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L’INTEGRATION DU VIH/SIDA, COMME FACTEUR DE RISQUE, DANS LA GESTION DE LA MICRO FINANCE Cas de la RD Congo Par Gaston BONDO BONDO Conseiller RIFIDEC chargé.

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1 L’INTEGRATION DU VIH/SIDA, COMME FACTEUR DE RISQUE, DANS LA GESTION DE LA MICRO FINANCE Cas de la RD Congo Par Gaston BONDO BONDO Conseiller RIFIDEC chargé de l’encadrement des Organisations de Micro finance

2 PLAN I. VIH/SIDA : RISQUE POUR LA MICRO FINANCE.
2. STRATEGIES D’INTEGRATION DU VIH/SIDA DANS LA GESTION DE LA MICRO FINANCE. 3. PRISE EN COMPTE DU VIH/SIDA DANS LA MICRO FINANCE EN RD CONGO.

3 VIH/SIDA : RISQUE POUR LA MICRO FINANCE
Le SIDA a dépassé les frontières du secteur de la santé et est devenu un problème social et de développement au même titre que la lutte contre la pauvreté. Les IMF reconnaissent de plus en plus leur dépendance vis-à-vis de la santé de leurs clients et leurs familles. Les effets négatifs de l’épidémie du SIDA sur l’activité des institutions de micro finance et sur les populations servies ne sont pas à négliger.

4 Quels sont les effets du VIH/SIDA sur les Institutions de Micro finance ?
Réduction du volume des épargnes mobilisées, Augmentation du portefeuille des prêts à risque, Augmentation des coûts opérationnels avec l’intégration des services d’éducation sanitaire En Bref le VIH/SIDA affecte l’autosuffisance financière des institutions de micro finance surtout celles qui sont en phase de démarrage et d’expansion.

5 II. STRATEGIES D’INTEGRATION DU VIH/SIDA DANS LA GESTION DE LA MICRO FINANCE
L’intégration du service d’éducation à la santé dans un système de micro crédit ou mieux de micro finance peut se faire suivants trois scénarios : Prestation de services joints offerte par deux ou plusieurs organisations indépendantes opérant dans le même secteur géographique prestation de services parallèles par deux ou plusieurs programmes d’une même organisation opérant dans un même secteur géographique, Prestation des services unifiés par une organisation, un programme, un type de personnel.

6 III. PRISE EN COMPTE DU VIH/SIDA DANS LA MICRO FINANCE EN RD CONGO
Dans le cadre des questions plus générales de la micro finance en contexte de crise –épidémies ou catastrophes naturelles – la réflexion autour du rôle des IMF dans le contexte de l’épidémie du SIDA est relativement récente. Conséquence : peu d’intervenants tant national qu’international, dans le secteur intègre l’approche lutte contre le VIH/SIDA dans leur modèle.

7 Quelques illustrations au niveau des intervenants internationnaux (dont certains sont en phase de consolidation et d’intégration) 1. Programme d’appui UNHCR des réfugiés urbain gérés par le RIFIDEC Depuis 2003, il a appuyé réfugies dans leur AGR par des prêts allant de 200 à 300 $ pour un montant total de $ de fonds de crédit rotatif. Dans son approche, il intègre des aspects liés à la santé, scolarisation des enfants, formation professionnelle, logement...) qui sont assurés par ERUKIN (encadrement des réfugiés urbains de Kinshasa) appuyés par le HCR pour ce but. Cet encadrement ne se focalise pas de façon systématique, dans le domaine de la santé, sur la prévention du VIH/SIDA.

8 Illustrations ( suites)
2. Projet Horticulture péri –urbaine de la FAO (HUP) Dans le cadre de ce projet, la FAO se limite à mettre à la disposition des agriculteurs des fonds de crédit rotatifs après un accompagnement basé sur des formations techniques en écoles aux champs et l’organisation d’une micro caisse. Dans toutes ses interventions notamment : à l’IDECE (KIN), à la MCS PEMARIM (KIN) , à l’ADECOM MM (KIN), à la FIDEV(KTGA), à l’ADEKOR (K.OR), à la CEDEKOC (K.OCC), etc...aucune action de lutte contre le SIDA n’y est associée. 3. Le projet SIDA de la GTZ, se distingue par des actions des grandes envergures dans le domaine de lutte contre le SIDA ( qui bénéficient bien sûr indirectement à la micro finance), mais pas encore un programme ciblé pour la micro finance.

9 Illustrations ( suites)
4. Programme d’appui au secteur de la micro finance du PNUD (PASMIF) Le PASMIF se limite au renforcement des capacités des institutions de micro finances sans intégrer la lutte contre le VIH/SIDA. 5. FINCA Dans les réunions des villages banking (ici en RDC) aucune mention n’est fait par rapport au VIH/SIDA. Le groupe touché c’est-à-dire dont un membre développe déjà la maladie, supporte le fardeau de la dette. Sous d’autres cieux, où FINCA est installé depuis longtemps ( le cas d’OUGANDA), les organisations médicales spécialisées dans la prévention contre le VIH/SIDA, dans la santé et l’éducation sont invités aux sessions hebdomadaires des groupes.

10 Illustrations ( suites)
6. PROCREDIT BANK, dans son modèle ne fait non plus aucune mention de la lutte contre le VIH/SIDA. 7. La SOCODEVI, mêmement. 8.L’OMS, MSF, l’ONUSIDA et d’autres organisme interviennent dans la lutte contre le SIDA , de façon très remarquable, de manière générale mais systématiquement dans la philosophie micro finance. 9. certaines Banque ( BIAC, BIC...) par un processus down grading s’interesse à la micro finance mais malheureusement sans tenir compte de l’aspect VIH/SIDA. 10. On peut citer beaucoup d’exemples comme cela.

11 Quelques illustrations au niveau des intervenants nationnaux
Le programme national multisectoriel de lutte contre le SIDA (PNMLS) Il finance plusieurs actions dans le cadre de la sensibilisation, prévention bref de lutte contre le SIDA au niveau des ONGD et autres organisations. Les bénéficiaires de ses actions étant la population Congolaises, clientes des IMF, nous pouvons considérés qu’elles profitent indirectement à la micro finance. Ici ,il faut établir une nuance quand il faut prendre en compte le taux de pénétration des IMF de l’ordre de 8.5 % seulement. 2. Les IMF Congolaises Les IMF congolaises ( en phase de démarrage et d’expansion), sont dans l’incapacité de prendre en charge des programmes d'éducation à la santé et de prévention contre le VIH/SIDA sans affecter leur équilibre financier du reste entamé pour la plupart.

12 CONCLUSION Le SIDA est vraiment une entorse à la micro finance en RD Congo car : 1. Son intégration , en tant que facteur de risque, n’est pas encore effective dans la gestion de la micro finance . Le secteur le la Micro finance n’est touché qu’indirectement par certains organismes notamment : Projet SIDA/GTZ, OMS,MSF, ONUSIDA, PNMLS..., à travers certains programmes et actions financés. 3. On observe dans le secteur l’absence des interventions systématique ciblant directement la population en tant que bénéficiaires des services micro financières. 4. Le niveau de développement auquel se trouve les IMF ne leur permettent pas la prise en charge des programmes d’éducation à la santé sans affecter leur équilibre financier du reste déjà entamé.

13 Merci pour votre particulière attention
5. On observe l’absence d’une politique nationale de micro finance définissant une stratégie d’intervention dans le secteur et le manque d’un cadre permanent de concertation entre les principaux acteurs. Merci pour votre particulière attention


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