’accueil personnalisé Période d’adaptation. : temps avec présence parents- enfants pour s’habituer à se séparer. Étalement de la rentrée

12 Nouveau rythme de la journée, nouveaux repères.
Construction de repères dans le temps. Construction de repères dans l’espace. Dialogue quotidien avec les parents: lien de confiance à créer permettant la sécurité affective de l’enfant. Entretien sur les habitudes de vie de l’enfant. (langue parlée, mode de garde, doudou, propreté, rituel d’endormissement, goûts, caractère de l’enfant, attentes vis-à-vis de la scolarisation) LISTING COMMUN :Repères dans le temps. Ex activités ritualisées comptines/ albums/ collation Repères dans l’espace : récréation pour eux seuls…..

13 Rôle du doudou (besoin psychologique (réduire angoisse, tensions) et physiologique (plaisir de toucher le doudou) Winnicott « Par contre les professeurs des écoles et les ATSEM ne doivent pas oublier que les habitudes de consolation et de réassurance des enfants ne sont pas forcément celles qu’ils ont connues, qu’il faut accepter les pratiques différentes de maternage sans les stigmatiser et donner des indications claires aux parents concernant les pratiques de la maternelle. »

14 2) Ateliers Parents Ateliers Parents- Enfants Dans les programmes : « Une école qui accueille les parents et leurs enfants  » Comprendre la fonction de l’école

15 → Témoignage de la passerelle de Blaise Pascal.
Ateliers parents et parents - enfants en motricité. Découvrir les apprentissages de l’école Découvrir les compétences de son enfant (parents) Apprendre à gérer son plateau . 1ers pas vers l’autonomie, faire des découvertes sensori-motrices (enfant)

16 3) Aménagement de la classe Dans les programmes « Une école qui tient compte du développement de l’enfant » Dossier : un aménagement de l’espace bien pensé Interview Viviane Bouysse IGEN. Besoins du jeune enfant. Besoins du jeune enfant : - Besoin de manipulations, de repos, de repli, de mouvement, de petits exploits, de culture, d’images de jeux symboliques « Qu‘ils aient exploité l’univers avant de s’intéresser à ce qui intéresse l’enseignant. »

17 → Témoignage de la passerelle Ferry
Aménagement de classe. Choix raisonnés

18 → Témoignage de la passerelle Triolet
Aménagement de la classe. Espace changes

19 Position des adultes dans la classe
Interview d’Anne - Marie Fontaine , maître de conférence en psychologie de l’enfant. Assurer une sécurité affective - Adulte phare. - Régulateur de la répartition des enfants dans la classe. Les enfants jouent dans les espaces éclairés par le regard de l’adulte. Importance de l’attention conjointe .Les espaces dans lesquels la vue des adultes n’est pas assurée sont très souvent moins investis. Les meubles ne dépassent pas le visage d’un enfant et ne font pas de barrières visuelles.

20 A LA RENTRÉE: Besoin fondamental de mouvement. Extériorité Zone d’activités motrices (une part importante de l’espace est affectée aux activités motrices de plusieurs types) Besoin d’autonomie (extériorité et intériorité): jeux d’imitation, jeux divers, activités graphiques. Besoin de sécurité affective : le contact avec l’adulte. Besoin de repli, de repos (intériorité): Lieu pour s’isoler dans la classe Répondre aux besoins spécifiques du jeune enfant : mouvement (motricité globale, fine, activités ludiques) Sécurité affective Relation ind avec l’adulte puis partagée avec d’autres E Besoin d’autonomie : faire tout seul. Besoin de repos : coin confortable, s’isoler besoins physiologiques Espace des petits : espace évolutif, vaste(pas trop de tables), différencié (usage différent ds chaque zone) Evolution ; intro des tables et chaises progressivement, Xcation des espaces, cloisonnement ET rangement.

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22 Aménager et faire vivre des espaces
Répondre à la sécurité affective : jeux, jouets en plusieurs exemplaires, objet transitionnel facilement retrouvé Répondre aux besoins physiologiques : Lieux d’hygiène à proximité, co-éducation à la propreté, Satisfaire les besoins moteurs : Déplacements, manipulations. Prévoir un environnement qui évolue : En fonction de l’intérêt et des acquis des enfants.

23 4) Le jeu Dans les programmes « Une école qui organise des modalités spécifiques d’apprentissage »
Apprendre en jouant Apprendre en réfléchissant et en résolvant des problèmes Apprendre en s’exerçant Apprendre en se remémorant et en mémorisant Démarche et processus Apprendre en jouant : Apprendre en réfléchissant et en résolvant des pbs : Réflexion, partage es pratiques S’exercer : faire et refaire dans des situations variées (transfert) Se remémorer et mémoriser travailler sur la mise en mémoire, passer pare l’affectif (évocation), appui mémoire (photos, supports, verbalisation

24 Apprendre en jouant richesse des expériences vécues
exercer leur autonomie, d‘agir sur le réel, de construire des fiction et de développer leur imaginaire, d'exercer des conduites motrices, d'expérimenter des règles et des rôles sociaux variés…

25 Apprendre en réfléchissant et en résolvant des problèmes
L’enseignant les met face à des problèmes à leur portée. pose des questions ouvertes pour lesquelles les enfants n'ont pas alors de réponse directement disponible. il valorise les essais et suscite des discussions. Ils tâtonnent et font des essais de réponse. L'enseignant est attentif aux cheminements qui se manifestent par le langage ou en action

26 Apprendre en s'exerçant
Les apprentissages des jeunes enfants s'inscrivent dans un temps long et leurs progrès sont rarement linéaires. Ils nécessitent souvent un temps d'appropriation qui peut passer soit par la reprise de processus connus, soit par de nouvelles situations. Leur stabilisation nécessite de nombreuses répétitions dans des conditions variées. L'enseignant veille alors à expliquer aux enfants ce qu'ils sont en train d'apprendre, à leur faire comprendre le sens des efforts demandés et à leur faire percevoir les progrès réalisés. Dans tous les cas, les choix pédagogiques prennent en compte les acquis des enfants.

27 Apprendre en se remémorant et en mémorisant
Les opérations mentales de mémorisation chez les jeunes enfants ne sont pas volontaires. Chez les plus jeunes, elles dépendent de l'aspect émotionnel des situations et du vécu d'évènements répétitifs qu'un adulte a nommés et commentés. L'enseignant organise des retours réguliers sur les découvertes et acquisitions antérieures pour s'assurer de leur stabilisation…

28 → Témoignage de la passerelle Renan
Ateliers de manipulation inspirés des ateliers Montessori Développer l’autonomie un indicateur de la vigilance (même face à un enseignant débutant, il est très difficile à un enfant de « faire semblant », dans une telle situation) un outil de mise au travail effective de l’élève un support fiable pour reconstituer le raisonnement suivi par l’élève en observant le déroulement de la manipulation un outil d'aide à l'élaboration des représentations mentales un dispositif fournissant une évaluation sûre et généralement aisée. elle facilite la gestion de l’hétérogénéité de la classe, car elle permet de répondre à l’amplitude complète des efficiences intellectuelles, MAIS Le support de manipulation ne contient pas le savoir.

29 Les 2 – 3 ans et le jeu Dossier Jouer et apprendre
Jeux d’exploration Manipulations, expérimentations, découvertes Propriétés des objets, perception, découverte et pouvoir d’agir sur les objets Satisfaire les besoins sensoriels

30 Le jeu symbolique construit des capacités :
Jeux symboliques Interview de Marie-Hélène Plumet - Maître de conférence en psychologie du développement Le jeu symbolique construit des capacités : - Prise de distance / réalité . Capacités sociales. Partager des représentations imaginaires. Se mettre dans la représentation de l’autre. Capacités langagières dans la communication. Flexibilité. Mémoire de travail. Planifier une activité. Se mettre dans la représentation de l’autre. 1er interview uniquement

31 Jeux de construction Assemblages, fabrications - Utiliser du matériel pour construire, créer, - Faire des choix par rapport à des directives - Développer ses habiletés et des stratégies pour mettre en adéquation son environnement avec ses projets

32 Jeux à règles (3ans) Jouer avec ses pairs dans un cadre commun fixé. - Adapter ses conduites sociales - Mettre en œuvre des stratégies - Développer ses capacités réflexives dans l‘analyse de ce qu’il fait / dans l’anticipation ce que qu’il envisage de faire

33 Capacités exécutives, capacités cognitives de 3 ans à l’adolescence pour s’adapter à toutes les situations nouvelles.(suite MH Plumet) Capacités de : - Création, génération - Inhibition - Flexibilité - Planification - Mémoire de travail Processus qui aident au contrôle des activités cognitives, motrices et langagières.

34 Jeux et égalité filles- garçons
● Loi du 8 juillet 2013 La circulaire rappelle qu’ : « elle a pour finalité la constitution d’une culture de l’égalité et du respect mutuel partagée par l’ensemble des membres de la communauté éducative, élèves, personnels, parents et partenaires concourant aux missions de l’école, et garantit à chaque élève, fille ou garçon, un traitement égal et une même attention portée à ses compétences, son parcours scolaire et sa réussite ».

35 Le jeu symbolique : place privilégiée pour travailler la perception de l ’égalité filles- garçons. Travail aussi à partir de films,de livres, d’histoires lues.

36 Jeu structuré de niveau 1
Jeu en vue de faire acquérir explicitement des apprentissages spécifiques. Niveau 1 (2- 3ans) Jeu simple. Les apprentissages ne sont pas formalisés. Niveau 2. à 5 ans. Jeu dans séance d’apprentissage. Vers anticipation et analyse post action.. Jeu libre L’enfant choisit quand et comment il joue. Aucun guidage de l’enseignant qui peut susciter l’imitation. S2 pauses réflexives en dehors de l’action. Précédé de séance de jeu libre ou de jeu structuré.

37 Piste : jeu et implication des familles
Venir observer, jouer dans les ateliers / fête des jeux Expériences partagées. Échanges parents / enfants Faire entendre des façons de dire et de faire. Transférer cette expérience au sein de la famille. (Ludothèque, emprunts de jeux.)

38 5) Langage Dossier : du langage oral au langage écrit

39 → Vidéo : Les aspects du langage à privilégier. Viviane Bouysse IGEN
→ Vidéo : les aspects du langage à privilégier de Michel Grandaty, Professeur des Universités en sciences du langage. Vidéo V Bouysse . Langage de l’enseignant ne peut piloter leur action..Ce qu’il donne à voir, faire : invitation à l’activité + // langage. Langage adressé personnellement .Disponibilité pour échanger ind et petit gpe. Habileté du PE : décoder les essais de langage, reformuler. Occuper un statut de locuteur. .Parole écoutée, entendue. Aspect culturel, linguistique : histoires, comptines, formulettes. Les rassemblent. riches.3 types de situations Toute la journée une leçon de langage. Greffer du langage en continu. Patience à avoir en TPS. Posture : parler à hauteur + bienveillance. Etayage. Se rendre témoin de leurs réussites. On veut des progrès (exigences) et on voit les progrès( bienveillance). Vidéo Grandaty Situations communes. Actions vécues. Elaborer des scripts. Mémoire de l’agit et donc d’anticiper puis de planifier.1er niveau de catégorisation Mots / actions.D’où expérimentations, 3 situations : Vie quotidienne , situations péda régulières (appel, retour d’ateliers), travail en atelier ( en domaine), voca plus spécifique. Enjeux : s’exprimer, devenir témoin du réel. -

40 Langage en action = Mettre l’action en mots et répondre par des mots à toute sollicitation des enfants. - Nommer - Expliquer ce qu’on fait - Attribuer des qualificatifs. - Nommer les actions. Utiliser du vocabulaire spatial. Commenter la situation, nommer les objets qu’ils ont sous les yeux (réels), explique ce qu’il est en train de faire ou ce que fait l’enfant. Invite à des commentaires en cours d’action, relance et soutient l’action par un jeu de Q- R oui des reprises, il désigne des objets, leur attribue des qualificatifs, nomme les actions., attire l’attention sur un changement spatial, explique des relations entre les objets et les actions. En situation de jeu / moments moins scolaires, atelier (petit groupe),. LANGAGE en TPS = situation vécue et compréhension de tous les indices présents dans l’environnement immédiat de l’E

41 Les jeux spontanés, activités proposées sont accompagnées, commentées par l’adulte
Relation de communication adulte -enfant ( Bruner) Procédures de 3 ordres : Attention conjointe Coaction Rites d’interactions Bruner qui a travaillé sur la relation de communication adulte- enfant parle de 3 phénomènes : attention conjointe : attirer l’attention de l’autre sur une activité, un objet du réel pour engager un échange à leur propos Phénomène de coaction : agir ensemble sur ce même objet réel, cette même activité Rites d’interaction : bases du dialogue prendre contact, saluer, se séparer

42 La conquête du langage est liée : - à la richesse des expériences
proposées - aux interactions individuelles adultes enfants, enfants – enfants Exemple d’interaction p 4 et 5 dossier « L’oral- Ressources pour la classe » Richesse des expériences = vivre des situations

43 Assurer un étayage langagier permanent.
- Enrôler les enfants dans la tâche (intérêt et adhésion de l’enfant) Accorder de l’importance aux paroles de l’enfant. Reprendre, commenter ce qu’il est en train de faire Répéter sous des formes variées Amplifier le propos (enrichir juste un peu) - Maintenir l’orientation (entrain, empathie du tuteur) Contrôler la frustration. Ne questionne pas à outrance. Enrôlement = Annoncer ce que l’on va faire.- Rappeler les règles de fonctionnement. l’adulte s’attache à engager pour éveiller son intérêt. Enrichir : dans la Zone Proximale de Développement Vygotski. Tu mets ton pantalon ? Tu mets ton pantalon en velours ? Noir ? Tu mets ton pull avec ta chemise? Maintenir l’orientation : maintenir sa motivation CF page

44 Les formes de conduites verbales de l’adulte
Le questionnement. L’incitation par la reformulation. La reformulation L’utilisation du silence Le non verbal Important dans le récit. Ne pas abuser des questions fermées qui donnent des réponses brèves. Oui, non Questions ouvertes en pourquoi, comment peuvent aller jusqu’à l’explication. Incitation :Motiver l’enfant à recommencer, lui tend un marche pied sans faire à sa place La reformulation : enrichir, apporter un complément en syntaxe, lexique , intonation. L’utilisation du silence souvent l’enfant commence en tâtonnant et l’impatience de l’adulte peut l’empêcher de finir. Il faut laisser le temps de l’organisation de la réflexion. Le non verbal : gestes, mouvement de tête pour officialiser la prise de parole.

45 Dossier : L’oral . Fiches repères
- Fiche repère 3 : enfants allophones - Fiche repère 4 : difficultés dans l’apprentissage du langage.


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