La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

SANTÉ MENTALE ET PERSONNES ÂGÉES: S’OUTILLER POUR INTERVENIR ENSEMBLE par Suzanne Malo, psychologue Carole Roux, conseillère spécialisée en psychologie.

Présentations similaires


Présentation au sujet: "SANTÉ MENTALE ET PERSONNES ÂGÉES: S’OUTILLER POUR INTERVENIR ENSEMBLE par Suzanne Malo, psychologue Carole Roux, conseillère spécialisée en psychologie."— Transcription de la présentation:

1 SANTÉ MENTALE ET PERSONNES ÂGÉES: S’OUTILLER POUR INTERVENIR ENSEMBLE par Suzanne Malo, psychologue Carole Roux, conseillère spécialisée en psychologie Gisèle Leroux, conseillère à la direction des soins infirmiers Colloque AQIISM Juin 2010

2 Prix Innovation clinique 3M
Boîte à outils «Santé mentale et personnes âgées, s’outiller pour intervenir ensemble» Lauréate pour l’édition 2009 Prix Innovation clinique 3M de l’Ordre régional des infirmières et infirmiers de Montréal/Laval

3 Introduction

4 Statistiques générales
En excluant les troubles comme les démences et les déliriums, la majorité des troubles mentaux ne sont pas plus présents chez les aînés qui vivent dans la communauté que chez les autres groupes d’âge On estime que 1 personne sur 5 présente un trouble mental L’évaluation et le diagnostic des troubles mentaux sont compliqués chez les personnes âgées : les problèmes de santé mentale se superposent aux troubles physiques, neurologiques et sensoriels on sous-estime leur présence par conséquent, on ne leur offre pas un traitement approprié

5 En centres d’hébergement [1]
La prévalence des troubles mentaux incluant les démences serait de 80 à 90 % La prévalence des psychoses serait de 12 à 21 % L’incidence de la dépression serait de 3 à 4 fois supérieure par rapport à la population en général La coexistence de problèmes mentaux et physiques pose un défi de taille aux équipes de soins et de services L’accessibilité aux ressources spécialisées en santé mentale est restreinte et compliquée [1] Comité sénatorial permanent des affaires sociales, des sciences et de la technologie. Rapport provisoire (Premier rapport Kirby). Santé mentale, maladie mentale et toxicomanie : aperçu des politiques et des programmes au Canada, 2004.

6 Première partie

7 Madame Larose 78 ans, veuve depuis 3 ans
Diabétique, plaies au pied, chutes à l’occasion Suit tant bien que mal les recommandations pour sa santé Se plaint de pertes de mémoire depuis le décès de son mari Présente plusieurs plaintes somatiques A dit à une intervenante: « Tant qu’à vivre comme ça, aussi bien aller rejoindre mon mari »

8 Questions Formulez quelques hypothèses quant aux problématiques de santé mentale qui pourraient expliquer la situation de Madame Larose Nommez quelques éléments à l’appui de vos hypothèses

9 Continuum de l’humeur dépressive normale maniaque Trouble bipolaire
grave modérée légère Hypo Trouble bipolaire Trouble cyclothymique Dépression majeure Trouble dysthymique Trouble d’adaptation Période de tristesse – « bleus »

10 Trouble dépressif majeur: critères diagnostiques (DSM-IV)
Humeur dépressive presque tous les jours depuis au moins deux semaines ou perte de plaisir ou d’intérêt dans presque toutes les activités

11 Trouble dépressif majeur (2)
Au moins quatre des symptômes suivants : Diminution ou augmentation d’appétit ou de poids; Insomnie ou hypersomnie; Agitation ou ralentissement psychomoteur; Fatigue ou perte d’énergie; Sentiments d’autodévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée; Diminution de la capacité de penser, de se concentrer ou de prendre des décisions; Idées de mort ou de suicide récurrentes.

12 Trouble dépressif majeur : autres critères
Symptômes causent une détresse significative ou entravent le fonctionnement social, occupationnel ou dans d’autres domaines. Symptômes non attribuables à un autre trouble mental ou à une condition médicale. Symptômes non attribuables à un deuil normal.

13 Trouble dysthymique Humeur dépressive présente pratiquement toute la journée, plus d’un jour sur deux pendant au moins deux ans. Au moins deux des symptômes suivants : Perte ou augmentation d’appétit; Insomnie ou hypersomnie; Baisse d’énergie ou fatigue; Faible estime de soi; Difficultés de concentration ou de prise de décisions; Sentiments de perte d’espoir.

14 Prévalence Variable: Parmi la population âgée dans la communauté:
Selon la population étudiée Selon les méthodes diagnostiques utilisées Parmi la population âgée dans la communauté: 1-3 % Trouble dépressif majeur 2 % Trouble dysthymique 4 – 16 % Trouble dépressif mineur ou symptômes dépressifs significatifs Blazer dans Roose, S.P., Sackeim, H.A. (Eds) (2004). Late-Life Depression. New York: Oxford University Press

15 Prévalence Parmi les aînés souffrant de problèmes de santé chronique :
10 % Trouble dépressif majeur Parmi les aînés en hébergement : 14 % Trouble dépressif majeur 19 % Trouble dépressif mineur Cappeliez, P. (2006). La dépression. Dans Voyer, P. (2006). Soins infirmiers aux aînés en perte d’autonomie. Une approche adaptée aux CHSLD. Saint-Laurent (Québec) : Éditions du Renouveau Pédagogique.

16 Dépression majeure : particularités chez l’âgé
Faible conscience d’être déprimé. Anxiété souvent associée. Humeur parfois irritable Perte d’intérêt et de plaisir  humeur dépressive Retrait social

17 Dépression majeure : particularités chez l’âgé
Dysfonctionnement physique > humeur dépressive Plaintes somatiques plus fréquentes Présence parfois de conduites régressives Hygiène corporelle négligée Malpropreté du logement Dépendance excessive Refus de se lever, manger, parler, s’habiller… posteriori la dépression.

18 Dépression majeure : particularités chez l’âgé
Pseudodémence ou syndrome démentiel de la dépression : présence de troubles cognitifs dus à la dépression mais pouvant être confondus avec un début de processus démentiel. Dans la dépression, les troubles cognitifs se caractérisent par : Début précis dans le temps; Progression rapide des symptômes cognitifs; Plaintes marquées de déficits cognitifs; Peu d’efforts dans les tâches cognitives.

19 Deuil et dépression Tristesse et symptômes dépressifs sont normaux dans un processus de deuil. Ils s’atténuent graduellement dans la première année suivant la perte. Symptômes inhabituels dans le processus de deuil et indiquant une dépression probable : Idées suicidaires (au-delà d’un désir passif d’être mort); Symptômes psychotiques; Altération marquée du fonctionnement; Culpabilité excessive non liée aux circonstances du décès; Préoccupations morbides de dévalorisation; Ralentissement psycho-moteur.

20 Échelle de dépression gériatrique
Conçue pour une clientèle âgée; Pas d’énoncés relatifs aux symptômes somatiques; Réponses OUI / NON; Traduite et validée en français; Disponible en plusieurs langues; Formes abrégées disponibles; Utilisable si démence faible à modérée (score supérieur à 14 au MMEM de Folstein).

21 Échelle de Cornell Spécialement conçue pour les personnes présentant une démence. Informations provenant de diverses sources : Entrevue avec la personne; Entrevue avec un proche significatif; Observations.

22 Éléments d’évaluation suite à un dépistage positif de dépression
Évaluation selon les critères du DSM-IV; Évaluation de la sévérité des symptômes; Évaluation du risque suicidaire; Antécédents personnels et familiaux de troubles de l’humeur; Identification de la médication et de l’usage de substance; Identification des stresseurs et des conditions de vie; Niveau de fonctionnement et/ou d’incapacités; Situation familiale et sociale – réseau de soutien; Capacités d’adaptation et ressources personnelles; Évaluation du fonctionnement cognitif; Bilan gériatrique: examen physique et épreuves de laboratoire. Source: adapté de CCMSH (2006). National Guidelines for seniors’ mental health. The assessment and treatment of depression

23 la sévérité de la dépression
Options de traitement Selon le diagnostic et la sévérité de la dépression Interventions psychosociales : psycho-éducation; soutien; travail de deuil; activités dans la communauté. Psychothérapies : cognitive et comportementale, interpersonnelle, psychodynamique brève, rétrospective de vie Médication : antidépresseurs, stabilisateurs de l’humeur; antipsychotiques; stimulants…

24 Efficacité des traitements – dépression majeure
Résultats variables selon les études cliniques. En résumé, suivi de 1 an (Blazer, 2004) : 1/3: rémission complète 1/3: rémission partielle ou récidive 1/3: pas de rémission Meilleur pronostic dans études contrôlées avec échantillons sélectionnés: rémission dans 80 % des cas et taux inférieur de récidive. Taux de mortalité et de chronicité:  chez les aînés. Facteurs prédisant un pronostic pauvre : Déficits cognitifs; Maladie physique; Sévérité et chronicité de la dépression; Trouble de personnalité.

25 Suicide et personnes âgées
Hommes âgés > jeunes 15 – 34 ans (St-Laurent, D., Gagné, M. Institut national de santé publique du Québec, 2008) Méthodes létales (Statistiques Canada, 2002) Hommes : 361 suicides Pendaison, strangulation, suffocation : 34 % Armes à feu : % Femmes : 69 suicides Intoxication avec des substances : 40 % Pendaison, strangulation, suffocation : 22 %

26 Dépister – agir : promptement
Tentatives de suicide / suicides complétés Population totale : 20 tentatives/1 suicide Personnes âgées : 4 tentatives/ 1 suicide

27 Dépister – agir : comment?
Connaître: facteurs de risque/de protection Utiliser : outils de dépistage et d’évaluation C.O.Q.; Évaluation de l’urgence suicidaire.

28 Dépister – agir : comment?
Fréquence  C.O.Q. Accessibilité du moyen  Létalité du moyen Depuis combien de temps avez-vous des idées suicidaires ? À quelle fréquence? Comment pensez-vous vous tuer? (Identification du moyen) Où pensez-vous vous tuer? (identification du lieu) Quand pensez- vous tuer? (Identification du délai) Avez-vous le moyen en votre possession? Pouvez-vous vous le procurer facilement? Déterminer si le moyen peut causer la mort

29 Dépister – agir : comment?
Agir : attitudes et actions aidantes Sécurité; Raisons de vivre; Travail d’équipe.

30 Deuxième partie

31 Monsieur Michaud 81 ans Diabétique, plaies au pied, chutes à l’occasion, HTA A besoin d’assistance pour ses soins de santé (alimentation, médication…) Fonctionnement cognitif diminué: 22/30 selon le MMSE lors de l’évaluation faite il y a trois mois Depuis quelques jours, il est noté que monsieur est plus agité, reconnaît moins bien ses intervenants, se lève la nuit et tente de sortir à l’extérieur disant qu’on lui veut du mal

32 Questions Formulez quelques hypothèses quant aux problématiques de santé mentale qui pourraient expliquer la situation de Monsieur Michaud Nommez quelques éléments à l’appui de vos hypothèses

33 Démence et delirium Perturbations du cerveau touchant les
capacités cognitives qui comportent des similitudes et qui nécessitent l’établissement d’un diagnostic différentiel pour une prise en charge adéquate de la personne

34 Delirium État confusionnel aigu chez les patients atteints d'une affection médicale, particulièrement parmi ceux qui sont âgés Le delirium est caractérisé par une perturbation de la conscience associée à une capacité réduite de fixer son attention ou de la porter sur autre chose (DSM-IV) Cette perturbation a tendance à s'installer en un court laps de temps (quelques heures ou quelques jours) et tend à fluctuer au cours de la journée Une bonne compréhension du diagnostic différentiel permet d'effectuer rapidement une prise en charge appropriée et le retour à un état normal

35 Delirium Les affections médicales pouvant occasionner un
delirium sont nombreuses: Médicaments Perturbation de l’équilibre, des fluides Infections Affections métaboliques Troubles cardiaques Malnutrition Le delirium peut survenir en phase post-opératoire Etc.

36 Delirium Le delirium a une prévalence importante chez les personnes âgées qui présentent plusieurs facteurs de risque Dix à quinze pour cent des patients âgés hospitalisés présentent un delirium Jusqu'à 30 % de plus manifestent des symptômes de delirium pendant leur séjour à l'hôpital

37 Démence La démence est un affaiblissement mental
global touchant l’ensemble des facultés intellectuelles d’une personne entraînant la modification de toutes ses sphères d’activités personnelles, professionnelles, sociales et familiales Elle est caractérisée par une évolution irrémédiablement progressive Il existe plusieurs formes de démence (Alzheimer, vasculaire, fronto- temporale, Huntington, mixte, à corps de Lewy, etc.)

38 Démence La maladie d’Alzheimer est la principale forme de démence
elle compte pour 63% de tous les cas de démence ce pourcentage augmentera à 68% d’ici 2034 La démence vasculaire est la deuxième forme la plus fréquente de démence elle représente 20% de toutes les démences Les femmes représentent 72% des cas d’Alzheimer elles comptent pour 62% de tous les types de démence confondus elles représentent 47% des cas de démence vasculaire _______________________ Source: Société d’Alzheimer, Rapport «Raz-de-marée», 4 janvier 2010

39 Démence Un demi-million de Canadiens sont atteints de la maladie d’Alzheimer ou d’une démence apparentée (1) environ d’entre eux ont moins de 65 ans 1 personne sur 11 de plus de 65 ans a la maladie d’Alzheimer ou une affection connexe au cours de l’année 2010, Canadiens développeront la maladie d’Alzheimer ou une démence apparentée 70 à 80 % des résidents en hébergement seraient atteints de la maladie d’Alzheimer ou d’une démence apparentée __________________________ Source: Société d’Alzheimer, Rapport «Raz-de-marée», 4 janvier 2010

40 Les quatre «A» de la démence
Amnésie Aphasie Apraxie Agnosie

41 Démence et delirium Les personnes ayant une démence sont plus susceptibles d’avoir un delirium surajouté à leur démence Ne pas confondre démence et delirium Éliminer d’abord le delirium (diagnostiquer et traiter) ou toute autre forme de problème qui pourrait expliquer l’apparition de déficits cognitifs, d’agitation, y compris une dépression Porter une attention particulière au diagnostic de démence posé à la hâte en situation d’urgence psychosociale ou autre p.ex.: une fois le transfert en hébergement effectué, la personne âgée pourrait reprendre toute sa lucidité…à postériori on saura qu’il s’agissait d’un delirium

42 Démence et delirium Le delirium apparaît subitement et s’avère souvent difficile à distinguer de la démence Réversible dans la mesure où la cause est trouvée et traitée promptement La démence a une apparition plus graduelle et ses dommages sont permanents

43 Démence et delirium Ne pas confondre ralentissement psychomoteur et début de démence Tenir compte de l’interférence des pertes sensorielles et de l’anxiété sur la performance aux tests ou la précision des réponses Donner un délai de réponse raisonnable Éviter des périodes d’entrevue ou de test prolongées Rassurer, établir une relation de confiance Prendre bien soin des personnes âgées qui s’en remettent à nous pour leur avenir, quel qu’il soit

44 Mini-examen de l’état mental de Folstein (MMSE - Mini Mental State Evaluation)
Test de dépistage et non diagnostique Score inférieur à 24/30 indique une altération des fonctions cognitives Score inférieur à 27/30 chez un individu présentant une histoire positive (facteurs de risque) suggère un réel problème  Attention aux « faux-positifs » et aux « faux-négatifs »

45 Monsieur Bossé 58 ans, comptable retraité depuis 1 an
Diabétique, plaies au pied, chutes à l’occasion À l’évaluation cognitive, il réussit les épreuves dans la moyenne bien que son épouse rapporte des oublis inhabituels Dans la dernière année, l’apparition des comportements suivants est notée: Relâchement de l’hygiène et de la tenue vestimentaire; Propos parfois vulgaires ou à connotation sexuelle envers les intervenants; Gestes agressifs envers son épouse (agrippe, serre les bras et la secoue parfois)

46 Questions Formulez quelques hypothèses quant aux problématiques de santé mentale qui pourraient expliquer la situation de Monsieur Bossé Nommez quelques éléments à l’appui de vos hypothèses

47 Syndromes démentiels «focalisés» Atteintes fronto-temporales
N.B. : ces symptômes peuvent appartenir à n’importe quel type de démence Perte de l’autocritique Comportements sociaux inacceptables (hygiène, perte du tact et de la retenue sociale, désinhibition comportementale ou sexuelle, etc.) Rigidité mentale, activités répétitives ou même rituelles Distractibilité, impulsivité Écart entre discours et gestes (curieuse dissociation) Insouciance, anxiété, dépression Apathie ou inertie

48 Approche centrée sur la personne
Une personne souffrant de démence… sa personnalité + ses expériences passées, sa vie, son vécu sa santé physique et psychologique Ses déficits cognitifs causés par la maladie Ses contacts au jour le jour avec son entourage (environnement humain et physique)

49 Démarche d’analyse et de résolution de problèmes
Description du comportement : Examen des antécédents De la personne Du comportement (déclencheurs) Examen des conséquences Quelles sont ces conséquences? Pour qui y a-t-il des conséquences? Y a-t-il réelle nécessité d’intervenir?

50 Démarche d’analyse et de résolution de problèmes (suite)
Processus de résolution de problèmes : Examen des interventions déjà tentées Degré de succès (résultats) Recherche d’autres interventions (brainstorming) Liste des avantages et inconvénients de chacune Choix d’une solution Difficultés anticipées et moyens de les contrer Application de la solution Information de tous et suivi des résultats

51 Interventions Établir le contact visuel puis verbal
Favoriser le calme en tout temps… éviter l’anxiété à tout prix Utiliser l’approche « multisensorielle » pour augmenter les chances de comprendre Modifier l’environnement humain et physique réduire les sources de stimulation et de distraction Placer le résident dans un environnement familier à la tâche approche utiliser sa «mémoire contextuelle» Utiliser la diversion (amener l’attention sur autre chose) : approche verbale approche gestuelle utilisation d’objets diversion à 2 (1 agent de soins « silencieux »; 1 agent de diversion)

52 Interventions Communiquer différemment : ÊTRE MOINS «VERBAL»
 ↓ mots et ↑ gestes  sourire  mots simples et phrases courtes  abstrait  concret; verbal non verbal éviter de raisonner; raccourcir les explications éviter les mots «explosifs» (bain, laver, coucher, etc.) Recourir aux automatismes (mémoire procédurale) en stimulant verbalement, par gestes ou par imitation Créer des contacts plaisants, faire rire, chanter et interrompre les signes de tristesse Concevoir autrement l’agitation et les comportements perturbateurs  la personne fait du mieux qu’elle peut avec ce qui lui reste de compréhension et de capacités

53 Pour plus de détails LEBLANC, Sylvia, Gisèle LEROUX, Suzanne MALO et Carole ROUX, 2009, Santé mentale et personnes âgées : s’outiller pour intervenir ensemble, CSSS Jeanne-Mance. Chapitre 1 : démarche systématique d’analyse et résolution de problèmes Chapitre 3 : les troubles de l’humeur Chapitre 6 : les comportements suicidaires Chapitre 9 : le délirium et la démence


Télécharger ppt "SANTÉ MENTALE ET PERSONNES ÂGÉES: S’OUTILLER POUR INTERVENIR ENSEMBLE par Suzanne Malo, psychologue Carole Roux, conseillère spécialisée en psychologie."

Présentations similaires


Annonces Google