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Réseaux sociaux Essai de définition Web 2.0 Observations générales

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1 Réseaux sociaux Essai de définition Web 2.0 Observations générales
Connexion permanente Usages Twitter Réseaux divers Facebook Identité numérique • 96% des "Millennials" (nés après 1980) sont engagés dans un réseau social • Si Facebook était un pays, il serait derrière la Chine, l'Inde mais devant les USA • En novembre 2010, Facebook comptait près de 20 millions d’utilisateurs en France • 60 millions de statuts sont, quotidiennement, mis à jour sur Facebook • La population qui se développe le plus vite sur Facebook est celle des femmes entre 55 et 65 ans • 80% des entreprises utilisent le « Social Media » pour recruter • Sur Twitter, Britney Spears compte plus d'abonnés que la population de l'Irlande ; • YouTube est le second moteur de recherche dans le monde • 34% des blogueurs publient des articles sur des produits ou des marques.

2 Réseaux sociaux Essai de définition
Ensemble d'entités sociales et interactions Objectifs ou activités communes Le terme de « réseau social » est apparu pour la première fois en 1954, employé par John A. Barnes, anthropologue britannique. Un réseau social est un ensemble d’individus ou organisations sociales reliées entre elles par des interactions sociales. Depuis quelques années, Internet apporte une autre dimension au « social networking », et le définit plus comme une communauté d’individus ou d’organisations reliées en fonction des centres d’intérêts (musique, cinéma..) ou par la vie professionnelle. 2) Différents types de réseaux sociaux  Un réseau social peut se présenter sous plusieurs formes. Il existe des réseaux sociaux, mis en place pour une visée professionnelle, c’est le cas de Linkedin notamment. Un réseau social peut être conçu pour agrandir son cercle d’amis, mais aussi pour trouver un emploi, voir trouver l’âme sœur. Le sociologue, Dominique Cardon divise en cinq catégories les différents réseaux sociaux proposés sur le net. Il crée cette typologie en s’appuyant sur l’identité numérique que souhaite renvoyer un utilisateur (il en existe quatre selon lui), et par le type de visibilité que chaque site accorde au profil de ses membres.

3 Réseaux sociaux : Web 2.0 Interactions
Le web n’est plus réservé aux spécialistes Fil rss et syndication de contenu Étiquettes, nuages de mots-clés Réseaux sociaux Crowdsourcing L'expression « Web 2.0 » désigne certaines technologies et des usages du World Wide Web qui ont suivi la forme initiale du web1, en particulier les interfaces permettant aux internautes ayant peu de connaissances techniques de s'approprier les nouvelles fonctionnalités du web. Ainsi, les internautes peuvent interagir (partager, échanger, etc.) de façon simple, à la fois avec le contenu et la structure des pages, mais aussi entre eux, créant ainsi notamment le Web social2. Le Web 2.0 facilite l'interaction entre utilisateurs, le crowdsourcing et la création de réseaux sociaux rudimentaires, pouvant servir du contenu et exploitant les effets de réseau, avec ou sans réel rendu visuel et interactif de pages Web. En ce sens, les sites Web 2.0 agissent plus comme des points de présence, ou portails Web centrés sur l’utilisateur plutôt que sur les sites Web traditionnels. L’évolution des supports permettant de consulter les sites Web, leurs différents formats, amène en 2008 une approche recentrée sur le contenu plus que sur l’aspect. Vu par les techniciens de l’internet, le “nouveau” web a pour objectif de rendre les sites web compréhensibles par des machines via un ensemble de technologies (pour résumer, celles du “web sémantique”) qui permettent d’agréger ou de partager des services et des contenus, de refondre les interfaces, etc. Vu par les designers, le web 2.0 parle de l’amélioration de l’expérience utilisateur. Ainsi, pour Frédéric Cavazza, spécialiste d’utilisabilité et d’ergonomie, le web 2.0 combine, d’un côté, une amélioration des interfaces utilisateurs et de l’autre, des architectures plus flexibles, des protocoles de communication plus ouverts (web services), une interopérabilité plus poussée… Le web 2.0 repose sur une multitude de petites améliorations technologiques (la révolution AJAX, comme disait récemment encore Wired), ergonomiques (interfaces riches), sémantiques (micro-formats)… qui donnent des résultats d’une grande souplesse d’utilisation comme NetVibes par exemple, un agrégateur en ligne utilisant ces techniques. A qui s’adresse en définitive le Web 2.0, se demande alors le consultant en “usabilité” Peter Merholz ? Aux ordinateurs, comme le clame Jeff Bezos d’Amazon, ou bien aux utilisateurs auxquels il confère un pouvoir nouveau ? Joshua Porter se range résolument du côté des utilisateurs : technologiquement, rien d’essentiel n’a changé sur l’internet depuis 10 ans. L’essence du “nouveau web” réside dans ce qu’en font aujourd’hui les gens. Pour lui, le web 2.0 c’est le partage de l’information, fondé sur des bases de données ouvertes qui permettent à d’autres utilisateurs de les employer. Dannah Boyd, sociologue et chercheuse chez Yahoo!, s’intéresse moins à la distinction machines/humains qu’à la “glocalisation” : la glocalisation c’est quand un produit global est également adapté aux particularités locales, quand il restitue à la globalisation sa dimension sociale. En mettant en avant, par exemple, les Folksonomies qui permettent d’ajouter des mots clefs à des contenus, ou le rôle du remix, elle s’intéresse aux “nouvelles structures de réseau qui émergent des structures globales et locales”. Le web 2.0 donne aux gens la possibilité de trouver, organiser, partager et créer de l’information d’une manière à la fois personnelle et globalement accessible. Il est alors entendu comme une “variation structurale dans l’écoulement de l’information”. Pour Ian Davis, enfin, le web 2.0 est une attitude, une philosophie d’ouverture sociale dont le but est d’abandonner le contrôle individuel sur les choses au profit de la participation du plus grand nombre. Le crowdsourcing est un des domaines émergents du management de la connaissance : c'est le fait d'utiliser la créativité, l'intelligence et le savoir-faire d'un grand nombre de personnes (des internautes en général), en sous-traitance, pour réaliser certaines tâches traditionnellement effectuées par un employé ou un entrepreneur. Ceci se fait par un appel ciblé (quand un niveau minimal d'expertise est nécessaire) ou par un appel ouvert à d'autres acteurs. Le travail est éventuellement rémunéré. Il peut s'agir de simplement externaliser des tâches ne relevant pas du métier fondamental de l'entreprise, ou de démarches plus innovantes. Le terme « crowdsourcing » est un néologisme sémantiquement calqué sur l'outsourcing (externalisation). La traduction littérale de crowdsourcing est « approvisionnement par la foule, ou par un grand nombre [de personnes] », mais l'expression ne reflète pas vraiment le sens anglo-saxon du terme ; « Impartition à grande échelle » ou encore « externalisation distribuée à grande échelle » sont d'autres traductions plus précises. Pour le journaliste économiste Henk van Ess, en septembre 2010, le crowdsourcing consiste à canaliser les besoins ou désirs d'experts pour résoudre un problème et ensuite partager librement la réponse avec tout le monde. Google et Wikipédia sont pour H. Van Ess les plus gros utilisateurs de crowdsourcing. Le travail peut être collaboratif ou au contraire s'effectuer purement en parallèle. Dans une approche économique, il peut s'agir de remplir une tâche au moindre coût, mais des approches plus collaboratives, sociales ou altruistes existent, faisant appel à des réseaux spécialisés ou au grand-public. Certaines démarches de sciences participatives et sciences citoyennes l'utilisent, pour acquérir un plus grand nombre de données, à des échelles géographiques qui seraient autrement inaccessibles à des chercheurs insuffisamment nombreux ou ne pouvant faire preuve d'ubiquité (par exemple dans le domaine de l'astronomie ou des sciences environnementales).

4 Réseaux sociaux Différents types de réseaux sociaux
Un réseau social peut se présenter sous plusieurs formes. Il existe des réseaux sociaux, mis en place pour une visée professionnelle, c’est le cas de Linkedin notamment. Un réseau social peut être conçu pour agrandir son cercle d’amis, mais aussi pour trouver un emploi, voir trouver l’âme sœur. Le sociologue, Dominique Cardon divise en cinq catégories les différents réseaux sociaux proposés sur le net. Il crée cette typologie en s’appuyant sur l’identité numérique que souhaite renvoyer un utilisateur (il en existe quatre selon lui), et par le type de visibilité que chaque site accorde au profil de ses membres. Le paravent : Informations des membres accessibles par un moteur de recherche fonctionnant avec des termes de recherches précis. Le clair-obscur : Informations des membres (vie social, quotidien) accessibles par un réseau d’amis ou de proches. Le phare : Informations des membres très détaillés (goûts, passions, productions) visibles par tous. Le post-it : Les participants rendent visibles leur disponibilité et leur présence en multipliant les indices contextuels, mais ils réservent cet accès à un cercle relationnel restreint. La lanterna magica : Membres prenant l’apparence d’un avatar. Mélange d’informations sur leur vie réelle et leur vie virtuelle.

5 Réseaux sociaux Dates clés
1954 : L’anthropologue britannique John A. Barnes parle le premier dans un article de réseau social, social network. 1995 : Création aux Etats-Unis de Classmates.com, considéré comme le premier site Internet de « réseautage » social. 2002 : Le lancement de Friendster.com sonne le début du boom des services de « réseautage » social en ligne. 2007 : En octobre, le réseau Facebook, deuxième site mondial de socialisation derrière MySpace, accueille Microsoft dans son capital. 2008 : D’après une étude Emarketer, les réseaux sociaux devraient générer dans le monde des revenus publicitaires de 2,2 milliards de dollars en 2008, contre 1,2 milliard en 2007.

6 Nombre d’inscriptions
Réseaux sociaux Un phénomène mondial Nom Description Nombre d’inscriptions MySpace Héberge de nombreux sites internet de groupes de musique mais aussi d’individus (très populaire dans de nombreux pays) Facebook Très populaire au Royaume-Uni et aux Etats-Unis Friendster Très populaire aux Philippines, en Malaisie, en Indonésie et à Singapour Classmates A pour but de retrouver ses anciens camarades de classe, considéré comme le premier site de réseautage social 0rkut Très populaire au Brésil et en Inde Netlog Très populaire en Belgique Les réseaux sociaux ne sont pas un phénomène purement occidental, mais touche tous les pays du monde. Cependant, d’un pays à un autre les sites ne sont pas les mêmes.

7 Réseaux sociaux Pourquoi ce besoin ?
La pyramide des besoins schématise une théorie élaborée à partir des observations réalisées dans les années 1940 par le psychologue Abraham Maslow sur la motivation. L'article où Maslow expose sa théorie de la motivation est paru en 1943. La pyramide de Maslow est une classification hiérarchique des besoins humains. Maslow distingue cinq grandes catégories de besoins. Il considère que le consommateur passe à un besoin d’ordre supérieur quand le besoin de niveau immédiatement inférieur est satisfait. Nous proposons une nouvelle approche de ce modèle en :    reprenant les 5 catégories de Maslow,    brisant cette vision hiérarchique (aujourd’hui contestée),    introduisant un nouveau besoin, déduit de notre modélisation. Les besoins humains selon Maslow :   Les besoins physiologiques sont directement liés à la survie des individus ou de l’espèce. Ce sont typiquement des besoins concrets (faim, soif, sexualité,...).   Le besoin de sécurité consiste à se protéger contre les différents dangers qui nous menacent. Il s’agit donc d’un besoin de conservation d’un existant, d’un acquis. Il s’inscrit dans une dimension temporelle.   Le besoin d’appartenance révèle la dimension sociale de l’individu qui a besoin de se sentir accepté par les groupes dans lesquels il vit (famille, travail, association, ...). L’individu se définissant par rapport à ses relations, ce besoin appartient au pôle « relationnel » de l’axe ontologique.   Le besoin d’estime prolonge le besoin d’appartenance. L’individu souhaite être reconnu en tant qu’entité propre au sein des groupes auxquels il appartient.   Le besoin de s’accomplir est selon Maslow le sommet des aspirations humaines. Il vise à sortir d’une condition purement matérielle pour atteindre l’épanouissement. Nous le considérons donc comme antagoniste aux besoins physiologiques.

8 Réseaux sociaux Niveau 1 : Être présent malgré soi
Toutes les marques et les entreprises finiront par être présentes sur les médias sociaux qu’elles le veuillent ou non. Ce premier niveau traduit cette présence non contrôlée par des porte-paroles autoproclamés, des avis, des commentaires… Inutile de préciser que ce type de présence n’est bien sûr pas idéal. Niveau 2 : Être présent et contrôler sa communication Ouvrir soi-même ses espaces au sein des sites communautaires permet de contrôler sa présence a minima, l’important étant d’arriver tôt. Niveau 3 : Fédérer sa communauté À partir d’une présence stratégique, il s’agit ici de mettre œuvre de réelles actions pour recruter des membres de sa communauté et ainsi faire en sorte que des internautes créent des liens entre leurs univers et ceux de la marque. Niveau 4 : Alimenter sa communauté Il s’agit ici de produire des contenus pour sa communauté. Il s’agit de contenus orientés utilisateurs qui ont des qualités intrinsèques virales. Niveau 5 : Impliquer sa communauté C’est l’étape ultime, le niveau du crowdsourcing ou les membres de la communauté vont non seulement relayer les messages, mais également produire du contenu pour le compte de la communauté.

9 Connexion permanente

10 Connexion : Les inégalités se réduisent mais demeurent
Intéressant de noter que la progression de l’accès sur le lieu de travail est inférieure à la progression à domicile. Au final, plus de connectés quand même. Chez les 18/24 ans, 35% se sont connectés depuis un lieu public. La connexion nomade est en augmentation constante 0 chez les plus de 70 ans, mais 54% des 18/24.

11 Connexion : Les inégalités se réduisent mais demeurent
L’âge joue un rôle déterminant Entre 40 et 59 ans, on recense 74% d’internautes Le diplôme génère des différences sensibles sur l’accès à internet. Le taux d’internautes est également lié au niveau des revenus Les écarts se sont tout de même réduits en un an L’âge joue un rôle déterminant : avant 40 ans, le taux de connexion est maximal (92% en moyenne dans cette tranche d’âge, soit 20 points de plus que la moyenne). Entre 40 et 59 ans, on recense 74% d’internautes. Ensuite, la proportion diminue : cela ne concerne plus qu’une personne sur deux parmi les sexagénaires et 13% des 70 ans et plus. Le diplôme génère des différences presque aussi sensibles. Entre les non- diplômés (29%) et les personnes issues de l’enseignement supérieur (94%), le taux d’internautes varie du simple au triple. Le taux d’internautes est également lié au niveau des revenus : plus les revenus progressent et plus grande est la probabilité d’être internaute (de 52% chez ceux qui perçoivent moins de 900€ par mois à 93% chez les titulaires des revenus les plus élevés). Les écarts se sont tout de même réduits en un an, grâce à une nette progression du taux d’internautes en bas de l’échelle des revenus (+ 14 points).

12 Qui sur les réseaux sociaux ?
Un adolescent sur deux fait partie d’un « réseau social » sur Internet ¼ de la population (23%) fait partie de réseaux de type Facebook, Myspace ou Linked in. L’effet d’âge est important : la moitié des adolescents et deux-tiers des jeunes adultes sont des habitués des réseaux sociaux Le niveau de diplôme joue peu Un adolescent sur deux fait partie d’un « réseau social » sur Internet Près du quart de la population (23%) – soit plus de 12 millions de personnes – fait partie de réseaux de type Facebook, Myspace ou Linked in. Cela concerne, de fait, un tiers des internautes. L’effet d’âge est, ici, extrêmement fort : la moitié des adolescents (52% des ans) et deux-tiers des jeunes adultes (65% des ans) sont des habitués des réseaux sociaux, alors que passés 40 ans, rares sont ceux qui en font partie (Tableau A- 19, page 202). Le niveau de diplôme joue un peu (35% des diplômés sont sur Facebook ou Myspace), tout comme les revenus (28% des titulaires des plus hauts revenus sont membres de tels réseaux). A Paris et dans son agglomération, 34% des habitants font partie d’un réseau social sur Internet.

13 Vie privée Pour 82% des personnes interrogées, les sites de réseaux sociaux devraient mieux protéger la vie privée de leurs utilisateurs Pour 93% des enquêtés, les utilisateurs de ces sites devraient faire attention aux informations qu’ils y laissent. Ainsi, pour 82% des personnes interrogées, les sites de réseaux sociaux devraient mieux protéger la vie privée de leurs utilisateurs . Mais surtout, pour 93% des enquêtés, les utilisateurs de ces sites devraient faire attention aux informations qu’ils y laissent.

14 Second Life Simulation de société virtuelle permettant aux internautes d’incarner des personnages virtuels dans un monde « meilleur ». Ambiguité : un jeu ou une société ? Gratuit mais … Extraits de reportages Second Life représente une simulation de société virtuelle permettant aux internautes d’incarner des personnages virtuels dans le monde. Ainsi, les utilisateurs peuvent eux-même créer le contenu du jeu tel que la construction de bâtiments, la création d’objets divers, de vêtements ou d’évènements. Cet univers possède une économie propre basée sur une monnaie virtuelle : le dollar Linden du nom du créateur Linden Lab. On peut donc souligner qu’il ne s’agit pas uniquement d’un jeu mais bien d’un réseau social complexe où se rencontrent des individus sous forme d’avatar, et où s’expriment des engagements politiques et sociaux. Sa gratuité lui permet de rassembler plus de 10 millions d’utilisateurs à travers le monde. Ces deux reportages exposent le mode d’utilisation de Second Life et l’ampleur que ce réseau social complexe prend aujourd’hui dans la vie quotidienne de milliers d’internautes. Si son accès est gratuit, certains avatars se l’approprient pour gagner de l’argent, tout comme les grandes marques, qui ont su saisir ce boom virtuel pour installer leur marché dans cette seconde vie. Ce jeu est devenu un outil marketing pour un grand nombre d’entreprises notamment, Toyota, le Crédit Agricole, l’Oréal… En effet, il se crée un lien nouveau entre ces sociétés et leur clientèle. Des sondages qualitatifs peuvent être mis en place afin de demander leur opinion aux consommateurs sur des produits de la vie de tous les jours. Second Life intervient également dans la politique, la musique (le groupe U2 a organisé plusieurs concerts), l’éducation où est mis en avant un environnement adéquat pour les enseignants afin de faire de l’enseignement à distance, de faire des simulations, des études au niveau des médias et dans le domaine de la recherche d’emplois. Il existe cependant des risques, nous allons prendre l’exemple du Teen Second Life, spécialement conçu pour les jeunes de 13 à 17 ans puisque Second Life ne concerne que les adultes. Le logiciel peut s’avérer dangereux pour l’enfant en fragilisant son lien social. En effet, il peut poser des problèmes de désocialisation voire même d’addiction. En consacrant tout son temps à jouer, sa scolarité, sa sociabilité, amicale ou amoureuse peuvent en pâtir. Le monde virtuel prend le dessus sur la vie réelle. Le phénomène d’addiction peut, d’autant plus, être amplifié par le fait que le TSL n’a pas de fin, car l’individu crée sa propre existence. De plus, que soit TSL ou SL, il persiste un danger de communautarisme. Le jeu leur permet d’obtenir une certaine reconnaissance de la communauté des joueurs et un sentiment d’appartenance à celle-ci. Le problème est que l’on ne peut pas réellement savoir à qui on parle. Malgré les systèmes de sécurité pour que ne s’inscrivent que des mineurs, le filtrage et le contrôle reste difficile (50 % des joueurs de TSL ont entre 18 et 29 ans). Pour finir, la liberté octroyée dans ce réseau social comme dans d’autres peut avoir des conséquences négatives. On peut citer un exemple concret : de plus en plus «d’îles» se forment sur le thème du sexe. Les internautes peuvent y voir des stripteases, commander des escortes et même y visionner des films X. Ce business du sexe prend de plus en plus d’ampleur et est très lucratif. Les sex-shops ont d’ailleurs fait leur entrée dans Second Life et on peut y accéder sans trop de difficultés. Il peut donc y avoir des dommages psychologiques chez l’individu.

15 Réseaux sociaux spécialisés
Familiaux Copains MySpace

16 Réseaux sociaux professionnels
Les réseaux professionnels trouver du travail ou recruter trouver des opportunités de business disposer d'un carnet d'adresse en ligne accessible et à jour LinkedIn est un réseau social professionnel en ligne créé en à Mountain View (Californie). En juin 2010, le site revendique plus de 70 millions de membres5 issus de 170 secteurs d'activités dans plus de 200 pays LinkedIn est un service en ligne qui permet de construire et d’agréger son réseau professionnel. Il se définit comme un réseau de connaissances qui facilite le dialogue entre professionnels. Pour ses membres, c'est aussi un outil de gestion de réputation en ligne et de personal branding. Nommé en juin 2009, Jeff Weiner est le CEO (PDG) actuel du réseau. Reid Hoffman , co-fondateur, est Chairman (président). Le siège social de LinkedIn est à Mountain View en Californie. Environnement concurrentiel : les réseaux sociaux comme Facebook ou MySpace ne sont pas considérés comme des concurrents directs, mais comme des réseaux complémentaires. Selon Reid Hoffman : « MySpace, c’est le bar, Facebook, c’est le barbecue au fond du jardin, et LinkedIn, c’est le bureau. » trois sources de revenus : La publicité Les abonnements Les services aux entreprises (dont solutions de recrutement)

17 Réseaux sociaux professionnels
Viadeo Viadeo est un réseau social professionnel créé par Dan Serfaty et Thierry Lunati. D'abord lancé en France, Viadeo s'est aujourd'hui fortement développé à l'international, notamment en Europe et dans les pays émergents. Depuis décembre 2010, le site revendique connexions par jour entre membres et 35 millions de membres . Viadeo s'adresse aux professionnels souhaitant augmenter leurs opportunités de business (recherche de nouveaux clients, partenaires ou fournisseurs…), gérer et développer leur réseau de contacts professionnels et accroître leurs opportunités de carrière (être chassé, accroître leur visibilité). 7 D'ailleurs, en France, depuis 2009, Viadeo et L'Association pour l'emploi des cadres (Apec) ont noué un partenariat.8. Les réseaux sociaux, notamment professionnels, ont modifié le comportement des internautes vis-à-vis de leurs données personnelles, popularisant le renseignement de son profil par l'utilisateur. Avoir son profil professionnel complet et à jour sur les réseaux sociaux professionnels apporte plus de visibilité à l'utilisateur, ainsi qu'une meilleure maîtrise de son image ou e-réputation et un meilleur référencement sur les moteurs de recherche. C'est ce qui explique sans doute qu'il y a aujourd'hui plus de 110 millions de membres sur les réseaux sociaux professionnels dans le monde. Les principaux usages de la plateforme Viadeo : créer son réseau, gérer sa carrière, développer son business Créer son réseau : Viadeo permet de gérer et développer ses contacts professionnels quasi-immédiatement et à long terme, permettant d'établir une relation durable et de confiance : (re)trouver des collègues, des clients, des partenaires, etc. La recommandation entre membres est le fondement du networking -comme l'évoque Nicholas Vieuxloup 15 pour le Social Media Club 16. Gérer sa carrière : aussi important que la création de son réseau, la gestion de carrière est une des motivations majeures des internautes à créer leur profil sur Viadeo. Trouver un emploi, recevoir des offres ou simplement être à l’écoute du marché sont désormais des habitudes des professionnels à l'ère du 2.0. De nombreux recruteurs (cabinets RH spécialisés ou entreprises) l’utilisent également pour trouver des collaborateurs. Selon une étude de RegionsJob, 47% des DRH déclarent se servir des réseaux sociaux pour leur recrutement 17. Développer son business : donner de la visibilité à son offre, ses produits ou son entreprise est le 3ème usage des réseaux sociaux professionnels. De nombreux utilisateurs s’en servent aussi pour trouver des prospects, clients, fournisseurs, partenaires. Les commerciaux notamment sont très actifs sur les réseaux sociaux 18.

18 Twitter http://twitter.com/ http://twitter.com/Classe_Masson
QU’EST-CE QUE TWITTER ? Service de Micro-Blogging, apparu en 2006. 140 caractères, un mur A l’origine, une question : que faites-vous en ce moment ? La réponse se fait en 140 caractères (la longueur d’un SMS) afin de pouvoir utiliser les téléphones portables. Ainsi, l’utilisation de Twitter peut se faire depuis un ordinateur, directement sur twitter.com ou via des logiciels adaptés dont je parlerai plus loin, mais également depuis un téléphone mobile, une tablette tactile... Des abonnés, des abonnements Twitter, c’est une suite de mises à jour de courtes phrases, publiées sous un compte. Les personnes “abonnées” à ce compte voient cette phrase dans leur “timeline”. De même, le compte peut suivre d’autres personnes, les “abonnements”, dont il voit les mises à jour sur sa propre timeline. Pour ceux qui connaissent Facebook, Twitter s’apparente à ce qu’on appelle le “mur”, à 3 différences près : il ne s’agit que des “statuts” : phrases ou liens (y compris liens vers images ou vidéos) ; la relation entre “amis” n’est pas la même que sur FB : on peut “lire” quelqu’un (on dit qu’on le suit) sans être lu par cette personne ; du coup, la dimension “privée” est beaucoup moins forte que sur Facebook. Twitter sert avant tout à diffuser de l’information, à échanger publiquement, même si d’autres usages restent possibles. Communication asynchrone Définition : communication synchrone, concerne le téléphone, les tchats ou les webcams, et nécessite la présence et la réactivité des interlocuteurs. Communication asynchrone : le répondeur, le mail, le SMS : on attend éventuellement une réponse, mais pas forcément dans la seconde. Twitter fait partie de la 2e catégorie, et ne demande donc pas une attention de tous les moments. Cependant : plus on a d’abonnements (donc une TL qui se remplit vite), plus ce côté asynchrone devient difficile à gérer. Des bonus : #, DM, RT, ... Un tweet peut comporter un mot important précédé du symbole #. On l’appelle tag, et il devient cliquable, pour afficher tous les tweets de tous les utilisateurs qui utilisent ce tag : cela permet de suivre une discussion ou de chercher des utilisateurs ayant les mêmes intérêts. Au-delà du simple message de 140 caractères maximum qu’on appelle le “tweet”, il est possible d’envoyer des messages privés. (expliqué dans la démonstration). Les réponses sont symbolisées par suivi du compte auquel on s’adresse, au sein d’un tweet public (important de souligner ce point, ce n’est pas comme pour un mail). Enfin, une chose spécifique à Twitter : le RT, Retweet. Un Tweet qui nous a plu, qu’on trouve pertinent ou amusant, est “répété” par nos soins sur notre TL. Ainsi, une information diffusée à quelques abonnés seulement peut être lue par des milliers de personnes.

19 Facebook Un profil Une page Départemental-de-Documentation- Pédagogique-de-lIsère

20 Facebook Blog : écrit de qualité Facebook : fonction phatique
Document : Comprendre Facebook Une fonction phatique : publier un message qui ne dit rien d’intéressant, c’est ça qui est intéressant Les blogs ont évolué du journal intime vers un contenu fouillé, fonction de journal intime reprise par Facebook.

21 Facebook Un réseau d’amis
“Es-tu mon ami ou pas ?” Pour danah boyd, cette question existentielle qui parcourt les cours de récréation, est une clé pour comprendre le fonctionnement des réseaux sociaux en ligne. Dans le fonctionnement de Friendster ou MySpace qu’elle a particulièrement étudiés, les participants doivent sélectionner qui ils autorisent à être “leur ami”, c’est-à-dire à les inscrire dans leur liste personnelle (et souvent publique) de contacts de prédilection. Ce choix, public, structure la participation en réseau, explique-t-elle dans la dernière livraison de First Monday [1]. “La fonction d’”amitié” permet aux utilisateurs de produire des communautés au sein des sites de réseaux sociaux. [Leurs] participants y expriment qui ils sont et se situent eux-mêmes d’un point de vue culturel.” Mais l’article est surtout intéressant lorsqu’il montre l’émergence de normes de socialisation nouvelles, liées aux caractéristiques propres des réseaux sociaux en ligne : “Les normes qui régissent l””Amitié” sont apparues en réponse aux tensions sociales qu’engendraient les limitations techniques des sites. Elles reflètent de bien des manières les normes sociales traditionnelles mais, parce que l’architecture des sites de réseautage est fondamentalement différente de celle des espaces sociaux sans médiation, ces sites produisent un environnement profondément nouveau.” “Ce sont principalement les non-participants qui perpétuent la croyance qu’une liste d’amis en ligne n’est rien d’autre qu’une liste de ses meilleurs amis dans la vie.” Pourtant, cette sociabilité est différente, explique la chercheuse. Elle en apporte pour preuve le succès des faux profils, des fakesters (des profils non plus de personnes, mais d’émission de télés, de personnages publics réels ou fictifs, de marques qui se sont démultipliés sur ces réseaux, et qui sont le fait de fans ou de sociétés elles-mêmes cherchant…). Les listes d’”amis” se composent donc à la fois d’amis véritables, de relations distantes – qu’on n’ose pas toujours refuser d’inscrire dans sa liste – et de célébrités qu’on admire, le tout produit au terme de processus de négociations parfois complexe. danah boyd pointe le cas des “Meilleurs amis”, ou Top friends, qui permet de lister dans l’ordre de son choix une sélection d’amis, un choix qui peut prendre, pour les plus jeunes, une importance dramatique. Cette importance décroît en revanche avec l’âge ou l’habitude d’utilisation de ce type de fonctionnalité. Mais dans tous les cas, le choix de ses “amis” n’est pas uniquement personnel : car chaque choix, étant public, a le potentiel de compliquer des rapports avec des amis, des collègues, des camarades de classe, et des petit(e)s ami(e)s. En tout cas, il y a dans ces exemples-là, la marque de l’apprentissage de véritables processus de négociation, et de l’émergence d’une sociabilité numérique aux caractéristiques propres. Dans ces réseaux, l’amitié est donc un acte social, visible par tous, qui permet surtout de forger son identité. Le choix des “amis” est l’une des manières les plus significatives et reconnues de personnaliser son “profil” : les amis sont premiers, les centres d’intérêt viennent ensuite. Sa communauté se définit d’une manière égocentrique. “Les participants d’un réseau social veulent que leur réseau soit public car public signifie une interaction supplémentaire avec tous ceux qui ont des goûts similaires ou qui peuvent leur apporter des informations ou des divertissements qui leur sont proches.” “Les jeunes utilisent MySpace pour échanger avec leurs amis mais aussi pour s’inspirer du comportement de leurs aînés afin de définir les leurs”, rapporte Jean-François Ruiz [2] après avoir entendu danah boyd lors de la conférence LeWeb3 [3]. “En pensant aux pratiques en matière d’amitié dans les réseaux sociaux en ligne, il est crucial de les évaluer dans leur contexte, en identifiant le rôle de la technologie et de la navigation sociale, plutôt que de les considérer simplement comme une prolongation des réseaux d’amis habituels, fonctionnant en temps différé”, conclut non sans raison la chercheuse.

22 Facebook La vie privée Une affaire de vieux cons
Liberté d’expression et circulation de l’information Quelle notion de la vie privée aujourd’hui ? Article de Jean-Marc Manach ds Internet actu Quelle maitrise de son exposition ? Parallèle avec la révolution sexuelle Détectives Révolutions CV Un monde moins contrôlé par le haut L’article date de mars 2009

23 Facebook Différences de générations Les parents / les transparents
Parents : Paranoïa achats, mails, etc Transparents : cherchent de l’echo sur le web


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