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TÉLÉCOMS ET DEVELOPPEMENT: LES NOUVEAUX DEFIS

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1 TÉLÉCOMS ET DEVELOPPEMENT: LES NOUVEAUX DEFIS
Par : Direction Opérateurs ANRT-Rabat

2 1- Evolution de la chaîne de valeur 2- la technologie IP
LES NOUVEAUX DEFIS POUR LA RÉGULATION 1- Evolution de la chaîne de valeur 2- la technologie IP 3- Conjoncture financière difficile 4- Réseaux multiservices et virtuels 5- Intelligence localisée dans les serveurs et les terminaux 6- Les tarifs insensibles au temps et à la distance 7- Diminution de l’ARPU ou du RMPA 8-Sécurité - Conclusion

3 1- EVOLUTION DE LA CHAÎNE DE VALEUR
Les acteurs télécoms traditionnels : Les acteurs télécoms traditionnels Opérateurs Équipementiers

4 1- EVOLUTION DE LA CHAÎNE DE VALEUR
Opérateurs de réseaux ; Opérateurs de portails Internet ; Les fournisseurs de services ; Les opérateurs virtuels ; Les fournisseurs de logiciels ; Les éditeurs et agrégateurs de contenus.

5 % du revenu CHAINE DE VALEUR ACTUELLE DES TELECOMMUNICATIONS Abonnés
Dans les applications de voix, l’opérateur de réseau s’accaparait plus de 70% du revenu Abonnés Opérateurs de réseau Service providers Editeurs des applications de valeur ajoutée Editeurs de contenu 100% 23% 3% 2% 72% % du revenu

6 LA CHAINE DE VALEUR FUTURE
Abonnées Opérateurs de réseau Service providers les applications de valeur ajoutée providers Editeurs de contenu 100% 12% 38% 50% % du revenu 25%

7 CONSÉQUENCE SUR LES STRATÉGIES DES OPÉRATEURS
Être présent dans toute la chaîne de valeur : dans le réseau, dans le contenu et dans la distribution ; Ne pas rester de simple vendeurs de « tuyaux » ; Maîtriser l’Internet sur les mobiles de 3G.

8 CONSEQUENCE SUR LES STRATEGIES DES EQUIPEMENTIERS
Maîtriser, de bout en bout, la chaîne IP ; Tenir de l’importance du trafic données ; Maîtrise de l’Internet mobile sur 3G ; Se positionner sur les services, le contact avec le client est important.

9 Types de téléphonie sur IP
2- LA TECHNOLOGIE IP TÉLÉPHONIE SUR IP : Types de téléphonie sur IP PC à PC PC à Poste Poste à Poste Qualité de service

10 COMPARAISON TÉLÉPHONIE SUR IP TÉLÉPHONIE CLASSIQUE moins bonne bonne
QUALITÉ DE SERVICE COÛTS DES ÉQUIPEMENTS SERVICES BANDE PASSANTE COMMUTATION Faibles élevés nouveaux services Nombre limité Meilleure exploitation Mauvaise exploitation paquets circuits TÉLÉPHONIE SUR IP TÉLÉPHONIE CLASSIQUE

11 IMPACTS Sur l’utilisateur (Réduction des tarifs des communications LDI) ; Sur les nouveaux opérateurs (Déploiement progressif, Bonne alternative dans un milieu Concurrentiel) ; Sur les opérateurs historiques( Pertes de bénéfice, détournement de trafic) ; Sur les taxes de répartition (Élimine la taxe de répartition et défavorise les pays ayant des trafics sortant faibles) ; L’interconnexion dans les réseaux classiques est pré-établie, dans la technologie IP, il y a routage dynamique.

12 ASPECTS JURIDIQUES SITUATION OU CONSIDÉRATION PAYS
Pas d’interdiction spécifique Angola, Mongolie, Nouvelle Zélande, Pologne, Etats Unis Autorisée ou non réglementée si la transmission n’est pas en temps réel (n’est pas assimilé à de la téléphonie vocale) Pays de l’Union Européenne, Islande Autorisée. Lorsque la transmission se fait en temps réel, assimilées aux autres services de communication vocale (sous réserve d’octroi de licences et visées par les dispositions détaillées de la réglementation appliquée à la téléphonie vocale classique) Australie, Canada, Chine, Rép. de Corée, Malaisie. Pays qui interdisent l’utilisation de l’Internet public et des réseaux IP pour les services de téléphonie et de télécopie Albanie, Cambodge, Croatie, Cuba, etc.

13 3- CONJONCTURE FINANCIERE DIFFICILE
Les acteurs de financement avant la déréglementation : - Etat actionnaire ; - Banque Mondiale : crédits garantis par l’Etat ; - Crédits bilatéraux : dans le cadre de la coopération bilatérale entre pays ; - Crédits à Court terme : Banques et fournisseurs.

14 3- CONJONCTURE FINANCIERE DIFFICILE
Les acteurs de financement après la déréglementation : - Capitaux privés, capitaux propres ; - Banques ; - SFI, Départements relevant de la BIRD ; - Bourses.

15 ACTIONS, BONS, FACTURES, ET INFLATION
$0 $1 $10 $100 $1,000 $10,000 Action de petites entreprises $6,402 12.4% Action de grandes entreprises $2,587 11.0% Bons de gouvernement Bons de trésorerie Ending Wealth Rendement moyen Inflation $49 5.3% $17 3.8% $10 3.1% Stocks, Bonds, Bills, and Inflation® A 75-year examination of past capital market returns provides historical insight into the performance characteristics of various asset classes. This graph illustrates the hypothetical growth of a $1 investment in four traditional asset classes, as well as inflation, over the time period December 31, 1925 through December 31, Large and small company stocks have provided the largest increase in wealth over the past 75 years. The fixed-income investments provided only a fraction of the growth provided by stocks. Judging from the ending wealth value, stocks would appear to be the investment of choice. However, these higher returns came with much greater volatility (risk) when compared to the fixed-income investments. Furthermore, small company stocks may be subject to a higher degree of market risk than large company stocks Note: The data assumes reinvestment of all income and does not account for taxes or transaction costs. The average return represents a compound annual return. Government bonds and Treasury bills are guaranteed by the full faith and credit of the United States government as to the timely payment of principal and interest. Stocks are not guaranteed and have been more volatile than the other asset classes. Small company stocks are more volatile than large company stocks and are subject to significant price fluctuations, business risks, and are thinly traded. Underlying data is from the Stocks, Bonds, Bills, and Inflation (SBBI) Yearbook, by Roger G. Ibbotson and Rex Sinquefield updated annually. An investment cannot be made directly in an index. Past performance is no guarantee of future results. Source: Small Company Stocks—represented by the fifth capitalization quintile of stocks on the NYSE for and the performance of the Dimensional Fund Advisors, Inc. (DFA) U.S Small Company Portfolio thereafter; Large Company Stocks—Standard & Poor’s 500®, which is an unmanaged group of securities and considered to be representative of the stock market in general; Government Bonds—20-year U.S. Government Bond; Treasury Bills—30-day U.S. Treasury Bill; Inflation—Consumer Price Index. 1925 1935 1945 1955 1965 1975 1985 2000 2002 La valeur hypothétique d’un $1 investi à la fin de l’année Assume le réinvestissement du revenu et la non transaction des coûts ou des taxes.

16 Une conjoncture financière difficile entrave le processus de libéralisation ;
Difficulté de prononcer des sanctions contre des acteurs dans la conjoncture difficile ; Interaction entre la cotation boursière et décisions des régulateurs.

17 4- RESEAUX VIRTUELS ET MULTISERVICES
On assiste de plus en plus à la mise en place d’opérateurs virtuels dans les mobiles ; Ces opérateurs commercialisent leur produit et services avec leur nom d’opérateurs virtuels ; Avec moins de contraintes d’investissement ; Comment contrôler leurs droits et obligations vis-à-vis des régulateurs. On assiste de plus en plus à la mise en place aussi d’opérateurs virtuels dans les transmissions de données cas des VPN.

18 4- RESEAUX VIRTUELS ET MULTISERVICES
RESEAUX MULTISERVICES : Un même réseau sert aujourd’hui à véhiculer la voix et les données en plus de l’Internet ; Dans la chaîne de valeur télécoms il y a multiplication des intervenants ; Difficultés pour le régulateur par exemple de cerner les coûts des différents services offerts.

19 5- INTELLIGENCE DE PLUS EN PLUS LOCALISEE DANS LES SERVEURS ET LES TERMINAUX
L’intelligence est délocalisée vers les terminaux, les PABX et les serveurs ; Cette situation complique par exemple le contrôle des opérateurs clandestins avec des PABX intelligents.

20 6- LES TARIFS INSENSIBLES AU TEMPS ET À LA DISTANCE
La fibre optique a atténué l’effet longue distance vu ses coûts ; La fibre optique a atténué la relation entre temps et tarifs vu la surcapacité qu’elle offre actuellement ; La technologie IP a révolutionné l’intelligence de commutation.

21 7- DIMINUTION DU ARPU OU RMPA
Avec l’introduction de la concurrence, le revenu que tire les opérateurs par abonné à tendance à diminuer ; Que doit faire le régulateur ?

22 LE PROBLEME DU RMPA (REVENUE MOYEN PAR ABONNE)
LES RAISONS DE LA REDUCTION DU RMPA : “LE REVENU MOYEN PAR MINUTE” Cas de l’Italie 1997 1998 1999 2000 2001 -5 -10 -15 -20 % -25 -30 -35 -40 -45

23 CONCLUSION La régulation évolue dans le temps en fonction de l’interaction technologique et institutionnelle des télécoms; Rester attentive et constamment à l’écoute des différentes innovations technologiques en vue d’adapter en permanence ses actions de régulation Les actions de régulation sont aussi liées à la conjoncture économique.


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