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Le croyant face à la souffrance

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Présentation au sujet: "Le croyant face à la souffrance"— Transcription de la présentation:

1 Le croyant face à la souffrance
Job Le croyant face à la souffrance

2 Job le juste

3 Un début de conte de fée…
« Il y avait jadis, au pays de Uç, un homme appelé Job : un homme intègre et droit qui craignait Dieu et se gardait du mal. Sept fils et trois filles lui étaient nés. […] Cet homme était le plus fortuné de tous les fils de l'Orient.» (Jb 1, 1‑3) Un début de conte de fée…

4 « Le jour où les Fils de Dieu venaient se présenter devant Yahvé, le Satan aussi s'avançait parmi eux. Yahvé dit alors au Satan : “D'où viens-tu” – “De rôder sur la terre, répondit-il, et d'y flâner.” Et Yahvé reprit : “As-tu remarqué mon serviteur Job ? Il n'a point son pareil sur la terre : un homme intègre et droit, qui craint Dieu et se garde du mal !” Et le Satan de répliquer : “Est-ce pour rien que Job craint Dieu ? Ne l'as-tu pas entouré d'une haie, ainsi que sa maison et son domaine alentour ? Tu as béni toutes ses entreprises, ses troupeaux pullulent dans le pays. Mais étends la main et touche à ses biens ; je te jure qu'il te maudira en face” – “Soit ! dit Yahvé au Satan, tous ses biens sont en ton pouvoir. Evite seulement de porter la main sur lui.” Et le Satan sortit de l'audience de Yahvé » (Jb 1,6-12) Mais Satan rôde…

5 « Il parlait encore quand un autre serviteur survint et dit : “Tes fils et tes filles étaient en train de manger et de boire du vin dans la maison de leur frère aîné. Et voilà qu'un vent violent a soufflé du désert. Il a heurté les quatre coins de la maison et celle-ci est tombée sur les jeunes gens, qui ont péri. Moi, le seul rescapé, je me suis sauvé pour te l'annoncer.” Alors Job se leva, déchira son vêtement, se rasa la tête. Puis, tombant sur le sol, il se prosterna et dit : “Nu, je suis sorti du sein maternel, nu, j'y retournerai. Yahvé avait donné, Yahvé a repris : que le nom de Yahvé soit béni !” » (Jb 1, 18‑21) Première réaction face au mal…

6 Dieu admire Job ! « Un autre jour où les Fils de Dieu venaient se présenter devant Yahvé, le Satan aussi s'avançait parmi eux. Yahvé dit alors au Satan : “D'où viens-tu” – “De rôder sur la terre, répondit-il, et d'y flâner.” Et Yahvé reprit : “As-tu remarqué mon serviteur Job ? Il n'a point son pareil sur la terre : un homme intègre et droit, qui craint Dieu et se garde du mal ! Il persévère dans son intégrité et c'est en vain que tu m'as excité contre lui pour le perdre.”  » (Jb 2,1-3)

7 « Et le Satan de répliquer : “Peau après peau
« Et le Satan de répliquer : “Peau après peau. Tout ce que l'homme possède, il l'abandonne pour sauver sa vie ! Mais étends la main, touche à ses os et à sa chair ; je te jure qu'il te maudira en face” . – “Soit ! dit Yahvé au Satan, dispose de lui, mais respecte pourtant sa vie.” Et le Satan sortit de l'audience de Yahvé. Il affligea Job d'un ulcère malin, depuis la plante des pieds jusqu'au sommet de la tête. Job prit un tesson pour se gratter et il s'installa parmi les cendres. » (Jb 2, 4‑8) Seconde attaque de Satan

8 Job tient bon… jusqu’à quand ?
Alors sa femme lui dit : “Pourquoi persévérer dans ton intégrité ? Maudis donc Dieu et meurs !” Job lui répondit : “Tu parles comme une folle. Si nous accueillons le bonheur comme un don de Dieu, comment ne pas accepter de même le malheur !” En toute cette infortune, Job ne pécha point en paroles. » (Jb 2, 1‑10) Job tient bon… jusqu’à quand ?

9 Job le souffrant

10 La souffrance est devenue insupportable !
« Périsse le jour qui me vit naître et la nuit qui annonça : “Un garçon vient d'être conçu.” Ce jour-là, qu'il soit ténèbres, que Dieu, de là-haut, ne le réclame pas, que la lumière ne brille pas sur lui ! » (Jb 3, 3‑4) « La pendaison me séduit. La mort plutôt que ma carcasse ! » (Jb 7, 15) «  Oh ! Pourquoi m'as-tu fait sortir du sein ? J'aurais péri alors : nul œil ne m'aurait vu, [...] je serais comme n'ayant pas été, du ventre on m'aurait porté à la tombe. » (Jb 10, 18.19) La souffrance est devenue insupportable !

11 « Mes proches ont disparu, mes familiers m'ont oublié
« Mes proches ont disparu, mes familiers m'ont oublié. Les hôtes de ma maison et mes servantes me traitent en étranger, je suis devenu un intrus à leurs yeux. J'ai appelé mon serviteur, il ne répond pas quand de ma bouche je l'implore. Mon haleine répugne à ma femme, et je dégoûte les fils de mes entrailles. Même des gamins me méprisent ; quand je me lève, ils jasent sur moi. Tous mes intimes m'ont en horreur, même ceux que j'aime se sont tournés contre moi. » (Jb 19, 14‑19) Mes proches ?

12 « A peine couché, je me dis : “Quand me lèverai-je
« A peine couché, je me dis : “Quand me lèverai-je ?” Le soir n'en finit pas, et je me saoule de délires jusqu'à l'aube. Ma chair s'est revêtue de vers et de croûtes terreuses, ma peau se crevasse et suppure.» (Jb 7, 4‑5) « Mes entrailles ne cessent de fermenter, des jours de peine sont venus vers moi. Je marche bruni, mais non par le soleil. En pleine assemblée, je me dresse et je hurle. Je suis entré dans l'ordre des chacals et dans la confrérie des effraies. Ma peau noircit et tombe, mes os brûlent et se dessèchent. » (Jb 30, 27‑30) Mon corps ?

13 Mes amis ? « La risée de ses amis, c'est moi. » (Jb 12, 4)
« Qui vous réduira une bonne fois au silence ? Cela vous servirait de sagesse.» (Jb 13, 5) « J'en ai entendu beaucoup sur ce ton, en fait de consolateurs, vous êtes tous désolants. » (Jb 16, 2) « Écoutez, écoutez mes paroles. C'est ainsi que vous me consolerez. » (Jb 21, 2)

14 « Même si j'appelle, et qu'il me réponde, je ne croirais pas qu'il ait écouté ma voix. Lui qui dans l'ouragan m'écrase et multiplie sans raison mes blessures, il ne me laisse pas reprendre haleine mais il me sature de fiel. » (Jb 9, 16‑18) « Or voici ce que tu dissimulais en ton cœur, c'est cela, je le sais, que tu tramais : Si je pèche, me prendre sur le fait et ne me passer aucune faute. » (Jb 10, 13‑14) Dieu lui-même ?

15 « Pourquoi dérobes-tu ta face et me prends-tu pour ton ennemi ? » (Jb 13, 24) « Dieu m'a livré au caprice d'un gamin, il m'a jeté en proie à des crapules. J'étais au calme. Il m'a bousculé. Il m'a saisi par la nuque et disloqué, puis m'a dressé pour cible. » (Jb 16, 11‑12) « Sachez donc que c'est Dieu qui a violé mon droit et m'a enveloppé dans son filet. » (Jb 19, 6) « Si je crie à la violence, pas de réponse, si je fais appel, pas de justice. » (Jb 19, 7) Un silence qui dure … « Je hurle vers toi, et tu ne réponds pas. Je me tiens devant toi, et ton regard me transperce. » (Jb 30, 20)

16 Job le gêneur

17 Dieu éduque les hommes par la souffrance La sagesse traditionnelle, 1ère hypothèse
« Vois : Heureux l'homme que Dieu réprimande ! Ne dédaigne donc pas la semonce du Puissant. C'est lui qui, en faisant souffrir, répare, lui dont les mains, en brisant, guérissent. » (Jb 5, 17‑18)

18 « Oh. que se réalise donc ma prière, que Dieu réponde à mon attente
« Oh ! que se réalise donc ma prière, que Dieu réponde à mon attente ! Que Lui consente à m'écraser, qu'il dégage sa main et me supprime ! J'aurai du moins cette consolation, ce sursaut de joie en de cruelles souffrances, de n'avoir pas renié les décrets du Saint. Ai-je donc assez de force pour attendre ? Voué à une telle fin, à quoi bon patienter ? Ma force est-elle celle du roc, ma chair est-elle de bronze ? » (Jb 6, 8‑12) Job répond !

19 Dieu récompense le juste et châtie le méchant La sagesse traditionnelle, 2ème attaque
« Car il rend à l'homme selon ses œuvres et traite chacun selon sa conduite. » (Jb 34, 11) « Car Dieu a les yeux sur la conduite de l'homme, il observe tous ses pas. » (Jb 34, 21) « Vraiment ta méchanceté est grande, il n'y a pas de limites à tes crimes. » (Jb 22, 5)

20 « J'aurai du moins un réconfort, un sursaut de joie dans la torture implacable : je n'aurai mis en oubli aucune des sentences du Saint. » (Jb 6, 10) « Mon pied s'est agrippé à ses traces, j'ai gardé sa voie et n'ai pas dévié, le précepte de ses lèvres et n'ai pas glissé. J'ai prisé ses décrets plus que mes principes. » (Jb 23, 11‑12) « Éclairez-moi, et moi je me tairai. En quoi ai-je failli ? Montrez-le-moi ! » (Jb 6, 24) La défense de Job !

21 « Est-ce que je repoussais la demande des pauvres, laissais-je languir les yeux de la veuve ? Ma ration, l'ai-je mangée seul, sans que l'orphelin en ait eu sa part, alors que dès mon enfance il a grandi avec moi comme avec un père, et qu'à peine sorti du ventre de ma mère je fus le guide de la veuve ? Voyais-je un miséreux privé de vêtement, un indigent n'ayant pas de quoi se couvrir, sans que ses reins m'aient béni et qu'il fût réchauffé par la toison de mes brebis ? » (Jb 31, 16‑20) Suite de réponse…

22 Aucun homme n’est parfaitement juste La sagesse traditionnelle, 3ème attaque
« Tu as osé dire : “Ma doctrine est irréprochable, et je suis pur à tes yeux !” » (Jb 11, 4) « Qu'est-ce donc que l'homme pour jouer au pur, celui qui est né de la femme, pour se dire juste ? » (Jb 15, 14) « A sa faute il ajoute la révolte, il sème le doute parmi nous et accumule ses remontrances contre Dieu. » (Jb 34, 37)

23 Une réaction d’incompréhension…
   « La vie m'écœure, je ne retiendrai plus mes plaintes ; d'un cœur aigre je parlerai. Je dirai à Dieu : Ne me traite pas en coupable, fais-moi connaître tes griefs contre moi.  » (Jb 10, 1‑3)

24 « Qu'est-ce qu'un mortel pour en faire si grand cas, pour fixer sur lui ton attention au point de l'inspecter chaque matin, de le tester à tout instant ? Quand cesseras-tu de m'épier ? Me laisseras-tu avaler ma salive ? Ai-je péché ? Qu'est-ce que cela te fait, espion de l'homme ? Pourquoi m'avoir pris pour cible ? En quoi te suis-je à charge ? Ne peux-tu supporter ma révolte, laisser passer ma faute ? Car déjà me voici gisant en poussière. Tu me chercheras à tâtons : j'aurai cessé d'être. » (Jb 7, 17‑21) … qui pousse à la révolte !

25 Dieu n’a pas à répondre de ses actes La sagesse traditionnelle, 4ème attaque
« Mais tu as bien dit à mes oreilles et j'entends encore le son des paroles : “Je suis pur, sans péché. Je suis net, moi, exempt de faute. Mais Dieu invente contre moi des griefs, il me traite en ennemi. Il me met les pieds dans les fers et il épie toutes mes traces !” Voyons, en cela tu n'as pas raison, te dirai-je. Car Dieu est bien plus que l'homme. Pourquoi lui as-tu intenté un procès, à lui qui ne rend compte d'aucun de ses actes ? » (Jb 33, 8‑13)

26 « On supporte sans peine des discours équitables, mais vos critiques, que visent-elles ? Prétendez-vous censurer des paroles, propos de désespoir qu'emporte le vent ? » (Jb 6, 25‑26) Job ne répond plus, il attend la réponse de Dieu…

27 Job le croyant

28 Job continue de s’adresser à Dieu.
« Ai-je péché ? Qu'est-ce que cela te fait, espion de l'homme ? Pourquoi m'avoir pris pour cible ? En quoi te suis-je à charge ? Ne peux-tu supporter ma révolte, laisser passer ma faute ? Car déjà me voici gisant en poussière. Tu me chercheras à tâtons : j'aurai cessé d'être. » (Jb 7, 20‑21) Job continue de s’adresser à Dieu. « Combien ai-je de crimes et de fautes ? Ma révolte et ma faute, fais-les-moi connaître. » (Jb 13, 23)

29 Il garde l’Espérance « Je sais bien, moi, que mon rédempteur est vivant, que le dernier, il surgira sur la poussière. Et après qu'on aura détruit cette peau qui est mienne, c'est bien dans ma chair que je contemplerai Dieu. C'est moi qui le contemplerai, oui, moi ! Mes yeux le verront, lui, et il ne sera pas étranger. Mon cœur en brûle au fond de moi. » (Jb 19, 25‑27)

30 1ère réponse de Dieu « Le Seigneur répondit alors à Job du sein de l'ouragan et dit : Qui est celui qui dénigre la providence par des discours insensés ? Ceins donc tes reins, comme un brave : je vais t'interroger et tu m'instruiras. Où est-ce que tu étais quand je fondai la terre ? Dis-le-moi puisque tu es si savant. » (Jb 38, 1‑4)

31 Job répond humblement. « Job répondit alors au Seigneur et dit : Je ne fais pas le poids, que te répliquerai-je ? Je mets la main sur ma bouche. J'ai parlé une fois, je ne répondrai plus, deux fois, je n'ajouterai rien. » (Jb 40, 1‑5)

32 2ème réponse de Dieu « Ton bras a-t-il une vigueur divine, ta voix peut-elle tonner pareillement ? [...] Qui donc saisira Béhémoth par les yeux, lui percera le nez avec des pieux ? Et Léviathan, le pêches-tu à l'hameçon, avec une corde comprimes-tu sa langue ? » (Jb 40, 9.24‑25)

33 Job répond à nouveau. « Job répondit alors au Seigneur et dit : Je sais que tu peux tout et qu'aucun projet n'échappe à tes prises. […] Je ne te connaissais que par ouï-dire, maintenant, mes yeux t'ont vu. Aussi, j'ai horreur de moi et je me désavoue sur la poussière et sur la cendre. » (Jb 42, 1‑6)

34 Job le béni de Dieu

35 « Le Seigneur dit à Elifaz de Témân : “Ma colère flambe contre toi et contre tes deux amis, parce que vous n'avez pas parlé de moi avec droiture comme l'a fait mon serviteur Job. » (Jb 42, 7) Le jugement de Dieu.

36 Le jugement de Dieu (suite).
« Et maintenant, procurez-vous sept taureaux et sept béliers, puis allez vers mon serviteur Job. Vous offrirez pour vous un holocauste, tandis que mon serviteur Job priera pour vous. J'aurai égard à lui et ne vous infligerai pas ma disgrâce pour n'avoir pas, comme mon serviteur Job, parlé avec droiture de moi.” » (Jb 42, 8) Le jugement de Dieu (suite).

37 « Le Seigneur bénit les nouvelles années de Job plus encore que les premières. Il eut quatorze mille moutons et six mille chameaux, mille paires de bœufs et mille ânesses. Il eut aussi sept fils et trois filles. La première, il la nomma Tourterelle, la deuxième eut nom fleur-de-Cannelle et la troisième Ombre-à-paupière. On ne trouvait pas dans tout le pays d'aussi belles femmes que les filles de Job, et leur père leur donna une part d'héritage avec leurs frères ». (Jb 42,12-15) Happy end !

38 « Job vécut encore après cela cent quarante ans, et il vit ses fils et les fils de ses fils jusqu'à la quatrième génération. Puis Job mourut vieux et rassasié de jours. » (Jb 42, 12‑17) Fin… du conte de fée ?

39 Et à part Job ? Moïse dit au Seigneur: « Je ne puis, à moi seul, porter tout ce peuple : c'est trop lourd pour moi. Si tu veux me traiter ainsi, tue-moi plutôt ! Ah ! si j'avais trouvé grâce à tes yeux, que je ne voie plus mon malheur ! » (Nb 11, 14‑15) Elie marcha dans le désert un jour de chemin et il alla s'asseoir sous un genêt. Il souhaita de mourir et dit : « C'en est assez maintenant, Yahvé ! Prends ma vie, car je suis pas meilleur que mes pères.» (1 R 19, 4) Tobie dit : « Et maintenant, traite-moi comme il te plaira, daigne me retirer la vie : je veux être délivré de la terre et redevenir terre. Car la mort vaut mieux pour moi que la vie.» (Tb 3, 6) Sara pensa: « Je ferais mieux de ne pas me pendre, et de supplier le Seigneur de me faire mourir, afin que je n'entende plus d'insultes pendant ma vie.» (Tb 3, 10)

40 Job à la lumière du Christ

41 « Qui vous réduira une bonne fois au silence
« Qui vous réduira une bonne fois au silence ? Cela vous servirait de sagesse. » (Jb 13, 5) « En ce temps-là, Jésus prit la parole : “Père, Seigneur du ciel et de la terre, je proclame ta louange : ce que tu as caché aux sages et aux savants, tu l'as révélé aux tout-petits. » (Mt 11, 25)

42 « Je hurle vers toi, et tu ne réponds pas
« Je hurle vers toi, et tu ne réponds pas. Je me tiens devant toi, et ton regard me transperce. » (Jb 30, 20) « Vers trois heures, Jésus cria d'une voix forte : “Eli, Eli, lama sabactani ?”, ce qui veut dire : “Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ?” » (Mt 27, 46)

43 « Job répondit alors au Seigneur et dit : Je ne fais pas le poids, que te répliquerai-je ? Je mets la main sur ma bouche. J'ai parlé une fois, je ne répondrai plus, deux fois, je n'ajouterai rien » (Jb 40, 1‑5) « Il s'écarta un peu et tomba la face contre terre, en faisant cette prière : “Mon Père, s'il est possible, que cette coupe passe loin de moi ! Cependant, non pas comme je veux, mais comme tu veux.” » (Mt 26, 39)

44 « Le Seigneur bénit la condition dernière de Job plus encore que l'ancienne.» (Jb 42, 12)
« En effet, puisque le créateur et maître de tout voulait avoir une multitude de fils à conduire jusqu'à la gloire, il était normal qu'il mène à sa perfection, par la souffrance, celui qui est à l'origine du salut de tous. » (He 2, 10)

45 Et nous, lorsque nous souffrons ?
Ecoutons le Christ et les saints !

46 « Dieu ne fera-t-il pas justice à ses élus, qui crient vers lui jour et nuit ? » (Lc 18, 7)

47 « J'estime qu'il n'y a pas de commune mesure entre les souffrances du temps présent et la gloire que Dieu va bientôt révéler en nous. » (Rm 8, 18)

48 « Quiconque ne porte pas sa croix et ne vient pas derrière moi ne peut être mon disciple. » (Lc 14, 27)

49 « Il nous faut passer par bien des épreuves pour entrer dans le Royaume de Dieu.» (Ac 14, 22)

50 « Je trouve la joie dans les souffrances que je supporte pour vous, car ce qu'il reste à souffrir des épreuves du Christ, je l'accomplis dans ma propre chair, pour son corps qui est l'Église. » (Col 1, 24)


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